Comme tous les podcasts ou presque, celui-ci gagnerait à aller à l’essentiel et durer moitié moins de temps mais j’ai quand même appris pas mal de choses. Dommage que le dev ne puisse pas évoquer les raisons précises derrière la démission de quasiment toute l’équipe de Blue Breaker.
Fonctionnant de manière assez similaire au port PC de Burning Rangers, cette WipeOut Phantom Edition offre un confort appréciable sur PC moderne. La plus importante étant sans doute la gestion des types de collisions murales souhaitées — j’ai toujours trouvé punitives celles du premier épisode.
Je me demande s’il gère le neGcon.
EDIT: il semble que oui mais pas avec mon adapteur USB en chinoisium de 2006, il faut se tourner vers du périphérique quali à $30 USD de chez Raphnet.
En parlant de jeux Mega Drive dans l’actualité, une critique sans concession de Sonic Origins Plus qui devait régler les nombreux problèmes de la première version. Manifestement, ce n’est pas encore idéal.
Pas encore maté ça mais le premier Sumimasen Turbo en direct de la Japan Expo était consacré aux quarante ans de Capcom et l’archive est déjà dispo sur leur chaîne.
Par ricochet, je ne connais la série Ultima que de loin : quel serait le meilleur point d’entrée en 2023 ? Ultima Underworld sorti en 92 fréquemment cité comme étant un des meilleurs ?
Dans la liste, Ultima Worlds of Adventure 2: Martian Dreams (1991), Ultima VII (1992) et Ultima VIII: Pagan (1994) me font de l’oeil. Surtout à 1.30€ l’unité avec les soldes actuelles de GOG.
Pour les curieux, un topo de 5min sur le balbutiant core FPGA Dreamcast, dont le dev vient de débuter.
J’ai loupé la semaine dernière le trailer d’Arzette: The Jewel of Faramore. Hommage plus que soutenu à l’esthétique CD-I puisque l’auteur Seth Fulkerson est allé jusqu’à chercher les voix de Link et Zelda ainsi qu’un des artistes de chez Viridis Corporation.
En survolant la news de GK, j’ai d’ailleurs salué l’exploit en pensant que c’était un homebrew pour la machine de Philips… Hélas, l’auteur ne semble bosser que dans GameMaker (cf. ses impressionnants remakes de Faces of Evil et Wand of Gamelon).
(Ah super donc même les fils de discussion, on n’y a plus accès… Vivement que Twitter crève pour de bon.)
Ultima Underworld, c’est un jeu fascinant et fondateur pour l’immersive sim (voire l’évolution du RPG recette Bethesda), mais c’est à peu près autant un jeu Ultima que Mario Kart est « un jeu Mario ».
Donc « certes, oui » mais « euh »…
Perso, je dirais Ultima IV ou Ultima VII (qui est en deux parties).
IV c’est vraiment LE grand classique qui a influencé l’évolution du RPG (partout dans le monde, pour le coup, c’est peu commun) et plus généralement du medium Jeu Vidéo vu que c’est plus ou moins le Ur-Monde Ouvert, mais garde en tête qu’il a sacrément vieilli. C’est un peu comme jouer à Dragon Quest III sur Famicom pour comprendre d’où vient le RPG japonais. Limite un passage obligé mais faut serrer les dents.
VII, ça fait vingt ans que je n’ai pas eu de discussion sur Ultima mais j’en garde l’image de l’épisode parfait qui est le seul à mettre tout le monde d’accord. Ça se chamaille (chamaillait ?) juste sur lequel des deux VII est le meilleur.
Perso j’ai découvert Ultima à l’époque de la hype des sorties de The Black Gate et d’Ultima Underworld, qui étaient plus ou moins concomitants, dans la presse micro (et dans mon entourage de joueurs micro). Cela avait été très dur de revenir en arrière par la suite pour apprécier les anciens épisodes. Surtout à cause d’Underworld qui était grosso modo « le jeu parfait » à l’époque (pense donc, Shining & The Darkness + Wolfenstein 3D dans le même jeu = je deviene fous). CQFD commence peut-être par le IV si tu comptes de toutes façons le faire un jour…
Messyre, sachez que j’octroie à vos précieux conseils moult considération.
Cette nuit, en prévision débile d’un temps libre que je n’aurai jamais en quantité suffisante, j’ai acheté la quasi-intégrale d’Ultima pour quelques piécettes à peine. Je lancerai I+II+III par politesse mais IV sera donc la première marche.
Le hic, c’est que GOG embarque toujours ses jeux dans une DosBox antédiluvienne. Ma prochaine quête sera donc de configurer mes jeux sous DosBox-X et d’y ajouter les shaders de circonstances. (Je sens que je vais passer plus de temps sur ce chantier qu’à jouer sérieusement aux Ultima).
