Oui je suppose que les deux versions ont contribué mutuellement à leur popularité : avoir le jeu d’arcade à la maison ou jouer au jeu en salle sans avoir de Famicom.
Amusant de voir que sur le site de Sega, en 2000, Tetris était l’un des rares jeux mentionnés dans son historique, aux côtés de Hang-On, Virtua Racing et Virtua Fighter (mais pas de Sonic).
https://web.archive.org/web/20010208091202/https://www.sega.co.jp/sega/corp/kaisha/history.html
Evidemment, 8 secondes après que je l’aie reçue :
Allons, pas d’amertume, la version de base est déjà formidable 
(Mineur mais marrant)
Tous les mock-up de Game Boy Demakes rassemblés sur une seule page, avec les roms pour faire défiler les images sur sa DMG everdrivée.
Comme j’ai le Freemaster de Terranigma à faire et environ 156 autres classiques SNES à découvrir ou revisiter, j’ai directement lancé Lufia II pour me faire une idée. C’était il y a 3 heures, je n’ai pas pu lâcher la manette. J’adore cette charmante quête un peu régressive et premier degré. L’habillage visuel et sonore mérite un 92% (voire 93%), la trame narrative est claire et le ratio puzzle/combats est absolument parfait jusqu’à présent.
J’apprécie aussi le boulot sur l’UI/UX, que ce soit chez les marchands où toutes les infos importantes sont directement visibles, où bien dans ce simple descriptif des objets, accessible en plein combat.
Bref, c’est charmant et j’ai hâte de continuer, merci pour la reco. Je le trouve (pour l’instant) plus engageant qu’un Golden Sun, malgré toutes les qualités de ce dernier.
Pour la petite histoire, on se fait en ce moment Secret of Mana le soir en amoureux et j’avais oublié à quel point certains déclencheurs narratifs étaient tirés par les cheveux ou combien s’équiper convenablement relevait de l’ordalie. Heureusement que j’ai encore le guide sous la main. (Le path finding de l’IA reste par contre conforme à mes cauchemars).
Y’AVAIT UN MIYOO MINI STOCK ALERT BOT ??!!
(Bien content que tu l’aies reçue finalement, enjoy !)
Le souci avec ces saloperies, c’est que ca peut te mettre dans un état +1 frénétique : tu as déjà un pan entier d’histoire du jeu vidéo dans des conditions géniales, mais rapidement tu te mets à vouloir :
Mais au final, pour sa taille, qui définit CARREMENT l’usage, elle est parfaite je trouve 
PS ONO : J-2 ! \o/
Pour de l’émulation dans les meilleures conditions en bénéficiant de plein de perks sympas (Win10, bluetooth, stockage+, jeu PC peu gourmand), la GPD Win 2 reste un super bon compromis. Elle est sorti en 2018 si je ne dis pas de bêtises, j’imagine qu’on peut donc la topper en occase à un prix intéressant 5 ans après.
Ensuite, si elle est à clapet et fait tourner Gradius V sans problème, il faut reconnaitre qu’elle est moche a un charme atypique avec ses bordures grises et sa collerette/bezel prononcée. Niveau encombrement, c’est l’équivalent d’une DS LL, donc « ça va » mais c’est sans doute moins pratique qu’une mini rétro-console.
Je l’aime toujours autant, c’est mon jukebox retro/vidéo de déplacement, surtout que j’ai eu la chance de chopper un modèle avec vibration. Son précédent possesseur avait upgradé le système de ventilation, je crois que c’est un requis impératif sur les premiers batchs (les suivants ont fixé le soucis mais au détriment des vibrations).
Continuons sur le sujet des jeux méconnus de la NEO•GEO attribués au studio de développement Monolith avec l’onéreux Bakatonosama Mahjong Man-yūki et son protagoniste bien connu, à mi-chemin entre Astérix et Benny Hill dans la culture populaire japonaise.
Magnifique, ce modem Tsushin Booster pour la PC Engine. Je ne savais même pas que cela avait failli exister.
Jamais sorti au final mais quelques protos sont dans la nature.
Je rêve d’une sitcom-cartoon débile où on retrouverait la grande famille des accessoires NEC/Hudson obligés de cohabiter ensemble, avec Save Kun en protagoniste principal qui galère à se souvenir des noms et fonction de chacun.
