Aux Etats-Unis, la Turquie devrait enfin être épargnée par les jeux de mot arrosés de thanksgiving.
Parce qu’on parle beaucoup des hommes de Neandertal, et pas beaucoup des femmes de Neandertal (et pour cause, explique ce fort intéressant papier, à défaut d’être fort instructif, mais c’est pas sa faute).
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« Spoiler, les humains sont des cons »
Un mini-thread Twitter sur la recrudescence de la conso l’opioïdes en Amérique du Nord (+15% en 2021). Rien de nouveau, le marché est plus florissant que jamais, personne ne sera tenu responsable pénalement et le fléau aurait déjà fait 1 million de morts en 20 ans (et combien de familles pulvérisées?)
Par ricochet, ces drogues bon marché concurrencent tellement bien la cocaine que les cartels colombiens ont depuis quelques années l’Europe dans le viseur afin d’écouler les stocks.
C’est en train d’empirer à vitesse grand V à cause de la xylazine, il y avait un article là-dessus dans le Times la semaine dernière.
In her shattered Philadelphia neighborhood, and increasingly in drug hot zones around the country, an animal tranquilizer called xylazine — known by street names like “tranq,” “tranq dope” and “zombie drug” — is being used to bulk up illicit fentanyl, making its impact even more devastating. Xylazine causes wounds that erupt with a scaly dead tissue called eschar; untreated, they can lead to amputation. It induces a blackout stupor for hours, rendering users vulnerable to rape and robbery. When people come to, the high from the fentanyl has long since faded and they immediately crave more. Because xylazine is a sedative and not an opioid, it resists standard opioid overdose reversal treatments. More than 90 percent of Philadelphia’s lab-tested dope samples were positive for xylazine, according to the most recent data. “It’s too late for Philly,” said Shawn Westfahl, an outreach worker with Prevention Point Philadelphia, a 30-year-old health services center in Kensington, the neighborhood at the epicenter of the city’s drug trade. “Philly’s supply is saturated. If other places around the country have a choice to avoid it, they need to hear our story.”
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« Les humains sont des cons, sauf les thailandais » : quand ils ont passé la loi pour bannir les sacs en plastique, les gens ont décidé d’être créatifs.
https://twitter.com/NakaBkk/status/1614507220112412672
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… hein ?
Les incels conservateurs et les weeaboos ont beaucoup de points communs. Les suprémacistes blancs aiment la pop culture japonaise pour des raisons… en fait pas si paradoxales que ça.
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Les personnes arborant une PP manga sur Twitter sont d’ailleurs souvent considérées avec méfiance là bas.
Et les gugusses du GamerGate n’ont pas été les derniers à glorifier la culture otak et les jeux japonais. Pour des raisons qui relèvent uniquement du game design et c’est tout à fait un hasard si cette communauté pas du tout mascu avait fait à ses débuts de Dragon’s Crown l’archétype de jeu à défendre. Parce que la liberté artistique, tout ça.
Sur les parallèles avec l’idéologie suprémaciste, ce papier académique très clair de 2018 résume parfaitement les ponts naturels entre les deux mouvements.
Chouette analyse de Birds Aren’t Real qui s’est posée plus de questions (et a activement cherché les réponses) que je ne lui en avais donné crédit a priori. Avec notamment un détour par Operation Mindfuck.
Docu intéressant, pédagogique et pas trop manichéen sur les différentes décisions politiques, civiques et économiques qui ont rendu la Silicon Valley invivable.
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Un site perso pas mal : celui de Perrin Remonté, géographe et photographe amateur de 25 ans.
Certaines cartes sont vraiment intéressantes !
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Pour le lobby « c’est la faute du Royaume-Uni » de ce forum.
Oh purée quelle histoire géniale, je sais quelle est ma prochaine destination en Espagne : la France.
https://twitter.com/oliviermarchon/status/1633479316242669568?s=61&t=TWgeAGC_QPIeuKLYQVGbXQ
Ah ha mais en plus cette enclave espagnole est évidemment indépendantiste… catalane. Quel génie.
J’espère maintenant très fort qu’il y a une enclave ukrainienne à Kaliningrad.
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Le village de Llivia
Ah non, c’est une ville ! C’est d’ailleurs l’entière raison de son enclavement, comme le raconte Tim Traveller:
Billet passionnant expliquant comment une vague de panique homophobe et antisémite mettant en cause l’entourage proche du Kaiser a provoqué le gouvernement allemand dans la Première Guerre Mondiale.
His involvement in this case led to the song « Hirschfeldlied » (1907) by cabaret performer Otto Reutter, in which gay soldiers desperately find women to kiss when Hirschfeld is around so not to be outed.
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Court : pourquoi et depuis quand on construit des villes.
Long : l’incroyable Philosophy Tube qui met une nouvelle fois les petits plats dans les grands pour expliquer et analyser l’altruisme efficace, nouvel ethos des milliardaires.
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