[Ciné/Docu/TV/Streaming] C'est Michael Bay et Don Draper qui rentrent dans un bar

Idem, je comprends pas. Tu peux zapper une grande partie des combats et y a jamais besoin de « grinder ». C’est justement l’une des nombreuses raisons pour lesquelles le jeu vieillit beaucoup mieux que ses contemporains. Ca m’intrigue, faut que je le relance…

Oui, je confirme, y a vraiment pas besoin de grind dans CT, tout est fait pour que tu puisses tout passer sans trop de difficulté tant que tu fuis pas les combats. La courbe d’xp est super bien faite dans ce jeu, pareil pour la thune, généralement après chaque donjon t’as de quoi t’acheter les derniers équipements importants pour tous tes persos jouables et une bonne partie du reste de l’équipe normalement.

Ca fait longtemps que je n’y ai pas rejoué, mais ça doit être le rpg que j’ai le plus fait quand j’étais jeune avec FF7, c’est vraiment l’efficacité pure ce jeu. <3

Pareil, le concept de grind me laisse perplexe : une des innovations du jeu (enfin, sans doute une idée reprise du chapitre ninja de Live A Live, maintenant que j’y pense) était justement de proposer des combats diégétiques avec des ennemis visibles et logiquement placés sur ton chemin plutôt que la fête du random encounter habituelle. Mais peut-être que ce ressenti est relatif avec ce qu’on subissait sur les autres jeux de l’époque, comme le suppose @Iggy.

Pour le refaire régulièrement, le jeu est beaucoup plus léger en combats que ses contemporains et vieillit effectivement mieux que masse de RPG parfois sortis 10-15 ans plus tard, et la mise en scène de ces combats est aussi globalement plus légère que la concurrence, sans changement d’écran avec l’inévitable délai entre le signal qu’un combat va se dérouler et le combat lui-même.
Après, à titre perso, je n’ai jamais été un grand fan des combats de JRPG traditionnel (jusqu’à FFXII en gros) et même ceux de Chrono Trigger me semblent encore un poil trop long.

Merci pour vos retours, dingue comme mon ressenti diffère.
Il y a pire effectivement mais je trouve que les combats sont la variable d’ajustement avec laquelle les concepteurs ont eu la main trop lourde pour étendre artificiellement la durée de vie du jeu.

Tous les combats ne sont pas évitables, loin de là et hier, j’ai dû subir une vingtaines de bagarres scriptées pour descendre l’équivalent de trois escaliers. La modernité du titre, je la retrouve plus dans l’absence de confrontations sur la carte, par exemple. Mais j’aurais largement pris quelques puzzles en échange de ces bastons (souvent) faibles stratégiquement. Où alors un focus sur les combinaisons possibles des compétences complémentaires de l’équipe avec des ennemis qui posent vraiment des challenges nouveaux. Je trouve le jeu un brin mimolette et répétitif mais je remets aussi ça dans le contexte de l’époque ; j’imagine aussi que le cycle de production fut court et mouvementé.

My bad pour l’utilisation de « grind », j’entendais le fait de répéter la même action plutôt que le besoin de combattre pour l’octroi de thunes ou compétences. C’est vrai que là dessus le jeu est clément et à part les Golems Sisters qui m’ont demandé de changer d’équipe et de mouliner quelques monstres au préalable pour upper les entrants, aucun problème.

Vu tes soucis, tu devrais plutôt jouer à Lufia (et surtout Lufia II). Ou Golden Sun.

Non, il fut long (pour l’époque) et mouvementé. Ils ont changé de directeur deux fois en plein développement.

(Yep, je ne connais pas les Lufia, bonne idée)

Effectivement, longue phase de Conception puis deux ans de Prod, je vais me renseigner sur ce making-of.

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—Were there ever any real “danger” moments in the development?