Je n’arrive pas à trouver de confirmation que c’est eux qui s’en sont occupés mais adoro le style Tōei Animation / Nishio Daisuke de la grande époque pour la publicité de Hyper Lode Runner (1989). Dans l’absolu, c’est d’ailleurs étonnant que Bandai ait sorti un Lode Runner sur Game Boy avant Hudson, mais je suppose qu’ils étaient très occupés avec la PC Engine.
Vraiment nawak’, cette grande vague de « tout le monde porte une fausse moustache RPG » après Dragon Quest III.
On est d’accord que Toriyama n’a également rien a voir avec cette pub, qui surfe donc sur la vague DQ to the full extent of the jam? Je me demande si le département légal a interdit de reprendre son style sur la pochette également, rapport aux risques accrus de confusion pour les consommateurs et donc d’attaque en justice de la part d’Enix…
D’ailleurs, j’ai une image sans doute fausse d’une grande souplesse du Japon 80’s/90’s vis à vis des representations sans accord de marques déposées, de logos ou de facteurs de forme. J’imagine que les règles étaient différentes de l’Europe ou d’Amérique du Nord, et que ça c’est depuis fortement homogénéisé sur ces questions de copypright, mais je serais curieux de tomber sur une conf’ de spécialistes en droit de cette époque.
Ca dépend des marques (Sharp a récemment indiqué sur Twitter être cool avec ça), des sponsors (Sega dans Evangelion par exemple), du laxisme des gens qui gèrent la prod et de l’époque. Dans les années 80, ça semblait assez tranquille sur ce sujet, à tel point que, pour en revenir à Toriyama, Bulma a fait sa première apparition animée non pas dans Dragon Ball mais dans Urusei Yatsura. Idem dans un domaine hybride comme les jeux sur Laserdisc tels que Road Blaster / Road Avenger où les références visibles le temps d’une ou deux frames pullulent.
Concernant Hyper Lode Runner, l’artiste en charge de la couverture était probablement sans lien avec le studio qui a réalisé la pub. Il est effectivement possible que des gens du studio Toei ou d’un autre studio fondé par des transfuges soit derrière (je pense notamment au studio Junio et à Minoru Maeda qui, en plus d’avoir bossé sur les adaptations animées de Dragon Ball, a fait quelques tafs en lien avec le JV).
Je pensais que l’on avait un topic Arcade mais il a du disparaitre dans l’incendie
Recalbox continue de développer des projets annexes et après le RGB DUAL pour faciliter l’utilisation des CRT, il y a une campagne pour une carte à associer à un Rasp Pi pour le rendre compatible Jamma, jusque là rien de neuf mais il semble qu’il y ai un vrai boulot sur l’input lag et le rendu vidéo, gestion du TATE, config boutons auto et plein d’autres trucs pas cons. La campagne a débloqué aussi l’accès au mode 4 joueurs et au Kick Harness CSP 1, 2 et 3 en natif
110€ pour le pack avec écran, boitier de refroidissement et un petit écran OLED et 60€ pour la carte seule, la campagne KKBB vient d’être prolongée
Et par curiosité, pourquoi choisir cette solution plutôt qu’un mister avec une interface Jamma ?
A ce propos, je n’arrive plus à retrouver le meme de @dma, mais je viens de claquer une heure pour mettre à jour mon mister histoire d’essayer la version Batsugun « Boosted » de @Kanu (en me pinçant le nez bien entendu), et pour y arriver j’ai du transférer des images de la mémoire interne à une clé externe pour que l’update puisse décompresser convenablement la mise à jour de linux. Et voilà, mon mister est tout propre, je peux l’éteindre en toute sérénité jusqu’à la prochaine mise à jour dans 3 mois en espérant trouver du temps pour y jouer.
Je découvre que la version Famicom Disk System de Kiki Kaikai, sortie au cœur du fameux été 1987, utilisait pour sa promo un single d’Itō Miki, 哀愁ピュセル (Aishū Pucelle) sorti dans les mêmes eaux.
Morceau qui allait se retrouver ensuite sur l’album éponyme ピュセル (Pucelle)… Veuillez excuser mon ami Le Japon des Années 80 pour son phrasé #MeToo, « c’était une autre époque ».
Je lis des infos contradictoires sur le fait que le morceau aurait éventuellement été produit spécifiquement pour coïncider avec le jeu mais, en tout cas, Taito avait activement participé à sa promotion, en témoigne ce flyer dispo dans le 45 tours.
※ Ce n’est pas l’actrice homonyme Itō Miki qui double C18 dans Dragon Ball Z et tous ses dérivés.
