(Merci pour le mémo, j’ai un peu près aussi peu joué à la N-Gage qu’à la Zodiac² et il faudrait que je rattrape au moins le Sega Rally, le spin-off Elder Scroll et Pathway To Glory pour ma culture.)
Un chouette jeu hommage à Assault City (et Akai Kodan Zillion, du coup)…
Developer moonkey states that they always suspected that Assault City was created from assets of a cancelled Zillion game. So why not see what it would actually look like if it actually was a Zillion game? So far Zillion: Assault on Maris features the first two stages of Assault City, complete with lots of Zillion goodness.
Sega Rally est un ratage complet sur N-Gage, Colin McRae Rally 2005 lui est très supérieur, même s’il est évidemment très différent dans l’esprit. Les jeux de course restés exclusifs à la machine, Glimmerati et System Rush, sont les meilleurs aux côtés de CMR 2005. Si jamais tu essayes System Rush, surtout garder l’OS en anglais : dans une autre langue le jeu souffre de glitchs graphiques qui empêchent la progression à moyen terme (je parle de l’expérience de jeu sur N-Gage, je ne serai pas étonné que le problème soit le même sur émulateur).
Elder Scrolls faisait un peu souffrir la N-Gage, mais en émulation ça devrait aller.
La version Pixel Remaster de Final Fantasy III est sortie et donc c’est l’heure de la désormais traditionnelle comparaison exhaustive des différentes versions. C’est dommage que le remake disparaisse des magasins en ligne alors que ce ne sont pratiquement pas les mêmes jeux. Un peu comme si on ne pouvait plus acheter FF7 depuis la sortie de FF7 Remake. [edit] Ah bah non en fait, je découvre que FF3 et FF4 restent dispos avec le nouveau suffixe « 3D Remake ». Bien !
Pile à temps pour Halloween.
A playthrough of Soft Studio Wing’s 1990 horror-themed adventure game for the NEC PC-8801, Mirrors.
Mirrors was one of just two games ever released on CD for the PC88, running from the PC Engine’s CD-ROM2 (the Japanese equivalent of the TurboGrafx-CD) that could be attached to a computer with the appropriate interface.
Since the game and its FM-Towns port were both only released in Japan, in this video I’m playing a version that has been fan-translated into English by Nebulous Translations.
Being that this is an 8-bit computer game running from a 1x CD drive and using 5.25" floppies as RAM disks, the loading times are awful. I’ve edited them out for the sake of watchability, but I did leave in one, at 3:25, to give a general idea of the speed of the game on original hardware. You can jump to 4:55 to skip it, if you like.
Mirrors is a Japanese-style adventure game, so the focus is on the plot - there are no puzzles to speak of here. There are several points where the story branches out based on certain dialog choices, and there are seven different endings. I’ve shown a few of the possible paths in this video. After the game ends, I go back to choose different options than I did the first time around and let them play out to their own unique endings.
4:25:48 Alternate path 1
4:55:07 Path
2 5:55:14 Path 3
Mirrors tells the story of the fictional English band Eleno Vision (basically Depeche Mode) who are about to begin their first international tour. David, the lead singer, has been having terrible nightmares, and the night before the band leaves on tour, he dreams that their manager has been violently murdered. The following morning he wakes to the news reporting that their manager had actually been killed, and it’s not long before he starts questioning his own sanity. The story is interesting and the game is good at keeping you hooked despite some of its more absurd twists.
For how modest its hardware is, the PC88 puts on quite a show with the game’s digitized photos, animated sequences, voice samples, and CD soundtrack. The platform’s limitations add quite a bit to the atmosphere - the tinted monochrome images and the muffled audio loops are surprisingly effective at creating the nightmarish tone that dominates the latter part of the game. Mirrors is slow paced and features little in the way of meaningful player interaction, but it tells an entertaining story that feels perfect for Halloween. If you enjoy Japanese-style adventures or the old « choose your own adevnture » books, give it a look!
Indeed, vers la fin, la boucle de respiration là, incroyable. Sublime témoignage d’une époque révolue, merci ! Ah c’est quand même autre chose que la Saturn !