Aoki: At one point some of our files somehow became unreadable, which brought the development to a complete halt. Our files were saved with a timestamp on them, but for some reason, these files had had their date changed to 1960, and the computer couldn’t read them. I guess our computer must have known this was the Chrono Trigger project, and decided to do a little time travelling of its own. (laughs)

Je ne pigeais pas l’intérêt intrinsèque de cette série mais c’est vrai qu’effectivement, il manquait à l’œuvre originale l’essentiel cliché du tube surfait des années ‘80 réinterprété de manière étonnante et semi-ironique. Bien, bien.

Bravo @Onosendai, t’aimes bien Andor parce que t’es un boomer (Je dis ça mais tu m’as convaincu de choper trois mois de Disney+ pour le mater). Où j’apprends aussi que Wednesday cartonne chez les gamin(e)s fans de Stranger Things. La longévité de l’attractivité de Tim Burton est franchement dingo.

Les gamin(e)s découvrent au passage les Cramps et crispent leur ainés parce que leur groupe fétiche underground est désormais adulé par des gamin(e)s qui ne connaisse rien à la vie.

A défaut d’être toujours très fin, voici un topo intéressant sur le défilement d’images au cinéma à quelques jours d’Avatar 2, premier film en 3D-HFR (High Frame Frate Rate) ou plutôt VFR (Variable) permettant de garder l’élégance du 24FPS historique sur les plans fixes tout en augmentant le débit quand il le faut sur les scènes d’action qui nécessitent des mouvements de caméras rapides. Sur papier le meilleur des deux mondes… Hâte de confirmer en salle.

Je ne sais pas ce qui est passé par la tête de Netflix Japon mais ils ont décidé de produire un remake du célèbre film français de 2019, Nicky Larson, sous le titre City Hunter. C’est Suzuki Ryōhei qui remplacera Philippe Lacheau. Quelle idée farfelue.

Le premier film qui va gagner tous les oscars dans toutes les catégories.

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Le Written by Greta Gerwig & Noah Baumbach me tue à chaque fois ; ça a l’air cyniquement génial. J’espère qu’on n’aura pas le même étrange arrière-goût qu’avec le film Tic & Tac.

Très chouette rétrospective du style, des innovations commerciales et de l’idéologie cinématographiques du cinéma hollywoodien des années ’80.

Je me demandais où était passé le génie de All Gas No Brakes et en fait, il bossait sur un docu pour HBO sur l’insurrection du 6 janvier 2021, This Place Rules.


Oppenheimer, le nouveau Nolan. J’adore Cillian Murphy mais je ne suis pas certain de tenir 2h30 de regard sidéré dans le néant. Cette fois, avec tous ces frvrmbfrbrmdbrmdbrm d’implosion atomique, faudra vraiment pas merder le mixage sonore qui avait pourri Tenet.

Rattrapages de fin d’année ! Bonheur !

El Buen Patrón

Une comédie sociale avec Javier Bardem en patron de PME obsédé par l’obtention imminente d’un prix auprès de la préfecture régionale. Le film a l’intelligence d’être grinçant à toutes les strates de la société espagnole, avec de nombreux personnages secondaires mémorables car réalistes dans leurs qualités comme leurs travers. Tout le monde en prend pour son grade mais personne n’est totalement bon ou mauvais. Même Bardem en parfait connard égocentrique est parfois, et potentiellement pour les mauvaises raisons, véritablement un buen patrón. Je suis contrarié car le seul perso qui semble sorti d’un autre film moins intelligent se trouve être le rôle donné à la sublime Almuneda Amor, ici épaulée par María de Nati dans un tout petit rôle. Je pourrais regarder ces deux filles peindre un mur pendant cinq heures donc j’étais fort content qu’elles soient là mais je dois admettre a posteriori que la jeune stagiaire incarnée par Amor est le seul perso qui sort le film de la satire sociale astucieuse façon Chabrol pour le plonger dans une espèce de comédie TF1 plus grossière. Mais c’est très chouette malgré tout.

