[BD/Comics/Manga/etc.] On tourne une nouvelle page

Oui c’est visiblement dans ce volume du magazine. J’essaierai de le choper via Yahoo Auction à l’occasion.

@AB-user Arf ! J’ai ton chapitre, mais figure-toi que l’histoire en question continue et se conclut dans le volume 5 de 1995. J’aurais dû vérifier plus tôt, maldito…

C’est top, merci! J’avais vu ensuite que ça continuait, et par chance j’ai pu commander ce N°5. ^^

Ça n’intéressera probablement qu’@AB-user et @iggy mais le numéro en question avait aussi un test MMR en fresque d’ouverture de magazine (au verso d’un poster recap de toutes les pin-ups parues dans Shōnen Magazine durant l’année 1994 dont une Hamasaki Ayumi qui a l’air d’avoir douze ans) :


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Le légendaire Frank Frazetta dans une vidéo qui a refait surface tout récemment.



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Superbe ! Je présume que ça en a inspiré d’autres, notamment NEC pour les notices de ses consoles et jeux (les mauvaises manips sur les CD en particulier).

Tiens ! C’est une excellente question mais, effectivement, 1980 doit être un exemple extrêmement précoce de ce genre de picto dans la Hi-Fi d’une manière générale ; ça mérite d’être creusé.


Takada Akemi en a ras le cul que les gens ne sachent pas écrire Creamy Mami クリィミーマミ correctement.

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J’hésite entre ce topic et celui de l’Histoire-Géo :

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Un compte Twitter de Togashi vient d’apparaître de nulle part.
https://twitter.com/Un4v5s8bgsVk9Xp

Meilleure réaction :

(Je préfère ne rien dire sur la décision de continuer Berserk. Je vais faire comme si cela n’existait pas, comme Dragon Ball Super.)

Je repensais à ce brave Miguel Sanchez…

… Et de fil en aiguille, je suis tombé sur ces deux vidéos aussi divertissantes qu’éclairantes sur l’univers des comics Simpsons et l’histoire du label Bongo Comics, (co-)fondé par Groening lui-même. Le coup des histoires B-sides (façon B plot de série mais avec des persos mineurs en protagonistes) est franchement cool !

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Randy Milholland, le mec de Something Positive (qui continue toujours) reprend Popeye les week-ends.

C’est pas aussi merveilleux que la reprise de Nancy par Olivia Jaimes, mais je savais pas que Popeye existait encore donc bon.

Et bien sûr

L’auteur de Yu-Gi-Oh est décédé hier, possiblement lors d’un accident alors qu’il faisait de la plongée. Il y avait des histoires un peu dingo sur la manière dont il avait négocié les jeux de cartes avec Konami, au nez et à la barbe de Bandai.

L’influence du manga, qui a véritablement institutionnalisé les jeux de cartes au Japon juste après la découverte de Magic et la popularité naissante du jeu de cartes Pokémon, n’en finit plus de se faire sentir sur le jeu vidéo puisqu’on peut y trouver les racines du gatcha, de l’explosion de GREE, DeNA et Cygames, des conflits internes qui ont conduit à la chute de Kojima chez Konami etc.

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Ca alors.

J’ai de très bons souvenirs des jeux GBA, mais aussi de la toute première saison du dessin animé (et donc sans doute des mangas), qui proposait à chaque épisode de nouvelles idées de gameplay avant de se figer avec la formule actuelle.

Très intéressant cet article: Où l'on comprend enfin le système de paiement injuste des adaptation de comics contre les auteurs | COMICSBLOG.fr

Marvel proposerait donc aux créateurs/créatrices un intéressement chiffré, sous la forme d’un contrat baptisé "Special Character Agreement ". Celui-ci répond à deux objectifs : fournir la promesse d’une rémunération (sur une base fixe de 5.000 dollars pour chaque apparition d’un personnage dans un film de Marvel Studios selon la plupart des témoignages collectés), et garantir que le créateur a bien renoncé à ses droits et ne tentera pas de poser de problèmes à la compagnie.

Ça n’arrive pas tous les jours, je viens de tomber sur une illustration récente et safe for work de Masamune Shirow.

¯_(ツ)_/¯

Ressortie en fin d’année des GITS chez Kodansha USA Publishing dans un tome de 800 pages.


Rien à voir mais le Journal d’une vie tranquille de Tetsuya Chiba publié chez Vega/Dupuis est un puit de bonheur et d’anecdotes sur le milieu manga des années 50/70’s. Les allers-retours entre sa jeunesse et sa vie actuelle de papy vaillant sont toujours bien sentis et laissent à saisir progressivement une existence hors-norme. Petite santé, grande vie ! comme disait Deleuze.

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Tintin et la Turquie, raconté par Ersin Karabulut dans son Journal inquiet d’Istambul.

Via

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Où était ce truc toute ma vie ? Combien de temps avant que les Colonels Sponsz qui dirigent les éditions Moulinsart ne sévissent ?

Rappelez-vous, en juillet…

… On en connaît enfin d’avantage sur les circonstances ma foi bien tristes de sa disparition.

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Pas mal de lectures à rattraper mais je m’y attaque prochainement:

BETA tome 2 (Acte Sud, sorti en aout)
Jens Harder poursuit sa remontée folle de l’histoire du monde. Il est parti du Big Bang dans Alpha et retrace dans ce volume les 2000 dernières années avec son télescopage habituel d’iconographies qui créé parfois des correspondances intéressantes.

La couleur des choses (Ça & Là, sorti en septembre)
Première oeuvre de l’auteur suisse Martin Panchaud, cette narration expérimentale m’a immédiatement tapée dans l’oeil lorsque j’ai ouvert l’ouvrage. Polar road-trip à travers l’Angleterre en représentation cartographique, on est très proche de l’abastraction autistique de Chris Ware et les pages semblent fourmiller d’idées.

Les Pizzlys (Delcourt, sorti en octobre)
C’est désormais acté, Jérémie Moreau est un génial artisan, maniant les concepts comme jamais. Son dernier ouvrage a l’air continuer la ligne tracée par La Saga de Grimr et Le Discours de la Panthère.

Ce petit making-of promo donne en tout cas super envie.


Toujours dans mon tour des libraries hier, j’ai eu un coup de cœur pour ce Terror Island d’Alexis Nesme. Quelqu’un l’a lu?

Ces captures ne rendent hélas pas du tout hommage au rendu chatoyant de cette édition. Je pense que ça ferait un cadeau parfait pour mes petites nièces mais bon, j’ai souvent été déçu* rayon BD ces dernier temps donc autant être sûr.


*Mention ultime de la déception 2022 pour le 6e tome de Lapinot chez Asterix, suivie de près par le Guacamole Vaudou de Fabcaro/Judor qui a le mérite de faire encore plus mou et attendu que l’adaptation ciné de Zaï Zaï Zaï Zaï.

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