Ok j’avais jamais pensé à acheter des notes, ni regarder celles que je trouvais. En effet y a un marchant qui vend une vague indication pour Sellen, merci !
Après ça doit dépendre du genre de joueur, moi j’avais déjà trouvé Sellen au moment où j’ai acheté ça parce que j’adore explorer (et en fait Sellen est pas dans un recoin très compliqué). Mais je dis ça et pourtant dans ma session d’hier j’ai trouvé deux châteaux dans des coins de la maps que je pensais avoir déjà exploré (et plein d’autres trucs). Aussi, ça fait maintenant deux quêtes démarrées (aucun lien avec le nombre de château) où la personne mentionne qu’en fait j’aurai pas dû les trouver par hasard et quelqu’un aurait dû me filer une invitation (je pensais avoir une des invitations d’ailleurs).
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Une bonne explication de la logique (un peu foireuse) des chutes.
Welp. Les cons sont de sortie et foutent en l’air le multi sur PC.
Apparemment ce n’était pas censé être un raccourci.
The likely theory is it was originally an ordinary illusory wall they decided to remove, and rather than alter the object placement they just flipped the wall’s HP from “1” to “a million” (or whatever).
To further corroborate this, it’s not being revealed based on a specific number of strikes, it seems to have health or whatever.
I whacked at it 50 times with an unupgraded Dagger and it didn’t break. I whacked at it with a +24 ZWEIHANDER 40-50 times and it broke.
Extremely vague spoilers, basically just understand these doors are next to NPCs and that they don’t actually allow access to unique areas, they are seemingly alternate paths to areas accessible by other ways.
From this what it seems like to me was that these pathways might have at one point opened and closed based on questline progress or specific events with the NPCs nearby. I think this explains why these also respawn when you rest at a site of grace. Since they aren’t meant to be opened by the player at all, the event trigger that opens them isn’t flipped by breaking them yourself, so resetting the area also resets the pseudo-illusory walls.
On sait depuis que ces deux murs ont très exactement 9999HP, ce qui corrobore l’hypothèse ci-dessus.
Je rebondis là-dessus pour mettre à plat une réflexion qui me vient souvent en jouant : j’ai l’impression que les Souls sont aux années 2010 ce que les Super Mario Bros étaient aux années 85-95 : des univers à la fois remplis de secrets, au fonctionnement qui repose sur une logique autoréférentielle, et un aspect volontairement opaque qui rend nécessairement l’expérience communautaire. Cela vaut pour Elden Ring qui est le seul sur lequel j’ai dépassé les cinq heures de jeu mais j’ai l’impression que ça marche pour les autres : le jeu est structurellement fait pour qu’on soit paumé/décontenancé quand on plonge dedans sans référence, et qu’on se tourne vers l’aide d’autres joueurs pour y comprendre quelque chose. C’était littéralement la stratégie commerciale de Miyamoto avec SMB : gaver le jeu de passages secrets et bonus invisibles ne relevant d’aucune logique autoexplicative, et compter sur l’effet cour de récréation pour laisser les joueurs se partager entre eux leurs découvertes surnaturelles, qui sur un tuyau qui en fait mène au sous-sol, qui sur le plafond qui est aussi un plancher, qui sur un bout de vide qui cache une vie, etc. Ca paraît évidemment super tarte à la crème aujourd’hui vu que depuis Mario a imbibé la culture populaire de ses codes, au point qu’on ne se pose plus la question, mais SMB et ses suites sont pourtant des jeux intrinsèquement hermétiques, même si cet hermétisme chute mécaniquement en enchaînant les épisodes. Avec ces histoires de mur, j’ai l’impression de jouer pour la première fois à un Mario sans avoir fait les premiers, j’ai bien conscience qu’il y a plein de passages secrets mais la manière de les ouvrir est complètement opaque pour moi. Il m’arrive souvent de donner un coup d’épée dans l’un, ou de rentrer tête la première dans l’autre, ou de réfléchir à un geste qu’il faudrait que je fasse, et je me sens franchement aussi con que si j’étais face à un tuyau de téléportation dans Mario et que j’essayais tour à tour de m’accroupir, lancer une carapace et dessiner des arcs-en-ciel en sautant pour ouvrir le passage secret, tout ça parce que je comprends bien qu’il y a quelque chose mais que bordel j’ai pas la ref je ne connais pas les codes de Souls, du coup bah je reste devant en faisant des trucs cons qui marchent pas. Mais je l’accepte, j’ai l’impression que ça fait partie du délire et que le pire serait d’aller chercher un walkthrough alors que non, ce serait contraire au contrat.