Hit the Road

Road trip tragicomique dans la pampa iranienne. On suit le pèlerinage d’une famille pittoresque dont on devine progressivement la nature du voyage, l’auto-radio calé sur quelques grands tubes de la pop farsi. Les décors naturels sont hallucinants de majesté ; ça donne envie de faire du trekking en Iran. Tout le film tient sur les relations entre les différents membres de la famille. Les deux parents sont fantastiques mais je retiens surtout le meilleur (!) petit morveux de l’Histoire du Cinéma, Rayan Sarlak, qui est clairement la superstar du film ; d’ailleurs c’est lui sur l’affiche (et en haut de ce post) alors que c’est concrètement un perso secondaire de l’intrigue. Si ce n’était pas assez explicite, j’ai adoré.

Top Gun Maverick

Je vais vous avouer un truc : j’avais vu Top Gun assez tard, vers la fin de l’adolescence, bien après le traumatisme d’un après-midi chez un pote sur l’adaptation NES, et je n’ai jamais été fan du film. Je trouve cette suite plus réussie, avec des scènes qui prennent aux tripes, même si le scénario reste débile. Formellement, l’utilisation de scènes à effets pratiques et en décors réels (surtout la scène du voilier) fait du bien après toutes ces années de fonds verts chez Marvel. Faut supporter Tom Cruise pour apprécier le film, évidemment.

The Invisible Man

La récente version avec Elisabeth Moss (encore une scientologue) du classique de H.G. Wells. Le twist de cette adaptation est excellent puisqu’il évite l’écueil du protagoniste invisible voyeur et nous place plutôt du point de vue d’une femme battue (Moss) persuadée que son ex-mari control freak a pipeauté son propre suicide et trouvé un moyen de se rendre invisible pour la martyriser à l’insu de son entourage. Non seulement l’angle psycho « est-ce qu’elle imagine tout ? » sert l’intrigue mais surtout cela transforme le film en thriller angoissant versant limite dans le film d’horreur ; logique pour une production Blumhouse. Pourtant, j’en ressors avec l’impression qu’on pouvait faire beaucoup mieux avec cette bonne idée de départ. Le début est super, chaque tiers du film perd en pertinence, et la fin est vraiment bidon. Mais je recommande quand même.

The Bad Guys

Le saviez-vous ? Le top 3 du box-office des films d’animation de 2022 ne contient aucun film Disney ou Pixar. Dingue ! Le podium est occupé par le dernier Minions, One Piece Red et donc The Bad Guys, une prod’ Dreamworks sur le principe des méchants de contes de fées, le Grand Méchant Loup en tête, qui tentent de (faire semblant de) se racheter une conscience (pendant quelques jours pour éviter la taule). Principal motif de satisfaction : Richard Ayoade qui double un cochon d’inde narcissique. Sinon, c’est assez médiocre, avec des blagues de prouts et un paquet de « citations » de bien meilleurs films (beaucoup de références aux long-métrages Lupin The 3rd dans certaines scènes notamment). On est très, très, très, très loin de la qualité Pixar. Ça amuserait sans doute de jeunes enfants ? Perso, j’ai d’avantage rigolé devant Cryptoland.

Medida Provisoria

Adapté d’une pièce de théâtre, c’est une fable futuriste façon Black Mirror sur un gouvernement brésilien d’extrême-droite (quelle folle imagination) qui « propose » bénévolement à tous les Noirs du pays de leur payer un aller-simple pour l’Afrique afin de se débarrasser des tensions raciales du pays… Et accessoirement éviter de payer des réparations aux minorités exploitées du pays, réclamées depuis 400 ans. L’idée : pourquoi pas. Malheureusement, le film est pas terrible, assez mal joué, et les gros sabots de l’intrigue passaient certainement mieux en huis-clos sur les planches. Question mise en scène, on est loin du modèle Black Mirror, ou d’un Mellenkamp, ou même de Kamen Rider Black Sun sur Amazon Prime.