Si seulement on pouvait avoir le même genre d’expo en france…
En parlant de PC-88, Higemaru consacrait sa dernière vidéo à la version X68000 de l’improbablement nommé Xák – The Art of Visual Stage, sérieux concurrent d’Ys à l’époque, et c’est rare mais je crois que je préfère la version PC-88, déjà partagée en archive vidéo deux ans plus tôt. La version Sharp ne propose même pas un scrolling fluide…
Dingo, un portage en cours du premier Tomb Raider (qui vient de fêter ses 25 ans il y a quelques jours) sur 3DO. La distance d’affichage en prend un coup évidemment, mais c’est impressionnant. Je suis surtout perplexe devant le manque de boutons disponibles sur une manette 3DO, faudrait nécessairement sacrifier certaines actions.
Passons à un trentième anniversaire avec cette chouette rétrospective de la version 8-bit de Sonic The Hedgehog, d’abord sortie le 25 octobre 1991 sur Master System puis en décembre sur Game Gear.
Toujours plus loin, pour nos membres graphistes et webdesigners du forum, les trois pages japonaises consacrées aux jeux Zelda de la console Game & Watch 35ème anniversaire sont magnifiques (notamment sur téléphone).
Ouah je n’avais jamais pensé à chercher ce que John Connor tenait dans ses mains pour hacker le distributeur automatique dans Terminator 2.
Suite à la vidéo ci-dessus, j’enchaîne les vidéos sur les palmtops rétro depuis ce week-end et je dois quotidiennement me retenir d’acheter un Hewlett Packard 200LX. Quel pied, ce petit bidule !
Vidéo intéressante sur la série de bouquins Choose Your Own Adventure, ses origines et ses décennies de batailles juridiques. Ce n’est bizarrement pas un élément important de la vidéo mais il ne faut pas confondre cette série avec la collection postérieure Fighting Fantasy de Ian Livingstone qui a largement plus influencé le genre des livres-jeux en Europe.
Frustré que la vidéo se concentre sur l’aspect américain uniquement, je suis allé m’aventurer sur Wikipedia, et j’avais jamais tilté à la fois que Folio avait choppé tout un tas de séries disparates pour les homogénéiser dans la collection « Livres dont VOUS êtes le héros », et aussi que c’était principalement des séries britanniques et que les américains avaient un truc totalement différent (et, de ce que j’en crois dans la vidéo, vachement moins bien). Mais aussi, le fait que tout ait été centralisé chez Folio chez nous donne une certaine homogénéité à tout un tas de séries complètement disparates, et les mêmes générations dans d’autres pays, même en Angleterre, ont probablement pas eu la même expérience…
Je me demande quand ils ont déposé la marque « Livres dont VOUS êtes le héros », du coup.
Aussi, je me demande s’il y a des compilations d’illustrations de tous ces bouquins. C’était cheapos, bien sûr, et je suis pas sûr d’avoir envie d’en relire un, mais je pense que la nostalgie serait davantage servie par une compilation de toutes les couvertures et illustrations N&B à l’intérieur. Selon la série, ça variait énormément en qualité, mais il y en avait qui avait des compositions assez recherchées, surtout pour des trucs pour gamins…
Featuring une rapide présentation de CyberDreams, dont l’ambition s’inscrivait bien dans la zeitgeist multimédia du début des années 90 et surtout un portrait intéressant du truculent Harlan Ellison lors de la conception du jeu, portrait qui ressemble curieusement à celui d’un vieux ronchon au cœur d’or (alors qu’il s’est comporté pas mal de fois comme un réactionnaire cynique uniquement appâté par la thune).
Je n’ai jamais joué au jeu en lui-même, même s’il m’a intéressé sur le principe depuis sa sortie mais je crois que les nombreux bugs dont il souffrait à sa sortie m’en avaient dissuadé (en plus, accessoirement, de ne pas avoir le matériel pour le faire tourner à l’époque) et après j’ai eu la flemme de le lancer sous SCUMMVM.
Bonus : plein de mots inhabituels de vocabulaire anglophone dans ce papier.
Je vais aussi jeter un coup d’œil au reste du blog…
Une très (trop) brève rétrospective de la série Tengai Makyō sur PC Engine, mais l’auteur songe à filmer un truc plus costaud pour chacun des jeux.
