C’est le nom du chef de la bande, le groupe en lui-même s’appelle NES Band.
En parlant de famous video game band :
C’est le nom du chef de la bande, le groupe en lui-même s’appelle NES Band.
En parlant de famous video game band :
Thanks.
D’ailleurs, j’en profite vu que tu es a priori rendu plus loin que moi dans FFXVI: je trouve pour l’instant le bilan musical un peu mitigé sur la première dizaine d’heures. J’espère vivement que ça passe la seconde vitesse après. C’est le cas ?
Pas que ce soit désagréable pour l’instant mais (à l’instar du reste) il y a un aspect très sage et un manque de personnalité qui me fait rester un peu en dehors. Quand je vois que l’OST tient sur sept CDs, je me dis que les variations doivent être subtiles car j’ai l’impression d’entendre les quatre mêmes airs depuis que j’ai commencé.
Ensuite, c’est un avis à chaud qui vaut ce qu’il vaut. Je poursuis l’aventure de %nom du héros% dès que je peux.
Heureusement, il y a Bandcamp. Je pourrais y passer mes journées.
Le petit label Err Rec en est déjà à sa 4e livraison de leur compile Library, cette fois consacrée à l’illustration sportive. Je conseille notamment l’écoute du titre Requiem Aerobic de La Guilde Asteroid, qui convoque à la fois les envolées tristes de Yamato ou Captain Harlock et le Dodécalogue de Robin Coudert.
A écouter avec les images du premier générique de Télé Foot en boucle.
Le dernier soccer Committee (Mariska Baars) continue son exploration tonale et folk atmosphérique. C’est une artiste que je découvre en ce moment avec beaucoup de bonheur.
Encore une merveille ambient chez Dream Catalogue, le label vaporwave copain de mes aprems de travail. DROIDROY & Yoshimi nous pondent ici un paysage sonore de mégalopoles fantômes, terres de contrastes. Il y a un côté Ryuchi Sakamato à l’ensemble et même quelques phases évoquant le boulot de Yoko Kanno sur Macross Plus.
En plus chaud, Lalalar —un combo turc qui mériterait d’être aussi connu qu’Altın Gün ou Gaye Su Akyol— a sorti son premier album en mai 2022. Opus que vous conseille et qui a la bonne idée d’embarquer les bangers sortis plus confidentiellement en maxi.
J’avais déjà posté leur gros hit dancefloor imparable qui a cartonné sur Terre-2 en 2019:
Les gars ne chôment pas car le second LP est prévu à la rentrée !
Deux extraits de En Kötü Iyi Olur sont dispo à l’écoute.
En plus bordélique, le collectif Mona Evie / Hài Độc Thoại est revenu aujourd’hui avec son habituel mélange de rap cloud, mumble, chopped and screwed et de collages lol, internet.
En plus backpack, je me réjouis de voir enfin percer la rappeuse anglaise Little Simz après dix ans de succès d’estime. C’est plus que mérité et cette artiste a de plus une direction artistique contrôlée qui l’amènera loin.
Le doc produit en coulisse de sa précédente tournée vaut le coup d’oeil.
En bonus, Digging The Greats est vraiment un des dudes les plus cools et passionnés sur Youtube. Cette exploration de la pierre angulaire du hip-hop moderne est passionnante.
Hmm pas certain, je n’ai fait que bosser cette semaine (à part Daimakaimura dans le train) et j’ai passé « juste cinq minutes attends je check un truc » → tout mon dimanche sur Zelda.
Mais pour l’instant, en effet, je t’avoue que je ne suis pas bouleversé par la B.O. du jeu, à part un chouette effet sur un morceau précis qui est calé de sorte à ce que le crescendo arrive pile au moment où tu ouvres une porte (celle du village de la femme de ton ancien mentor, qui vient de se faire massacrer par l’empire). J’ai même refait le chemin deux fois pour vérifier !
Je prends volontiers le DLC dans Thrhtthrhm quand même, hein, je ne suis pas malpoli.
Le Thème principal du nouveau jeu de Takahashi Keita, quel Tube.
C’est l’heure du mix Trance
Face E :
141 > 153 BPM
Attention cascade ! Si jusqu’à présent je n’avais pris aucun risque en ne sélectionnant que la crème de la crème, je m’autorise ici quelques sorties de route commerciales et maladroites, car l’adolescent que j’étais à l’époque était beaucoup moins regardant que je ne le suis aujourd’hui. Ces morceaux ont tout autant contribués à mon éducation musicale que les autres, il était donc inutile de les cacher sous le tapis. Rassurez-vous, ça ne concerne qu’une petite poignée de morceaux dans ce mix, et je les ai bien entendu glissés entre des valeurs sûres pour que vous soyez en mesure d’en apprécier le contraste.
