Et en plus, pour Valis, il manque encore des choses, non ? Genre le Valis 4 SFC ? Ils ont vraiment faim…
Oh bah il manque plus d’une version, à commencer par celles sorties sur ordinateur. Après, je comprends leur souhait de ne pas inclure le tristement célèbre Valis X, titre produit par des gens qui trouvaient qu’une bikini armor faisait encore trop habillé.
Ouais on est loin du côté “musée”… Encore, s’ils s’en étaient tenus aux versions PCE, on aurait pu comprendre l’idée, mais si tu rajoutes deux versions Mega Drive pas terrible, autant carrément aller à fond dans la collec’. Déjà pourquoi tu fous pas toutes les versions Mega Drive ? Pourquoi pas la version SFC effectivement? Le plus intéressant serait surtout de rajouter les versions PC-88 qui avaient une mécanique de power up complètement différente.
T’as aussi des versions Famicom, X68000 etc. Et il me semble qu’elles appartiennent toutes à Telenet. Y avait vraiment de quoi faire un Vol.2 moins radin. Note toutefois que Super Valis IV est déjà dispo sur Switch via le NSO depuis décembre 2020, mais uniquement en Occident (j’ai fini ce jeu sur ma Switch quand il est sorti).
(Je rappelle d’ailleurs qu’un compte NSO actif peut accéder aux jeux des applis occidentales et japonaises tant qu’il les a téléchargées ; le compte n’est pas zoné. Cela vaut aussi pour la N64 et la Mega Drive du « pack additionel ».)
Ce n’est pas la série la plus obscure ayant besoin d’une rétrospective, évidemment, mais si vous avez (au hasard) besoin de chaussons confortables pendant que vous êtes bloqués chez vous tandis que votre ville est ensevelie sous la neige ce week-end, cette nouvelle vidéo sur Super Mario All-Stars rappelle assez justement le caractère exceptionnel du jeu dans le contexte se son époque, son rapport avec le film qui sortait en même temps, et son influence sur les futures ressorties de Super Mario.
La série en cours The Animation of Final Fantasy est arrivée à Final Fantasy III.
Une longue vidéo sur les neuf romans Digital Devil Story Megami Tensei, série de bouquins qui a donné naissance à la série de jeux vidéo bien connue. Je n’avais jamais constaté ce parallèle évident entre Shin Megami Tensei et The Witcher auparavant, tiens.
Potato quality par moments mais 30 ans de Kirby c’est aussi 30 ans de pubs Kirby.
Très chouette nouvel épisode de Swan Song au sujet de la prolifique série Morita Shōgi.
Je n’avais jamais pris la peine de me renseigner et pensais bêtement depuis tout ce temps que Morita Kazurō était un maitre de shōgi avec une appétence intarissable pour le licensing mais, en fait, c’est un programmeur dans la veine de Nakamura Kōichi (même background “je gagne le concours de programmeur à ¥1 Million d’Enix”), devenu une sorte de star du secteur à l’époque des explosions conjointes de l’ordinateur personnel NEC et de la Famicom.
Morita a fondé sa propre boîte, Random House, qui s’est spécialisée dans les jeux de stratégie et les jeux de plateau à intelligence artificielle performante mais reste surtout connue pour Morita Shōgi, sorti sur à peu près toutes les plateformes de la galaxie entre le milieu des années 80 et le milieu des années 2000. Comme expliqué dans la vidéo de SwanSong, Random House deviendra donc ensuite le Yuki Entreprise que l’on connaît aujourd’hui pour multiples jeux de plateau mais aussi SamSpi et Arcana Heart.
L’Occident parle plus volontiers de Morita Shōgi 64 pour son Modem intégré dans la cartouche mais je retiens avant tout la version PC Engine, Morita Shōgi PC, et sa couverture invraisemblable mettant en avant son option pour transformer les pièces en pions heroic fantasy à la place des pièces habituelles.
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Une tres belle version de Bombjack sur Atari 8 bits (avec cette extension):
Mais c’est deja tres bien avec le hardware d’origine (qui date de 1979 quand meme):
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À l’occasion de la sortie du nouveau Kirby, Shmuplations a déterré un excellent entretien de Nintendo DREAM avec les développeurs de Kirby: Cauchemar au Pays des Rêves (2002).
Mais je recommande également cet article de 1983 sur Thinking Rabbit, juste après la sortie de Sōkoban.
(Et oui petit, ça fait mal mais seule la GC PAL bénéficie du RGB…)
Je n’entends pas toujours que du bien de l’Analog Pocket et cette vidéo un peu amère dresse un constat encore moins folichon que je ne pensais: form-factor vraiment bif-bof et ergonomie des boutons de tranches perfectible, grosses lacunes software sans aucune feuille de route, incompatibilité avec la plupart des flashcards, soucis de save-states, etc.
Quelqu’un ici avait passé le pas et a un autre avis? (C’est pour un cousin qui serait éventuellement intéressé).
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J’ai rêvé de ce device toute mon adolescence
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Mon frangin utilisait pour sa part la Nordic Power pour faire des cracks de ce genre (et le code de l’intro au passage):
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Jamais vu ! Il l’avait choppé comment ? A lyon aucune boutique ne vendait ce genre de truc.
Il l’avait acheté à A.M.I.E sur Paris, il me semble. C’était un des plus gros repaires de pirates de la capitale.