Bref, avec vos histoires de murs à 9999 HP je suis encore plus paumé.
Sinon hier j’ai probablement eu mon plus grand vertige esthétique depuis le début de ma partie, en découvrant, à l’issue d’un long périple inquiet et fiévreux en pleine terra incognita pour moi, Liurna et notamment la ville semi-engloutie, monument de mélancolie spatiale qui m’a poussé à rejoindre le prochain feu de camp dans un état second, sauvegarder et arrêter la partie, je ne voyais pas ce que je pouvais trouver de plus fort en une soirée après ça.
Je n’ai pas assez de mots pour dire tout l’amour que j’ai pour la narration environnementale d’Elden Rings, et le fait que ce monde ouvert si silencieux en apparence ne parle que par ruines, susurres de fantômes, ponts effondrés et vieilles structures sablées par le temps. Même les routes principales sont un étonnant théâtre en ligne droite fait de saynètes qui semblent se rejouer en boucle, derniers coups d’épée entre deux bataillons à l’agonie, géants tristes et voûtés, prisonniers pour l’éternité d’une sépulcrale diligence à leurs mollets, chevaliers épuisés adossés à une falaise, leurs camarades gisant à leurs pieds. On arrive toujours ou bien trop tard, ou bien au moment où l’issue irrémédiable s’approche, dans le spectacle permanent d’un monde qui s’effrite et de géants qui s’agenouillent. Le jeu porte sa temporalité propre, il est toujours ou bien déjà trop tard, ou bien bientôt trop tard, et même les PNJ du début qui renaissent pour refaire innocemment un petit trajet innocent en forêt ont l’ironie et la vanité d’un destin sans possible. Je ne sais pas encore au juste où l’aventure ira, si on peut parler d’aventure, ce que raconteront in fine ces quêtes qui parlent plus souvent de spectres et de défunts que de jeunes princes, ni s’il m’arrivera de porter une lettre à son destinataire avant que celui-ci ne meure, j’ignore également jusqu’où continuera cette étonnante frise en mouvement des relations entre humains, morts-vivants et géants, sorte de note de bas de page à la fois futile et essentielle à la compréhension de ce mouroir sublime, mais, oh, wow, depuis Wind Waker, je n’avais jamais eu autant le sentiment de traverser un monde figé entre deux heures du crépuscule.
Bon, vous voulez bien me dire, maintenant, comment on traverse les murs ?
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Rendons à Gilgamesh ce qui lui appartient : c’est The Tower of Druaga (donc Endō Masanobu) qui a sacralisé ce concept marketing un an plus tôt.
Sinon oui je dirais que Demons Souls et Minecraft sont les deux jeux qui ont véritablement démocratisé le concept de wiki en Occident – d’ailleurs y a pas de surprise : le topic de Demon’s Souls est celui qui a créé le plus d’inscriptions sur Boulette et le topic de Minecraft est carrément devenu son propre forum.
Je ne sais pas si tu joues en ligne mais pour moi, c’est surtout le concept de messages laissés par les joueurs qui crée un sens unique de communauté aux jeux de Miyazaki.
Tower of Druaga étant l’une des principales inspirations de Miyamoto, mais oui, tu as raison. Par contre il n’y a pas le côté sériel qu’a SMB, et le côté « j’ai la ref » qui s’impose épisode après épisode.
L’essentiel du temps, oui, même si chaque fois que je me fais envahir, j’ai juste envie d’arracher le câble Ethernet. En revanche j’ai fait une session offline et c’est vraiment plus le même jeu. L’expérience est beaucoup moins potache praise the meme lolilol, moins « il y a des flaques de wiki partout dans ce monde, wtf », beaucoup plus solitaire et immersive, sans surprise. Et étonnamment, pas plus difficile, j’ai trouvé. Ca m’a forcé à me concentrer sur les indices in-game plutôt que méta, et notamment apprécier la qualité du game design et des indices induits par l’environnement.