@nova Merci ! Apparemment je l’avais déjà dans mon watch later mais j’ai complètement oublié de le mater quand il est sorti. Le behind the scenes avant la sortie d’Ultima III est passionnant. Par contre, c’est bien la première fois que j’entends quiconque clamer que la version Famicom d’Ultima IV est le meilleur portage sur consoles ! Cette version est d’habitude conchiée par à peu près tout le monde, alors que le portage Master System (développé par Origin eux-mêmes) est souvent défendu comme la meilleure version du jeu tout court. Je m’attendais aussi d’avantage à une analyse de l’impact monstrueux des quatre premiers Ultima sur les game designers japonais.
En parlant de rencontres d’IP occidentales avec les japonais, UCBVG a consacré son dernier guide à la version Super Famicom de Shadowrun, dont le développement chez Beam Software (donc en Australie) pour le compte de Data East fut tellement chaotique et problématique qu’il cause quasiment la dissolution du studio, mais dont le résultat fut un RPG « à l’occidentale » fort sympathique. Le jeu est par contre franchement dur et parfois opaque (je ne l’ai jamais terminé perso) donc ce guide n’est pas de trop.
The best way to LEVEL UP your character with Karma points!
How to escape the CAR YARDS without grinding levels!
Where to find EVERY WEAPON and suit of ARMOR, even the Zip-Gun!
How to access the HIDDEN DEBUG ROOM!
The secret trick to DUPLICATE ITEMS!
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Win big in the BATTLE ARENA - Strategies for all 11 fights!
How to defeat EVERY BOSS, even Drake himself… AND MORE!
RetroRGB essaie The Fallen Crown, un nouveau Metroidvania sur Game Boy Color.
J’aurais préféré que ce soit Hamster mais ININ va ressortir Parasol Stars à la fin de l’année sur les consoles du moment.
Une vidéo fort rigolote d’AtariHazure sur les acteurs et actrices digitalisé•es ou croqué•es (parfois sans leur consentement) dans les jeux d’arcade des années 90, et leur tronche trente ans plus tard.
La série Neo Geo Generation revient avec Crossed Swords d’ADK.
Le jeu du Famidaily de dimanche était assez fascinant. J’ai toujours cru de loin que Inbō no Wakusei Shancara (Planet of Intrigue Shancara) était une espèce de 4X galactique à la Koei, façon Nobunaga dans l’espace, mais c’est en fait un ambitieux jeu de société à rôles asymétriques, fortement inspiré par les jeux de plateau Dune (1979) et Junta (1978). C’est non seulement rare de voir un jeu de société Famicom aller plus loin que le simple sugoroku ／ jeu de l’oie familial intégralement décidé par son RNG, mais encore plus étrange de voir un tel truc débarquer dessus en 1992.
Enfin, en parlant de la Famicom, j’ai souvent parlé sur Bouledefeu de la collection de bouquins Perfect Catalogue, souvent capable du meilleur (avec les consoles PlayStation notamment) mais parfois aussi responsable de trucs bâclés (tel que le bouquin consacré à la Dreamcast).
Un des échecs les plus notables de la collection était celui sur la Famicom paru en 2019, ce qui tombait d’autant plus mal qu’il existait déjà un paquet d’ouvrages réputés sur le sujet, notamment le Famicom Complete Guide Deluxe sorti la même année.
Eh bien, pour le 40ème anniversaire de la bécane, Maeda a tout sorti une seconde édition bien plus réussie, bien plus complète et donc bien plus conséquente: 352 pages ! Je le feuillette encore mais j’ai l’impression que c’est la nouvelle référence japonaise sur le sujet.
Pour répondre sérieusement à un meme qui n’a rien demandé, et sûrement pas une réponse au premier degré, je trouve que cette part de « sourçage, renommage, scrapping et configuration » est un plaisir geek plutôt agréable : un exercice zen (quand tout marche à peu près) et une manière détournée d’en apprendre plus sur les ludothèques et hardwares explorés.
Néanmoins, comme mon quotidien pro consiste déjà à gérer de nombreux problèmes de basse intensité, et que ma chaudière a décidée de rendre l’âme la semaine dernière dans un joli nouveau dégât des eaux, je suis bien content de tomber sur le boulot de curation clef-en-main de la team eXoDOS.
Il s’agit d’une immense base de softs DOS dont les métadonnées sont déjà config dans Launchbox. Tout est simplissime, il est possible de paramétrer DosBox globalement ou au cas par cas et il suffit d’un clic droit pour choisir ses shaders — pour ne rien gâcher, les à-côtés de type manuels/cartes/guides semblent au moins aussi complets que l’offre dans GOG.
@Dom: je me souviens que tu avais filé sur feu-Boulette une astuce pour télécharger les image des posts Twitter/X en résolution maximale. Tu pourrais la repartager ?
The Revenge of Shinobi / 
The Super Shinobi.
