En même temps ton coach fait partie de ceux qui refusaient l’idée d’une primaire.
RAB de la primaire, chacun mène sa barque jusqu’à une semaine du premier tour, on voit qui en ressort le plus fort, et tout le monde se range derrière pour avoir une chance de ne pas reproduire le même plateau qu’il y a 5 ans.
J’en veux pas aux individuels d’avoir cru en leur propre destin, je leur en veux de ne pas avoir compris quand c’était cramé, et qu’il fallait changer de strat. Hidalgo là, faut vraiment vivre dans une bulle et être complètement déconnecté de la réalité pour avoir cru qu’elle pouvait y aller toute seule.
Ma mascotte préférée c’est footix.
Ton idée du football total me semble quand même en contradiction avec le principe de jeu démocratique.
Soit dit en passant Chaz a raison, Gauche United = 31.94, Extrême droite Racing = 32.28 et je compte même pas le FC Pécresse qui a quand même passé pas mal de temps au fond de l’aile droite.
Mais ça sert à rien de refaire le match, ça marche pas comme ça le football.
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Le jeu démocratique est tellement biaisé à cause de la FIFA… M’enfin c’est plié, et il va être très long ce match de 5 ans, un peu comme un épisode d’Olive et Tom.
Avec 20.000+ supporters allemands au Camp Nou. J’ai un pote fan de l’Eintracht qui y est allé avec son fils (adolescent), quel pied ça a dû être !
Pour votre gouverne footbalinguistique, Eintracht (l’entente) est grosso modo l’équivalent local du United anglophone. Le nom est surtout associé au club de Francfort-sur-le-Main au niveau professionnel mais, par exemple, c’est l’Eintracht Brunswick (fondé en 1896 donc trois ans avant le club de Francfort) qui possède le nom de domaine eintracht.com.
Après ma soirée au Groupama Stadium hier soir, l’effort d’imagination qu’il me faut produire est au-delà de mes forces.
Quel sketch, cet OL. J’ai rarement vu une équipe de foot aussi dénuée du moindre plan de jeu, de la moindre once de début de jeu collectif, en ayant pourtant un tel vivier de talents sur le papier. J’espère quand même qu’ils vont réussir à ne pas gâcher Romain Faivre, qui pue le football mais semble avoir le mental d’un Gourcuff. Le pire, c’est que West Ham ne jouait même pas spécialement bien, c’était juste simple, propre et efficace, genre des passes dans les pieds, un contrôle, une passe, un truc largement hors de portée des Lyonnais, qui jouaient comme moi en 1993 en bas de mon immeuble : des dribbleurs qui se perdent dans des gris-gris inutiles et foirés, aucun fucking appel, des offensifs qui campent en attendant que le ballon arrive, et Denayer le défenseur central obligé de faire le jeu. Quelle abomination.
C’était un tel sketch que des supporteurs français se sont battus entre eux dans les tribunes près de là où on était, sous les yeux ronds de quelques sympathiques Anglais aussi abasourdis qu’amusés.
Il y avait peut-être des méthodes moins radicales et traumatisantes pour empêcher ton gamin de devenir fan de l’OL.
En parlant de bérézina sportive, le deuxième Play-In de l’Histoire de la NBA a rendu son verdict et c’est une nouvelle désillusion pour les Los Angeles Clippers de Steve Ballmer, qui ont dû jouer leur dernier match de qualification sans Paul George (positif au COVID19 quelques heures avant le match) et Kawhi Leonard (blessé depuis les Play-offs de la saison dernière !). L’équipe ayant plus ou moins hypothéqué son avenir proche avec le transfert de ces deux joueurs il y a trois ans. En tout cas, ce nouveau format de qualification fonctionne très bien.
À ce stade de la saison, à moins d’une blessure grave, je ne vois pas trop ce qui empêcherait une nouvelle finale Suns-Bucks mais on sera vite fixés.
Rapport cinglant sur l’état désastreux du football turc, qui loupera par ailleurs la Coupe du Monde.
Dire que j’aurais pu mater ça plutôt que PSG-OM.
Grand moment de clownerie en baseball (et particulièrement bien expliqué si on ne connaît pas bien les règles) :
La belle histoire du week-end :
Je ne sais pas si ça compte comme une passe + un rebond + un panier dans ses stats ?
Ces Playoffs sont chouettes, dites donc. Première fois de l’Histoire des Playoffs NBA que trois joueurs de moins de 23 ans marquent 30+ points dans le même match (Morant & Jackson Vs. Poole).
J’hallucine. On dirait une news putaclic bidon de FootMercato.
De quoi possiblement régler ce problème en 2024 :
https://www.twitter.com/F1/status/1521597979060228096
Vainqueur de six grand prix sur trente-huit disputés en cinq ans. On pourrait débattre si survivre à trente-huit grand prix de F1 dans les années 50 (notamment ce crash) n’est pas plus impressionnant que gagner un titre aujourd’hui…
Le podcast officiel de la Formule 1 avait eu l’élégante intuition d’inviter Tony Brooks il y a deux ans pour évoquer sa carrière avant de passer l’arme à gauche.
https://vt.tiktok.com/ZSd5ENBrV/
(Je cherchais vainement un lien Youtube depuis trois jours avant de trouver ça en deux secondes sur TikTok, quel boomer…)
De l’autre côté du globe…
Petit exploit pour le football états-unien. Le pays avait déjà gagné deux fois la Champion’s Cup, le précédent format.
La finale se joue en deux manches. Les matches étaient intégralement diffusés (et toujours disponibles) sur Youtube pour le reste du Monde mais sinon voici le résumé des deux manches.
Suivez (enfin essayez malgré les changements de plan) le #21 Rich Strike qui démarrait tout à gauche / à l’extérieur du cent-quarante-huitième Kentucky Derby le week-end dernier.
Encore plus impressionnant vu du ciel. Qualifié de dernière minute pour remplacer un autre cheval, Rich Strike était (de très loin) la côte la plus haute de la course à 80 contre 1. C’est d’ailleurs la deuxième plus haute côte de l’Histoire du derby à remporter la course (Donerail avait gagné en 1913 avec une côte de 91 contre 1).
Je vous passe les anecdotes toutes plus dingues les unes que les autres, entre le cheval que certains ne voulaient pas qualifier par peur qu’il embarrasse l’évènement ou blesse d’autres chevaux, le jockey parfait inconnu de l’Ohio, l’entraîneur qui avait perdu tous ses chevaux dans un incendie six ans plus tôt, ou le propriétaire dénigré par l’industrie et qui pensait quitter le milieu à la fin de la saison.
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Remplace les pauvres dadas pétris de coups de fouet par des biclous Brigitte Bardot-friendly, multiplie le nombre d’adversaires par 15, ajoute une dimension stratégie d’équipe et un level design qui change chaque jour, et t’es à ça de découvrir les joies du cyclisme !
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C’est faux puisqu’il vous manque le détail crucial pour rendre ça divertissant : on ne peut pas manger Cavendish après la course.
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