En matière de messages je crois que celui, ou plutôt ceux qui m’ont le plus tué, c’est une succession de « posts » à flanc de falaise enquillant les « il n’y a rien par là », « faites demi-tour » « attention fausse piste », « c’est un mensonge », etc, tout ça pour découvrir qu’à la fin de la corniche, bah, y avait rien. Quel jeu de petits cons, quand même.
Je te trouve vraiment sévère avec la qualité globale des messages ; je trouve que (en partie grâce au système d’upvotes, je suppose) la grande majorité des messages sont très utiles ou au minimum plein d’empathie, comme quand un message s’arrête pour te conseiller d’admirer le panorama en plein donjon, ou te féliciter après un Boss relou, ou se plaindre après un virage que bordel de nom y a toujours pas de site de grâce pile au moment où tu te faisais la même réflexion. Sans oublier qu’avec l’auto-traduction, tu ne sauras jamais si le message a été laissé là par un Turkmène, un Togolais ou un Tasmanien.
Je crois que tu te méprends sur mon post, je ne me plaignais pas, ça m’avait juste amusé !
Je crois aussi que c’est la référence la plus appropriée, notamment à travers le concept des carnets communautaires des salles d’arcade qui offre une lignée conceptuelle évidente avec le système de messagerie des Souls.
J’en parlais à un pote japonais ce week-end qui adorait Druaga et surtout Xevious (un autre titre d’Endou qui le précède). Xevious inclut beaucoup de secrets pour un shoot - surtout quand on considère l’époque - et ça donnait au jeu une aura vraiment mystérieuse à ses yeux. Soit dit en passant je suis toujours sidéré de l’impact de Xevious au Japon alors qu’ici tout le monde s’en balance comparé à des séries comme Gradius ou R-Type.
La différence entre les deux c’est que tu peux finir Xevious sans te soucier des secrets alors que Druaga tu peux te brosser.
En farfouillant sur ce sujet je suis tombé sur cet article qui revient sur l’influence du guidebook de Druaga, apparemment le premier gros hit dans sa catégorie avant de se faire pulvériser deux mois plus tard par la sortie de celui de SMB.
J’ai pas trouvé d’interview mais je suis prêt à parier qu’Endou fut une influence majeure pour Mistuji durant la création de Bubble Bobble (AKA le Druaga de la plateforme).
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J’avais oublié à quel point le design du portage Switch dans Namco Museum était chouette.
À ne pas confondre avec la version Famicom dispo dans Namcot Museum alias Namco Museum Archives (qui aurait à vrai dire d’avantage sens dans le contexte de l’article mais elle n’était peut-être pas encore sortie).
D’ailleurs je rappelle que la version arcade ressortira en solo dans la collection Arcade Archives cette année.
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C’est encore pire pour Druaga qui semble n’être sorti officiellement qu’au Japon (?). Je suppose que le fait que Xevious n’a pas été un phénomène chez nous y est pour quelque chose : son système de secrets a préparé le terrain auprès du public japonais, base sur laquelle n’aurait pas pu se reposer Druaga en Occident.
(Je ne fais que passer dans ce topic)
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Je joue hors ligne et il y a quand même des aspects où ça a toujours été crucial, comme dans le flagging des murs invisibles ou quand un joueur laisse un message à un endroit du niveau où tu pensais qu’il était impossible de se rendre.
C’est comme ça que je me suis retrouvé à me faire guider par Chaz pendant une heure pour trouver une route que j’avais loupée dans Stormveil Castle - route que j’aurais découverte facilement en jouant en ligne.
Il y aussi des trucs bien retors comme un PNJ déguisé en élément du décor dans un endroit complètement random (que j’ai heureusement trouvé en faisant une roulade au pif).
Trouvé aussi au pif, mais tu l’entends parler non? Si c’est celui déguisé en buisson dans la pampa à Limgrave.