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Un home-brew vraiment sympa pour Gameboy (ca rappelle forcement Canardo):
Ah, et un remake en vue de Max Payne:
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Marrant comme marchent les souvenirs, j’étais persuadé que la fameuse VHS promo Super Nintendo fêtait ses trente ans ce mois-ci alors qu’elle semble être parue deux mois APRЀS la sortie de la console en France, en pleine amorce des whishlists de Noël.
Toujours dans mes souvenirs, j’ai topé la machine fin juillet 92 (dans un Jouet Club, comme les vrais).
Pourtant, je me vois scotcher sur cette VHS en boucle, en bavant d’espoir, tout en économisant pour acheter la machine au plus vite, ce qui consistait principalement à faire un lobbying actif auprès de mon frère —pas hyper branché JV— pour qu’il groupe ses économies aux miennes, en lui promettant le futur de l’entertainment of the world dans notre salon.
Du coup, mon post d’anniversaire tombe à l’eau mais si quelqu’un a plus d’info sur cette vidéo promo, je suis très preneur. A part quelques blogs français qui survolent, je ne trouve rien à son sujet. Chose étonnante, je pensais qu’il s’agissait d’un asset NOA, localisé ensuite pour chaque marché à l’instar de la VHS Donkey Kong, mais impossible de trouver trace d’une version en espagnol ou anglais par exemple.
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Pas sûr que ça parle à quelqu’un d’autre que @Kanu mais dans l’hypothèse d’un lurkeur passionné par la P/ECE…
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Jolie synchro, je prévoyais d’en parler ici mais sans me presser tant je pensais que l’info était passée à l’as ou ne passionnait pas grand monde. Je rêve de mettre la main sur cette machine mais la réalité est venue frapper à ma porte récemment (j’ai un peu fait n’importe quoi avec mon budget, notamment dans l’achat d’une Amiga CD32).
Mon post en jachère, pour info :
Une belle âme a passé beaucoup de temps à compiler le maximum de software de la P/ECE et a transvasé le tout sur Archive.
Par ricochet, je suis tombé sur cet excellent blog de Matt Sephton qui évoque la machine…
…mais aussi des homebrews japonais pour Macintosh, comme ce Mario Kart à la souris datant de 2002.
En parlant de trucs obscurs, j’explore en ce moment la ludothèque CD-I, suivant le courage dispo après les journées de taf (et il en faut pour certains titres). Malgré tout, je rejoins l’avis de la poignée de passionnés qui évoquent la beauté de cette ludothèque, malgré le sarcasme qu’elle peut immédiatement provoquer. C’est une beauté singulière, nul doute qu’il faut avoir connu la hype multimedia du début des années 90’s pour la remettre en contexte mais je l’adore, comme un album de vaporware que se défait de ses oripeaux moqueurs pour proposer du vrai au milieu du faux. Il y a une poésie fascinante dans ces interminables séquences FMV.
Bref, au lieu de commencer Death Stranding ou continuer Norco ou Elden Ring, j’ai passé hier ma soirée à jouer avec ma douce à :
Et le charmant point and click un peu simplet mais validé par Stéphane Bern:
Si d’autres braves sont dans la même démarche, je peux transmettre les coordonnées de bricoleurs qui trafiquent des Arduino pour rendre compatibles les pads SNES avec le CD-I, dont les manettes fabriquées à très peu d’exemplaires partent aujourd’hui vers la centaine d’euros… quand elles fonctionnent encore à cause des faux-contacts liés à ce câble absurde de plus de 2 mètres.
Pour revenir à l’Amiga CD32, il s’agit une fois de plus d’une machine que j’ai laissé dans mon angle mort trop longtemps et qui se trouvait pour le prix d’une crotte de nez il y a encore dix ans mais qui atteint désormais des côtes impossibles à cause de son faible tirage, de la fanbase Amiga et des scalpers de l’apocalypse.
Après des mois de veille, j’ai enfin dégoté une annonce à prix raisonnable, c’est à dire sous les 300€ sans frais de réparation. Gros budget mais elle part souvent à plus du double. La machine est arrivée ce midi et j’ai halluciné sur son état lamentable: sale comme un mix studio de Metallica et sans doute stockée dans un grenier infesté de mulots vu les déchets et l’odeur d’urine sur la coque. J’hésite à la renvoyer, elle est pour l’instant dans une zone neutre (dans le couloir des parties communes, si quelqu’un la vole, il me racontera sa leptospirose).
Je vais tenter de la désinfecter et la démonter pour nettoyer en profondeur.
image_non_uploadée_pour_ne_pas_vous_couper_l’appétit.png
Bref, tout ça pour dire que si l’exorcisme marche, j’enchaine bientôt sur la ludothèque Amiga/CD32 et notamment sur la série des Gorluth.
Je m’en veux tellement de ne pas l’avoir choppé au début de Boulette 
Pendant ce temps, un peu plus tard :
Bon, la situation reste acceptable, j’ai tout passé au désinfectant pour vérifier si elle marchait. La manette boomerang historique semble souffrir d’un faux-contact à réparer plus tard (et le D-pad est fait de ce plastique qui colle avec le temps, quelle souffrance ce truc) mais celle en forme de manette Megadrive fera l’affaire en attendant.
Le lecteur optique m’a vraiment fait peur au début: les CD ne se calent pas, il restent en suspension, penchés… Mais somehow ils se lancent et la CD32 accepte tous mes CD gravés.
Pas mal de compilations à découvrir, qui offrent des centaines de jeux dans un frontend pratique, permettant de sélectionner ses options avant de lancer le jeu = mamie je t’aime, à l’année prochaine.
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