[Sciences] Philosophie naturelle et phénomènes idiomatiques, une étude hypertextuelle. Boulette et al. 2021-

Ca va ch…

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Quand même.

Et avec cette belle forme de teub, quelle bel hommage à Austin Powers.

Ca m’a surtout rappelé la fusée de Flesh Gordon.

Je mets ça ici à tout hasard. Pas encore eu le temps de regarder mais il y a sans doute des sujets intéressants:

IA Fictions est le premier colloque organisé sur le thème de l’intelligence artificielle (IA) dans la fiction (littérature, séries, films, bande dessinée, jeux vidéo, arts plastiques). Il s’est intéressé aux représentations de l’IA et à leurs significations ainsi qu’aux usages créatifs de l’IA pour produire et comprendre la fiction en textes, en sons, en images fixes et animées, comme en jeux vidéo.

Toutes les conférences sont dispo en ligne

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Je ne sais pas si, vous aussi, Youtube a fait le forcing ces dernières semaines pour vous faire mater le petit vieux d’Asheville (charmante bourgade de Caroline du Nord où vivait une de mes grands-mères fut un temps) qui filme et partage les visites hebdomadaires dans son jardin d’ours noirs depuis environ trois générations – un des premiers oursons de ses archives a récemment commencé à ramener ses petits – mais j’ai craqué la semaine dernière et j’avoue que c’est assez fascinant. Même si l’espèce est manifestement relativement peu dangereuse pour l’Humain, t’as l’impression que ça pourrait déraper à tout moment, en témoigne la dernière vidéo en date. La tranquillité du pépé m’impressionne presque autant que la solidité de son porche qui se fait régulièrement escalader par les bestiaux.

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Je pense qu’il est temps d’interdire le plastique les bébés.

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J’ai cliqué (bien entendu), et j’ai appris plein de trucs assez cools sur les animaux

Je découvre les caractéristiques spécifiques du lac Baikal, le « Galapagos russe ».

Instagrammer le moment « je mange mon sandwich sur la plage » est plus difficile qu’il n’y paraît

(apparemment en plus c’était juste pour faire tomber le sandwich par terre, le salaud ne l’a même pas mangé. Apparemment c’est un problème dans la région, pire que les daims de Nara parce qu’ils peuvent aussi embarquer une partie de ta chair à toi si tu n’as pas de chance)

Un pas de plus fait vers le grey goo.

Scientists say they’ve witnessed a never-before-seen type of replication in organic robots created in the lab using frog cells.

https://text.npr.org/1060027395

Un article romantique mais fascinant sur les nombreux mystères des… anguilles.

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Je relance de

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J’espère vivre assez vieux pour vivre le moment où ces théories baits clics aboutiront sur quelque chose de concret.

Pendant ce temps dans les voyages actuels:

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Ah, quand même ! Ça aura pris son temps pour le trouver.

https://api.nationalgeographic.com/distribution/public/amp/animals/article/first-true-millipede-discovered-with-thousand-legs

EDIT : Si vous voulez savoir ce qu’il se passe dans le désert namibien en ce moment (là y’a des oryx qui boivent au moment où j’écris)

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Dis donc, faut espérer que l’un d’entre eux ne veut pas une PS5 à Noël.

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Après 4 jours de visionnage du stream du désert namibien où je n’ai vu que des oryx quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit, avec parfois 3-4 gazelles ou un cheval tentant de chopper une gorgée entre les cornes, je commence à me demander si les oryx ne sont pas les mafieux du désert.

(Aussi peut-être que les puits artificiels pour aider les animaux sont en fait des problèmes qui déséquilibrent l’écosystème j’en sais rien)

Le Projet Lutetium, 14 étudiants en science qui tentent un truc assez intéressant : montrer les recherches en cours de fort jolie façon, en collaborant avec des facs d’art (particulièrement video et musique).

Les recherches sur les microfluides ont l’air vraiment intéressantes (avec de vraies applications en médecine, et même une version lowtech en papier assez géniale).

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Un longread du Times sur une spécialiste de la généalogie génétique qui utilise son expertise pour résoudre des affaires non élucidées.

Il y a beaucoup de bio et d’explications techniques dans le papier. Quelques points qui m’ont semblé intéressants.

Déjà la rapidité absurde à laquelle on a progressé dans les techniques de séquençage, j’avais une vague idée mais quand même.

The first sequencing of an entire human genome took more than a decade and cost around $3 billion, wrapping up in 2003. Within five years, a new generation of mass-produced, low-cost genotyping chips debuted that could perform an almost instantaneous high-resolution sampling of a genome.

Plus intéressant, l’idée qu’une information qui relève de la vie privée - et dont la divulgation serait généralement envisagée sous l’angle du choix individuel - soit soumise aux décisions de personnes externes sans qu’on n’y puisse rien.

“There’s something that was really eye-opening to me,” Moore told me one day from her sunny couch perch. In 2012, she attended a genetics conference where she sat on a panel that included two women who were members of Native American nations. “The women explained they wouldn’t take a test without consulting everybody else in the tribe, because they’d be making the decision for everybody.” The same logic, she pointed out, now applied to the whole country. “It all happened under the radar, and it doesn’t really matter if you’re opposed: It’s a collective decision that’s already been made. A lot of what the privacy advocates have said I agree with. But 30 million people made that choice for everybody else.”

Moore’s candid assessment cuts to the heart of the unease over genetic genealogy and neatly describes a problem for which tech anthropologists have coined the term “networked privacy.” This really means lack of privacy: how you are exposed by others, how your individual choices can be diminished or undone when others can share things about you that you might not share about yourself. And so the conundrum around the expanded use of genetic databases is philosophical as much as legal: It’s about how we can control something that is uniquely ours — and yet not entirely ours to control. It’s about data that is personal yet transpersonal. As with the prime object lesson in networked privacy — social media — so with consumer DNA sites, the real breach is simply that the data exists in the first place.

Je n’avais pas non plus entendu parler parler de la loi d’Amara.

One way to think about the future of transpersonal data comes from danah boyd, one of the anthropologists who first described networked privacy: Just as choice is not really individual in the network, harm isn’t individual, either — it happens to everyone. A cultural shift can occur from the acceptance of many individual harms, which may be legal and legitimate, until the world in which we live is unrecognizably transformed.

Here is another way: The futurist Roy Amara offered a spin on the unintended consequences of new technology, known as Amara’s Law: “We tend to overestimate the effect of a technology in the short run and underestimate the effect in the long run.” The pattern can be seen over and over: An innovation comes along; expectations run wild, then fail to materialize; but the new technology quietly expands, in unexpected ways, until it winds up having a profound effect after all.

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(via @sodat )

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