Pour les messages, j’aime bien les joueurs qui fabriquent des mini-récits avec une succession de messages, surtout quand au final ils t’arnaquent gentiment (« non non non, pas de precious item de l’autre côté de cette tour, oh non non non! »)*
mais la triade « fort, night », « try but hole » « dung… » m’a un peu fatigué. De là à être nostalgique du « sticky white stuff »…
Lui il parle, mais je pensais à celui du Albinaurics Village qui est déguisé en pot (en plus il est super important).
Exact! Je crois que c’était l’une des premières fois que je voyais ces gros pots pour ma part, du coup j’ai tapé dedans/cliqué au petit bonheur et ça l’a activé.
Mais clairement, le nombre de fois que j’ai « découvert » des trucs, parfois essentiels, voire des niveaux entiers grâce aux messages dans ce jeu… ça me semble encore bien plus développé que dans les précédents, mais peut-être que c’est juste une fausse impression liée au temps qui a passé (et au fait que je me baladais moins dans les précédents).
Je dirais quand même que les dragons de DS3 c’est l’exemple numéro 1 (aucune chance sans les messages). Je ne vois rien de cette ampleur dans Elden Ring (mais j’espère secrètement que ça existe).
Je ne dis pas du tout que c’est nul, hein, juste que c’est deux expériences très différentes. D’ailleurs je me dis que ça doit être une sacrée migraine de réussir l’équilibrage d’un jeu quand tu sais qu’une partie des joueurs jouant offline, ils n’auront pas accès à cette couche méta.
Point strat/build. Je suis niveau 42, avec 29 en vigueur (j’ai suivi la motion @Tristan, c’est ma stat la plus haute), 19 en dex, 18 en force & endurance, et tout le reste est en dessous de 12 (esprit), voire de 10. Pour l’instant je me sens pas trop pénalisé, à part que 1/ les gains de stat en force et dex sont riquiqui, j’ai l’impression que le jeu veut me dissuader de les monter 2/ j’ai vraiment pas beaucoup d’esprit et depuis que mes spectro husky me sauvent la vie je me dis que ça serait pas mal que je pousse mes FP 3/ j’ai du mal à anticiper les softcap et leur importance 4/ est-ce que si je pousse les points de magie à la place de la dex je risque pas d’être pénalisé dans la seconde partie du jeu parce qu’en fait il vaut mieux avoir énormément de dex, ou l’inverse ?
Sinon là je suis en train de me battre contre une espèce de machine qui crache du feu, on est à mi-chemin entre Dalshim un char d’assaut bourré et une roulotte de forain, c’est assez humiliant. Et dans la grande collection de mes perplexités, je ne saisis pas pourquoi plus le combat avance moins je lui enlève de pv, dans une sorte d’asymptote de la win qui ressemble méchamment à de la loose.
Ah purée mais je l’avais laissé tomber depuis longtemps en m’autoconvainquant qu’il avait une sorte de cape d’invincibilité façon Poudlard et que je reviendrai le voir le jour où je trouverai une sorte d’anneau magique pour voir les gens invisibles. :smileyquimangesonchapeau:
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En montant dex et str en parallèle tu pars sur ce qu’on appelle un quality build. C’est assez courant et ça marche bien (mais c’est moins facile que de faire piou piou à distance). J’imagine que tu le sais mais tu peux vérifier le scaling de tes armes avec les lettres à l’écran d’équipement.
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Pour les armes standards tu peux utiliser les Ashes of war pour changer le scaling (ça nécessite une ash of war qui a quality ou un item appelé iron whetblade). Les armes uniques ne peuvent pas être modifiées.
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Pour le softcap en vigueur dex str aucun souci jusqu’à 60 tu as le temps de voir venir.
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Tu peux monter magie si tu veux mais en général c’est chaud de se disperser. Seule exception, si tu veux utiliser une arme avec des prérequis chelous (genre Sword of Night and Flame).
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N’oublie pas que tu peux upgrader tes summons avec la meuf de la table ronde. L’objet d’upgrade est une fleur qui pousse surtout dans les catacombes (attention, c’est un item qui se ramasse comme ça, c’est généralement pas dans des coffres).
