Qu'ouije? T'entends?

Ce genre de « Fous Furieux » me fascinent, ce rapport à la musique et la « compréhension » de celle-ci également au point de me rendre un peu jaloux

Je me garde les « Cassettes » pour demain mais si tu as d’autres trucs comme ceux là je suis totalement preneur, c’est pas forcément mon « univers » au quotidien mais j’apprécie énormément me balader dans ces sons là et surtout la force créatrice de ceux qui les proposent

(Après pour le coup des Cassettes et du calage j’ai des souvenirs douloureux de mon père qui ne comprenais pas qu’il était HORS DE QUESTION qu’il y ai un blanc de plus d’une micro seconde lors de l’enregistrement d’un morceau du CD sur la platine K7 et donc la Chrome BASF qui irait s’user dans mon Walkman… donc non c’était pas une unité de montage audio mais c’était assez précis pour qu’on le fasse donc… mais ça il voulait pas donc j’ai fini par le faire quand il était pas là ^^ Bisous Papa :stuck_out_tongue: )

Une des vidéos les plus connues c’est ce Russe qui était venu faire une compète de turntablisme avec ses bandes, c’est pas fait pour ça à la base :sweat_smile:

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On célèbre déjà les 40 ans de Thriller en cette fin d’année et quelques pistes inédites viendront agrémenter cette ressortie. Elles sont annoncées une par une chaque semaine à partir d’aujourd’hui jusqu’à la sortie du 18 novembre.

Les fans ont donc reçu confirmation que la démo non-retouchée de Behind The Mask sera de la partie, vengeant cet horrible remix du premier album posthume (celui qui a récemment été retiré de la vente et expurgé des pistes chantées par un sosie vocal).

Ce qui me fait au passage découvrir la version Dragon Quest de ce classique:

After hearing the original instrumental recording of this song by the group Yellow Magic Orchestra, Michael reached out to them to ask if he could create a version of the song with lyrics. They readily agreed and Michael wrote the lyrics and recorded the demo which he played at a listening session at his home studio attended by Quincy Jones, Rod Temperton and Greg Phillinganes at which Michael also played the demos for “Billie Jean”, “Beat It” and “Wanna Be Startin’ Somethin’”. Unfortunately, “Behind The Mask” didn’t make the cut for the Thriller album and, although Michael worked on the track over the years, a finished version wasn’t released until the Michael album. But this original demo by Michael has never been released.

J’espère naïvement que l’album original ressortira avec le mixage original. L’essence du boulot de Bruce Swedien et Quincy Jones s’est complétement perdu au fil des ressorties et des plateformes, avec un all time low sur les versions Spotify surcompressées.

A ce sujet, même si Jackson n’est pas votre tasse de thé, je conseille ce témoignage de cet expert dans le récent procès des masters de Bad, remporté par Q contre l’Estate, ou comment expliquer le plus efficacement possible les subtilités d’un mixage à un jury complètement béotien.

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Quel mix :

C’est prenant en effet, même si je ne suis pas certain de piger la chronologie des évènements : apparemment cette vidéo date de 2017 mais ne sort qu’aujourd’hui ? Sans doute à cause du procès ? Il attendait que tous les recours en appel soient adressés?

Tu m’as fait peur, sinon : pendant quelques instants j’ai cru comprendre l’inverse, donc que Behind the Mask était en fait une reprise d’un morceau de Jackson dont j’ignorais totalement l’existence. Il existe d’autres exemples de reprises de MJ dans ce genre ? (À part le cas un peu particulier des contributions de Van Halen sur Beat It.)

Oui, je n’y connais rien en droit US mais j’imagine que la vidéo a été mise au frigo quelques années pour cause d’embargo judiciaire.

Concernant les reprises, la liste doit être touffue lorsqu’on part des années pré-Motown, les frères ne faisaient presqu’uniquement que des reprises de standards soul/rythm’n blues.