지푸라기라도 잡고 싶은 짐승들

Le film a pas mal de noms sur les circuits de distribution occidentaux, notamment :uk:Beasts Clawing at Straws ou :fr:Lucky Strike. C’est un polar choral kaléidoscopique, façon Pulp Fiction, avec quatre histoires a priori hétérogènes qui se télescopent progressivement pour compléter le puzzle de l’intrigue. On a ici ① une femme battue qui tente de faire assassiner son mari ② un employé de bain public qui trouve un sac rempli de cash dans un casier de vestiaire ③ un agent des douanes qui a une semaine pour rembourser la dette de son ex auprès d’une bande de malfrats et ④ un détective qui cherche un escroc en fuite. C’est un poil pompier : on dirait d’avantage un bon film EuropaCorp qu’un digne héritier de l’âge d’or du film criminel coréen, mais le dépaysement aide à rentrer dedans.

Ambulance

Suite à un braquage complètement foireux au cœur de Los Angeles, deux des malfrats fuient dans une ambulance, prenant en otage une jeune infirmière courageuse et son patient qui se trouve être un flic gravement blessé durant le braquage. Course-poursuite. C4. Hélicoptères. Gangs latino. Blagues sur les homos démocrates en thérapie de couple et les Américains qui aiment le soccer. Le gentil braqueur est un vétéran de la dernière Guerre en Irak. Copaganda. C’est donc un film de Michael Bay. Un nanar d’une connerie stratosphérique mais j’ai une fascination malsaine pour le Bay crépusculaire post-Transformers. J’avais déjà trouvé Pain & Gain intéressant à psychanalyser et c’est le même pain béni ici, même si le film est beaucoup moins ambitieux, sur le fond comme sur la forme. C’est vraiment nul, hein, vous méprenez pas.

Judas and the Black Messiah

Tirée d’une histoire vraie, l’histoire d’un petit malfrat qui infiltre les Black Panthers pour le compte du FBI en 1968 afin de court-circuiter la prometteuse carrière politique du jeune révolutionnaire Fred Hampton. Feignez la surprise mais le Bureau n’en sort pas grandi. C’est produit par Ryan Coogler, mais malheureusement pas réalisé par Ryan Coogler, du coup l’objet cinématographique ne propose pas grand chose d’intéressant. Dommage car, pour tout le reste, c’est l’un des meilleurs films que j’ai vus cette année. Le scandale mérite clairement une plus haute exposition médiatique et culturelle. Le casting est fantastique, avec un Daniel Kaluuya (pour jouer Fred Hampton) qui est en train de devenir l’Erling Haaland de la fiche IMDB, le toujours parfait LaKeith Stanfield (Darius dans Atlanta, le jardinier dans Get Out) en protagoniste, et tout un tas d’acteurs fantastiques dans les deux camps. La photo est top. Les costumes sont tops. La B.O., n’en parlons pas. Regardez ce Black Panther-là plutôt que Wakanda Forever.

십개월의 미래

Ou :uk::fr:Ten Months à l’international. C’est l’histoire contemporaine d’une jeune coréenne un peu paumée qui découvre qu’elle est enceinte alors que cela ne rentrait pas du tout dans ses plans. C’est un film tout simple et cousu de fil blanc mais très bien emballé. Les actrices sont tops. Les acteurs un peu moins, à part le perso récurrent de l’obstétricien taciturne qui est assez génial. Apparemment, c’est le premier long-métrage de sa réalisatrice ; joli boulot !

Parenthood

Un grand classique (1989) du patrimoine états-unien réalisé par Ron Howard, à peu près aussi connu là-bas que La Vie Est Un Long Fleuve Tranquille chez nous, que je n’avais jamais pris le temps de regarder mais dont j’ai réalisé au visionnage que je connaissais finalement presque tout, par simple osmose culturelle. Apparemment sorti en France à l’époque sous le nom :fr:Portrait craché d’une famille modèle (26.000 entrées seulement). Steve Martin, Rick Moranis, Dianne Wiest, Jason Robards, un jeune Keanu Reeves, un très jeune Joaquin Phoenix dans le rôle qui l’a révélé et bien d’autres se croisent, se chamaillent et se réconcilient dans une comédie familiale sur les aléas d’être parent en banlieue WASP (ça se passe dans le Missouri) dans les années 80. Tellement bon enfant que cela n’a étonnamment pas trop mal vieilli au niveau des blagues. Dégoulinant de bons sentiments et de vannes « que tous les parents comprendront » (j’imagine), totalement compatible avec un duvet et un thé chaud un jour de congé en décembre, je comprends pourquoi c’est devenu un classique des fins d’année Outre-Atlantique.