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Entre les messages dont parle Sop et les hackers qui niquent les sauvegardes des gens, je suis bien, bien content de jouer offline. L’ambiance est top comme ça, pas sûr que j’aurais apprécié Caelid autant avec du spam partout. J’ai trouvé l’exemple dont vous parlez pour les messages tout seul, mais je suis sûr que j’ai dû en rater d’autres… Mais y’a tellement de « sautez là » ou « attaquez ce mur » faux que ça me fait suer de m’arrêter pour rien tous les 2 pas. Les trucs que je rate, je les ferai au wiki.
Je suis donc rentré à pied depuis mon farming spot jusqu’à la péninsule en bas en zigouillant ce que je pouvais. Je suis clairement à l’envers : j’ai commencé par rencontrer la meuf malade, puis je me suis retrouvé dans le marécage où elle m’a attaqué et zigouillé (et de toute façon juste après elle y’avait un gros boss qui m’a 2-shot donc clairement « pas maintenant ») et enfin j’ai trouvé un mec qui m’a dit « y’a cette meuf malade, elle est brave, tu peux aller chercher un remède, c’est en plein milieu du marécage ». Quelque chose me dit qu’elle n’a pas envie d’être sauvée parce qu’elle rend pas les choses faciles… J’y reviendrai plus tard. En tout cas la ville pleine de magiciens fantômes était super cool.
Niveau stuff, j’ai trouvé un bâton de magie spécialisé dans les magies qui rendent invisible. Je me demande si le but final en tant que magicien est de se balader avec 4 bâtons, un par catégorie de magie… si c’est le cas, j’espère qu’il y a un bâton pour les magies qui créent de grosses armes, parce que depuis que j’ai farmé l’argent pour acheter la magie qui crée une grosse claymore, je massacre tout, je ne sais même plus c’est quoi mon arme off-hand vu que j’ai laissé tomber la hache de glace. La magie fait un gros arc autour de moi qui choppe les ennemis qui bougent trop, elle touche super loin donc si je maintiens les distances je peux la lancer sans me faire interrompe/punir, et pour les monstres vraiment trop rapides, j’ai des fantômes pour attirer l’aggro.
Après tout ça, effectivement, la péninsule était un peu facile… J’ai probablement dû rater des trucs, mais les quelques boss que j’ai tapés n’étaient pas au niveau de la claymore magique.
Et encore une fois, les récompenses sont totalement craquées. J’ai fait le Evergaol et l’esprit de l’arbre de la péninsule, j’imagine que ces boss sont des boss bonus pas obligatoires, pour quand t’as envie de te taper des gros monstres, mais ils m’ont pas filé beaucoup d’âmes et encore moins de récompenses cool (un miracle qui demanderait 40 Faith donc non, un talisman dont j’avais déjà une version +1 donc tant pis…). Et bon, le downer de la quête ici n’a pas aidé.
Après ça, j’ai repris mon exploration vers le haut à gauche de la carte, à regarder une cabane délabrée perdue dans les bois, et je me suis fait envahir par un fantôme rouge qui a droppé une hallebarde +8 qui met la honte à toutes les armes que j’avais trouvées jusque-là et qui étaient péniblement +2… C’était assez anti-climatique. Bon, c’est bien au moins qu’il y ait parfois des récompenses qui valent le coup, et puis ça encourage à vraiment tout explorer. « Peut-être qu’il n’y aura rien, peut-être qu’il y aura juste un gros boss qui droppe rien, mais peut-être, qui sait… »
J’ai deux questions : y’a moyen d’augmenter le nombre de talismans qu’on porte ? D’habitude, on peut mettre 2 ou 4 anneaux, et là, c’est quand même un peu limité avec 1 seul slot…
Ensuite, j’ai encore trouvé aucun matériau pour upgrader les fantômes qu’on invoque. Quand on en trouve, y’en a beaucoup ou c’est assez rare ? Je me dis déjà que jamais j’oserai les utiliser sur mes invocs parce que j’aurai peur de les gâcher.
Après, j’ai toujours que 3 invocs, les loups, la méduse et les soldats squelettes. Pour le moment, je préfère les troisièmes, la méduse est jolie mais le poison est vraiment trop lent, et quand les boss tapent, elle meurt vraiment vite, comparé aux squelettes fantômes. J’imagine que quelques niveaux l’aideraient bien… Ou alors il faut soi-même balancer du poison pour l’aider à faire plus de dégâts ?