Je vous invite notamment à noter les similarités de structure du diptyque Traveller/System F, des similarités qui finiront par devenir le moule de la majorité des productions post 2000, au point de me faire perdre tout intérêt pour ce genre musical pendant un long moment. Anyway, ce mix est probablement le plus joyeux et le plus ensoleillé de la série, j’espère qu’il vous accompagnera aussi cet été.
Playlist :
00:00 Robert Miles - Red Zone (1996)
06:26 DJ Joe T. Vannelli Feat. Csilla - Play With The Voice (1994)
09:45 Vincent de Moor - Flowtation (1996)
12:36 Traveller - Bright Sign (2000)
16:40 System F - Out of the Blue (1999)
18:43 CJ Bolland - Camargue (1992)
20:59 Central Love - Experience Of A Beautiful Rainbow (1993)
23:43 Andromeda - Trip To Space (1993)
27:04 Sunbeam - Outside World (1994)
29:10 Equilibrium – Obscurities (1994)
33:20 Aqualite - Wavemaker (1996)
35:00 Velocity - Lust (1993)
39:25 Redeye - Contrex Ville (1994)
Je ne dis pas que j’ai passé trop de temps dans le quartier thaï de Singapour ces derniers temps, mais…
(On ne remerciera jamais assez Shazam.)
J’avais raté qu’un 4e album de Jungle était en cours, et comme d’hab c’est ma camme, y compris les vidéos.
Je m’étais déjà dit ça en re-jouant en boucle au point que j’aurais effacé la bande si ça avait été un magnétoscope Nothing Left to Lose par les mêmes chorégraphes, mais je ne me souviens pas d’une telle énergie dans les vidéos il y a une dizaine d’années. C’est Tiktok qui a changé le paysage de la danse moderne comme ça ? C’est vraiment incroyable ce qu’on voit maintenant, j’aime.
(Tiktok… ou Fortnite, qui sait).
Je ne crois pas avoir déjà posté ces deux mixes de Dane :
(mais un précédent, oui, qui contenait des morceaux utilisés aussi dans ceux ici)
On trouve des covers, dans ses travaux.
Le dernier morceau « Space of Mind » :
Face F :
138 BPM
Aujourd’hui les DJ Sets EDM sont devenus très techniques, avec beaucoup d’enchainements rapides pour éviter de perdre les gens, occasionnant un effet “zapping” qui ne permet pas toujours de digérer ce qu’on écoute. La conséquence directe des productions construites uniquement sur une montée, puis un drop. L’intro et l’outro ne sont plus que des DJ Tools pour faciliter l’insertion du morceau, le reste est devenu accessoire. Pour ce 6ème mix de cette série en hommage à la Trance, en plus d’explorer la fusion avec la Techno, j’avais envie de créer de longs panoramas sonores pour retrouver le plaisir d’écouter, parfois pendant plusieurs minutes, la magie de deux morceaux enchevêtrés et en parfaite osmose. Vous noterez une fois de plus la richesse des morceaux de 93/94, un vivier qui semble inépuisable.
Description complète du projet
Playlist :
00:00 Resistance D - Beautiful Silence (1994)
04:52 Spacebuggy - Spacebuggy EP (1994)
08:35 Choice - Acid Eiffel (1993)
12:18 Canblaster - Invoc Dolemn (2015)
13:41 Karim Sahraoui - Stella (2014)
18:07 The Vision Of Shiva - How Much Can You Take (1993)
20:33 Taucher - Happiness (Spicelab Remix) (1993)
22:18 Rebel Youth - What Is Soul (1993)
25:54 God’s Groove - Experience of Truth (1994)
30:11 Space Cube - Dolphins (1994)
34:14 Karim Sahraoui - The Sound Of Man (2019)
35:50 Pills - Over Your Dreams (1994)
Les tubes chantés de la PC Engine, quelle grande époque « on peut faire ça sur un CD-ROM ». Cette ambition me manque aujourd’hui… Finalement seul Fortnite a cette espèce de grinta musicale aujourd’hui, avec ses concerts virtuels, mais très peu de jeux modernes (surtout AAA) osent une chanson originale.
Je découvre même l’existence d’une chanson intégralement en espagnol dans le remake PC Engine du pitoyable Otaku no Seiza.
C’est vrai que c’était quelque chose ce cd. Je me rappelle avoir découvert ça lors d’une coding party où un gars avait lancé en mode audio toute sa collec de jeux cd PC engine.
Je rajouterais celles-ci au lot:
Les deux versions sont chouettes (la JP est même top) mais je t’avoue que je suis tellement partial à la B.O. originale de Monster World III par Sakamoto Shin-ichi que j’ai toujours du mal à m’emballer pour celle de The Dynastic Hero, haha.
On peut les comparer en stéréo ici :