Lorsque le groupe J5 débarque à grande échelle fin 1969, il y a déjà cette belle refonte du hit de Smokey Robinson & The Miracles, suivant d’un seul petit mois le bulldozer I Want Your Back.

Motown oblige, il faut sans cesse alimenter la machine et le recyclage de tube est pratique courante pour tous les artistes du label, les J5 reprennent donc du Stevie Wonder (Shoo-Be-Doo-Be-Doo-Da-Day, With a Child’s Heart), Bobby Day (Rockin’ Robin) ou Carole King (You’ve Got a Friend) mais je pense que ça se compte en réalité par dizaine, je connais assez mal cette période 1969-74.

La plus iconique étant sans doute celle de Bill Withers pour l’album solo de 1972.

Plus tard, je pense au Girlfriend de McCartney/Wings reprise l’année suivante dans Off The Wall (avec un single exploité uniquement au UK)

…ou pour rester dans du Beatles, cette reprise de Come Together en 1987.

Bien plus tard et encore sous forme de démo, il y également cette reprise d’America - A horse With No Name (1972)

Il y a donc à boire et à manger et c’est loin d’être exhaustif. Je pense que le Behind The Mask repris en 1982 vaudra le coup, même sous forme de maquette non-achevée, c’était la période magique niveau arrangements et tessiture de voix.

Si je devais choisir parmi tout, ma préférence reviendrait sans doute à cet humble hommage à Jiminy Cricket chanté en 1980 pour les 25 ans de Disney World.

Ça en fait du lien Youtube, j’espère que rien n’est géobloqué

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Grems sort en vinyl une compilation de ses morceaux qui couvre de 2006 à 2022.

Ce mec a un talent fou, parfois gâché par un syndrome de la Tourette assez pénible à supporter. L’un des rares Français à maîtriser aussi bien le boom bap que le Deephop (House x Hiphop). Les instrus sont souvent géniales, et son flow est tellement rapide qu’il m’arrive de passer en /2 pour ne louper aucune punch line.

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Un bien sympathique mix de beats disco :

Reprises du week-end :

A la première écoute je l’ai trouvé bof, mais finalement j’aime beaucoup le dernier Stupeflip.
Barthelemy n’a pas l’air d’aller très bien, un excédent de sensibilité qu’il a du mal a gérer, au point de ne plus vouloir faire de concert parce qu’il trouve bizarre de s’afficher devant des gens qu’il ne connaît pas. La quasi absence des autres membres du groupe trahi un certain malaise, et pourtant, il y a plein de choses à manger dans cet album.

Je reste impressionné par le talent brut de Barthelemy : les prods sont impeccables, les styles variés, ça fourmille de sons, de punchline qui font mouche, et j’adore sa façon de raconter les histoires du quotidien.


Nouvel album d’Infected Mushroom

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Assez dingue ce morceau

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Cette prod de Dilla, mazette…

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La progression surprise !

https://www.twitter.com/7satoharuka/status/1414406467189284864

Où je découvre cette théorie selon laquelle la principale inspiration de B’z (premier album en 1988)…

… Serait l’album Nougayork (1987) de Claude Nougaro (avec la guitare de Nile Rodgers derrière).

Un son qu’on doit d’ailleurs avant tout au Marseillais Philippe Saisse, qui a également collaboré sur plusieurs jeux Sonic, histoire de boucler la boucle avec le Japon.

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The Four Fiends The Four Friends

J’écoute beaucoup l’album solo d’Oliver Sim (le chanteur du groupe the XX) ces temps-ci. Une chanson sur le sida en 2022 qui a quelque chose d’intéressant à dire, j’aurais pas cru ça possible.
Avec un feat de Jimmy Somerville de toute beauté en plus.

Les autres covers basse du gars sont très cool aussi.

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Dans mon top 5 C64 de cette année, un morceau blindés de samples (alors qu’un C64 ne gère pas de samples à la base) que je pourrais parfaitement jouer/écouter en club. Imaginez la tronche des compositeurs de l’époque si on pouvait leur envoyer ce morceau en 1983.