Et RAU-30 en running gag du gars en constant doute existentiel.
Il y a eu des timbres Bubble Bobble en France (!)
De ce que tu parviens à décrypter des scans, c’est valable? L’idée est parfaite en tout cas.
Au passage, ce Canard a un mecha-design de jeu indé moderne, entre Chibi-Robo! et Untitled Goose Game.
Il me faut ce jeu. Ou au moins la figurine pour s’allier à mes valeureux Toilet Bots.
Un fou a porté en 2019 les deux premiers niveaux de Castlevania sur Intellivision.
Pas récent mais je découvre seulement l’exploit.
Je trouve ça très réussi; j’imagine le challenge d’y jouer avec ce pad…
… à peine un peu moins pire que celui de l’Atari 5200.
Ça y est, on peut jouer à la WonderSwan sur Analogue Pocket, en 60Hz seulement et avec forcément un peu moins de boutons (je pense notamment à Dicing Knight). Néanmoins, pour avoir refait pas mal de WS pendant les fêtes, un vrai D-Pad ne sera pas de refus.
Allons bon, tu formules ça comme si je n’avais pas évidemment tous (?) les bouquins à la maison. Sega no Game wa Sekai Ichiiiii était le grand manga culte des pages communautaires de Dreamcast Magazine (l’ex-SegaSaturn Magazine). Objectivement, je ne pense pas que ce soit le cousin perdu de Lewis Trondheim ; imagine plutôt si tu conseillais à un Japonais en 2023 de lire un recueil des premiers gags du lapin de Canard PC circa 2003. C’est une vibe de l’époque, quand les joueurs Dreamcast pigeaient pas pourquoi personne ne jouait à la Dreamcast et sentaient venir le clap de fin pour Sega en tant que constructeur.
Au delà des private jokes, le truc le plus intéressant de l’œuvre est peut-être qu’on y décèle l’émergence de la culture NEET et de la Satori sedai qui se cristallisait au Japon en fin de siècle mais, si c’est cet aspect qui t’intéresse, lis plutôt Dasei 67%.
J’espère qu’il a aimé Trials of Mana, du coup.
Une autre review de l’EVO64, le fameux neo C64 qui permet d’utiliser des amplis à lampes pour la partie son. Faut s’accrocher pour réunir ce full set…
Et un guide sur quel reproduction choisir en fonction des gouts.
Autant je suis super hypé par le côté audiophile débile de l’EVO64 (l’ampli à lampes seul coute 1000 boules), autant je pense tout de même partir à terme sur un Ultimate 64 tant il rend tout plus simple et plus rapide.
Je me permets de relancer de quelques illustrations parues en 2001 dans Dorimaga :
Que devient MCU du Kick The Can Crew ?
Il prend des photos des écrans de fin de tous les jeux Famicom qu’il finit pour les garder dans un album et il fait signer ses consoles Sega par les artistes qui figuraient dans les pubs de l’époque. La belle vie !
Where are all the humans? Upon returning from your 100 year voyage in the milky way, you find earth empty and abandoned. Between the decaying remnants of civilization, you discover a terminal for Worldnet, the global network that recorded all human activities. The answer must lie deep in its database. Anxious, you log on.
Passionnant, ce Portal (d’abord) sorti sur Amiga en janvier 1987 via Activision Entertainment Software. Un computer novel précurseur, à mi-chemin entre le visual novel qui ne débarquera au Japon que cinq ans plus tard avec Otogirisō, et le taf de Sam Barlow sur Her Story trois décennies plus tard, puisqu’on épluche ici un mystère narratif en se dépatouillant dans les bribes éparpillées d’une base de données contrôlée par une intelligence artificielle. On dirait du jeune Cryo dans l’ambition mais j’ai l’impression que le jeu est passé à la trappe dans la mémoire ludique collective anglo-saxonne – pour le coup, je ne blâme pas les Européens non-anglophones, vu la barrière littéraire.