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J’avais entendu du bien de The bad guys mais j’ai davantage retenu la DA que le film lui-même après visionnage.

Point Avatar 2 :
J’ai préféré Avatar 2 au premier opus dont le personnage principal, tant par son aspect antipathique que par le manque de charisme de son acteur, m’avaient empêché toute immersion dans le film, chose que le chara-design des Na’vi n’a pas arrangé.
Avatar 2 a l’avantage de nous plonger directement au coeur d’une tribu de Na’vi. L’immersion est immédiate et, si je ne goute toujours pas au caractère de Jack Sully, j’ai beaucoup aimé sa fille, Kiri, proprement rayonnante et très incarnée.
La réussite technique est telle qu’on ne s’interroge pas sur la tangibilité de ses personnages et, si je ne suis toujours pas fan de leur design, je reconnais un talent dans la façon de les caractériser et de faire transparaître leurs émotions, leur « humanité ».
Les 2 frères, et plus particulièrement l’ainé, trop en retrait, m’ont en revanche laissé de marbre, ce qui n’est pas sans incidence sur l’impact émotionnel de certaines scènes. J’aurais préféré que le film soit centré sur Kiri plutôt que sur sa famille.
Le film propose des scènes que je n’ai jamais vues ailleurs, et l’immersion au début des phases de plongée m’a procuré des sentiments rarement ressentis au cinéma.
Malheureusement, je fais partie de ceux qui ont été perturbé tout du long par le changement incessant de framerate, lequel a parfois lieu plusieurs fois au cours d’une même scène sans que je sois parvenu à y trouver une quelconque logique.
Concernant l’univers, Pandora se montre davantage que dans le premier opus, même si le sentiment de déjà vu demeure (la faute à un certain nombre de J-RPG, FFX en tête, même si ce dernier n’a pas non plus inventé la roue).
J’ai trouvé la présentation du nouveau village un peu trop longue, un problème que j’ai pu rencontrer dans certaines versions longues de film de Cameron, en particulier sur T2, mais pas dans ses versions ciné.
J’ai globalement bien aimé le film, notamment par son sens de l’émerveillement qui fait jeu égal avec Jurassic Park, mais je pense avoir été davantage transporté par la réussite technique et le talent de mise en scène de Cameron et les émotions qui en découlent que par le scénario lui-même.

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Maline et d’une valeur de production assez rare, cette campagne de pub Canal+ est validée.

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On fête cette année les 50 ans de la première diffusion sur ARD du téléfilm en deux parties Welt Am Draht (:uk:World on a Wire :fr:Le Monde sur un Fil) de Fassbinder. On appellerait ça une « mini-série » de nos jours, pour faire plus sexy ; chacune des deux parties dure 100 minutes environ.

Adapté du roman américain Simulacron-3 (1964), c’est un téléfilm d’anticipation (1973), sorti dans la foulée de THX 1138 (1971) mais bien avant Tron (1982) ou n’importe quel bouquin de William Gibson, qui s’interrogeait déjà à l’époque sur la simulation des mondes virtuels, l’émancipation de leurs avatars et plus généralement la parano d’un monde gouverné par les machines.

Une œuvre fondamentale pour le Cyberpunk, par un réalisateur iconique des années 70 mais qu’on imaginerait pas forcément sur ce créneau, et qu’on trouve actuellement en HD avec des sous-titres anglais sur Youtube. Le Blu-Ray est dispo sur Amazon.

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