Le cinquante-neuvième et plus long (!) épisode de Chrontendo vient de tomber. 130 minutes consacrées à dix jeux – ou onze selon votre appréciation du cas Power Blade vs. Power Blazer – sortis entre mars et avril 1990, dont notamment Megami Tensei II (ça tombe bien !), Ninja Gaiden 2 et surtout Crystalis dont le segment représente à lui seul près d’un quart de la vidéo.
Encore plus étonnant : le retour synchrone et inopiné de la rétrospective Wonderswan, Swan Song, après deux ans de hiatus !
Excellent, merci ! L’auteur mentionne à la fin un forme de résurgence culturelle des jeux de strip mahjong ; j’ai surtout eu cette impression dans l’édition spécialisée avec un paquet de bouquins consacrés au milieu depuis trois ou quatre ans, que ce soient l’artbook de Suchiepai ou les recueils archivistes de Maeda Hiroyuki, mais surtout ce bouquin de 2018 sur Dynax et Nichibutsu qui est assurément la principale source d’information de l’article :
Quant à la résurrection des jeux de mahjong sur Switch, on la doit surtout à l’éclosion conjointe de l’éditeur City Connection (qui s’est intelligemment spécialisé dans la récupération de vieux catalogues de série B) et de l’émulation Saturn commercialisée par Shimasaku Naoki. Le résultat technique n’est pas fameux sur les shoot’em ups (cf. la compilation Cotton 2 / Guardian Force) mais c’est évidemment moins problématique sur un jeu de mahjong offline… D’ailleurs, ils ressortent Idol Mahjong Final Romance R la semaine prochaine, en émulant (et censurant) manifestement une fois encore la version Saturn.
Quelques précisions concernant Mahjong Gakuen : Yuuga est une vraie boîte spécialisée dans la récupération / le recyclage de vieilles pièces, en particulier sur le marché de l’arcade. C’était vraisemblablement déjà l’un des partenaires de Capcom à cette époque.
Tsujimoto a refusé de sortir le jeu sous la marque Capcom, il n’a été mis au courant de son développement qu’en cours de route et, outre le fait que sa boite faisait des jeux grand public, le développement en lui-même a quand même été très problématique : le boss d’une division qui demande à des personnes d’un rang hiérarchique inférieur de se déshabiller, jeu réalisé en dehors des heures de travail, etc. Okamoto qualifie lui-même son comportement (en en riant) d’abus de position dominante et de harcèlement sexuel :
Une visite pittoresque chez Red Company diffusée en mai 1995. On y croise notamment Akitaka Mika (créateur des persos de Galaxy Fraulein Yuna et Sapphire), Aoki Kobuta (charadesigner de PC Genjin) et Maisaka Kō (Princess Minerva). Il me semble qu’on croise aussi Nagoshi Yasuashi (programmeur majeur des débuts de BPS et futur président de Red) dans la salle du kikakubu au début. Aucune idée de ce qu’ils cachent au troisième étage sur les stations de travail Macintosh mais, vu l’époque et l’utilisation de CG, cela pourrait être Sakura Taisen.
Le site Hidden Palace a récupéré deux builds de Mystical Ninja Goemon Zero, la localisation avortée de Bōkenjidai Katsugeki Goemon par Working Designs. (Ne prêtez pas trop attention au bref résumé de l’histoire de Konami qui raconte un peu n’importe quoi sur le contexte de la sortie japonaise.)
Un jeu maudit à plus d’un titre. La version japonaise était sortie dans les premiers mois de la PS2 au Japon, quand la machine était encore très difficile à trouver et que les exclusivités PS2 ne se vendaient pratiquement pas (situation qu’on retrouve d’ailleurs aujourd’hui avec la PS5). Essuyant des plâtres techniques et un accueil critique féroce – c’est unanimement “le pire jeu Goemon” – conspuant ses tentatives malheureuses de singer Ocarina of Time, Bōkenjidai Katsugeki Goemon avait précipité la série et son équipe de développement (chez KCE Kobe) dans la tourmente.
Ce n’est guère plus gai pour la version américaine, qui fera partie des raisons de la mort de Working Designs circa 2005, l’éditeur n’arrivant pas à trouver un terrain d’entente avec SCEA pour la validation des TRC du jeu. Voici une vidéo des deux versions, datées respectivement de juin et août 2005.