Dommage que le jeu se soit fait chourrer son titre par un autre chef d’œuvre encore plus influent. Écrit par l’auteur SF Rob Swiggart dans le but explicite de concevoir un roman tirant pleinement partie d’un format électronique et interactif. Produit par Brad Fregger, dont on a déjà parlé tantôt sur Boulette pour ses fascinantes mémoires sur la découverte du jeu Shanghai. (Bon par contre c’est un gros Trumpiste donc on gagne pas à tous les coups.) Voici le reste de la partie (toujours en cours).
Jeu également abordé de façon extensive et intéressante dans l’article suivant :
https://www.filfre.net/2014/11/portal/
Ça aborde notamment le contexte et la motivation de produire cette œuvre qui restera bien seule dans son genre pendant longtemps.
Ah ça faisait rêver n’importe quel graphiste ces Silicon Graphics.
Mon expérience avec la Miyoo Mini so far (Allégorie)
Ils y en a qui pensent aux copains qui n’ont plus le temps de faire F5 devant Aliexpress, ce coquin de scalper de @Pharoah m’en a proposé une de sa réserve personnelle, avec en bonus une nouvelle carte SD avec Onion OS installé et une curation de ROM pour tous les systèmes. Autrement dit, c’est avec une grande gratitude et la sérénité de celui qui met les pieds sous la table que j’ai effectué ma première session hier.
Je me dois d’être franc avec vous camarades de fortune, la première heure, j’ai cru que j’avais fait une erreur. Surtout après avoir vu l’annonce de la Mini+. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit si petite et ne nous voilons pas la face, la prise en main est exécrable : la posture pour la tenir n’est pas compatible avec de longues sessions de jeu, et les touches L/L2 R/R2 sont une vaste blague. J’étais vraiment mal à l’aise.
L’écran est sublime, mais j’avais déjà eu cette révélation avec la Pocket Go il y a quelques années, donc j’en attendais pas moins.
En revanche je préfère définitivement la disposition GB (écran en haut et boutons en bas) à GBA (écran central et boutons sur les côtés) qui soulage la nuque de précieux centimètres.
L’OS est génial et fait vraiment toute la différence, c’est à la fois simple, rapide, et efficace.
Il m’a fallut plusieurs heures pour trouver une position intermédiaire qui finisse par me convaincre, mais j’aimerais bien tester la Mini +, parce qu’en partant à la recherche d’une remplaçante moderne à la GB, je pensais aussi à son grip, et là le contrat n’est pas rempli.
En ce qui concerne les machines émulées, j’ai passé un contrat avec moi même qui stipule de me limiter aux consoles portables. Autant les 16 bits passent crème sur l’écran géant (en comparaison) de la Pocket Go, autant sur la Mini, c’est leur manquer de respect. Je me limiterai donc à de la portable sur mini et tout le reste sur Mister comme ça pas de jaloux.
Bien entendu, après avoir signé ce pacte la première chose que j’ai fait c’est d’activer le core C64 en double SID et de blinder la SD de démos (sans pour autant avoir encore trouvé comment lancer les .PRG), mais je me réserve cette utilisation à une utilisation « baladeur » qui reste compatible avec le concept.
A priori je ne vais pas avoir besoin de mettre à jour le système avant un moment, mais je suis en Onion 4.03, et Pharoa m’a dit de faire super gaffe à ne pas aller plus loin pour le moment car il y a semble t’il un imbroglio avec les nouveaux modèles hardware.
Non c’est le contraire !
Tu peux mettre la version que tu veux d’OnionOS.
Le soucis est que le batch de Miyoo Mini blanches produites depuis décembre 2022 a un nouveau firmware (y’en a même eu deux en un mois) et que ce dernier n’était pas compatible avec OnionOS 4.0.3 : ils ont donc sorti à l’arrache un OnionOS 4.0.4 qui fonctionne avec le firmware de décembre 2022.
Donc pour moi t’as rien à faire 
(Danke)
L’indécense
Miyoo Mini Help :
Dans le répertoire où tous les jeux C64 sont rangés, j’ai ajouté un sub folder qui n’apparait pas dans l’interface principale, alors qu’il y a un autre sub folder qui apparait lui dans l’interface. Vous savez s’il y a un truc a activer pour que ça apparaisse ? Il y a aussi un autre sub folder qui n’apparait pas, volontairement je pense puisqu’il contient les images qui s’affichent en face des ROMS
EDIT : en passant par Retro Arch ça marche
︎
