[ Informatique ] Le topic de l'aide à la personne

Sachant que l’année derniere au pic du confinement, Windows10 m’avait fait une mise à jour en désactivant tout par défaut, et j’ai mis comme toi, une bonne semaine avant de comprendre pourquoi je ne pouvait pas parler dans un micro.

Au final, c’était une vague histoire d’autorisation d’utilisation du micro qui était désactivée parce que j’avais choisi de ne pas partager mes infos à microsoft …

Bref, bon courage à toi

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Merci à tous, je vais essayer de me dépatouiller !

Si vous n’aviez pas l’abolition de votre schadenfreude dans vos bonnes résolutions de 2022, il y a un site intégralement dédié au suivi des arnaques NFT et cryptomonnaies.

The creators of « Big Daddy Ape Club » rugpulled shortly after mint, deleting their social media and website and making off with around $1.2 million. The project’s creators were reportedly the same as those who’d pulled off the $2 million « Baller Ape Club » rug pull in October 2021, and a $150,000 one before that.

Proposition chez les cryptoconnards qui ont acheté le bouquin de Dune à 3 millions.
J’en peux plus d’eux.

… Mais pourquoi stocker le livre en tant qu’image ?

Pour qu’il vive pour toujours dans le cyberespace en échange de la consommation électrique annuelle de la Suède.

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Eh bien Web3isgoinggreat! a justement une bonne nouvelle pour toi.

Somehow, SpiceDAO managed to raise €2.66 million (about $3 million) to buy the storyboard for Alejandro Jodorowsky’s never-made Dune adaptation. In a celebratory tweet the group wrote, “We won the auction for €2.66M. Now our mission is to: 1. Make the book public (to the extent permitted by law) 2. Produce an original animated limited series inspired by the book and sell it to a streaming service 3. Support derivative projects from the community”. They were quickly informed that buying the physical book did not somehow confer to them copyright or licensing rights (much like how buying an NFT does not automatically confer you the rights to the underlying artwork!). You’d think they might have checked that first.

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C’est bien parce que dans l’hypothèse improbable où quelqu’un penserait que les gens sont trop durs avec les cryptobros et c’est injuste de tous les peindre comme des connards, la correction vient directement de la source :

Pinaise, il va falloir bruler ces scans aussi!!

Très bon ca:

Quoi de mieux que de procrastiner en se formant pendant des jours sur un nouvel outil « révolutionnaire » plutôt que de commencer à bosser sur word comme tout le monde ?

Procrastiner en se formant sur DEUX logiciels.

Je suis en train « d’étudier » deux logiciels à la mode, pour organiser ses pensées et se faire croire qu’on est beaucoup plus productif et organisé alors qu’on passe plus de temps à regarder des tutos qu’à bosser sur des projets.

Notion et Obsidian.

Notion est moderne et facile à utiliser, Obsidian est complètement gratuit mais on va dire que c’est « le plus Linux » des deux. Anyway, le but est d’organiser ses pensées et de créer des liens neuronaux entre pleins d’idées qu’on jette sur des pages vierges.

Résultat, plutôt que d’écrire ce que je dois écrire je regarde des tutos.

Vous bossez avec ?

Le trailer Notion complètement fantasmé, dans la vie ça ne se passe jamais comme ça, mais ils savent vendre leur concept les coquins.

Obsidian :

J’ai essayé de faire quelques trucs avec Notion, poussé par les recos Youtube en mode : « ça a changé ma vie » mais au final je l’utilise comme un simple bloc note / dump de références.

J’ai déjà un workflow de todo assez solide avec Things et la fonction « Mail to » qui transforme les mails en tâches.
J’ai déjà une application de cartographie d’idées qui fait mieux le taf MindNode.
J’ai déjà une application de prise de note suffisamment puissante… le truc filé avec MacOS/iOS

Le gros avantage que je vois à Notion c’est peut-être le côté Wiki si tu travailles en équipe, ça te fait une base de références et d’infos communes dans laquelle les gens peuvent piocher.
Je sais qu’il y a d’autres applications pour générer des sites web, etc.

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Oui tout comme personne ne joue à la Switch sur les toits, mais c’est une très bonne vitrine / exemple de ce que le produit offre en terme de fonctionnalité.


J’utilise Notion en tant que wiki personnel. C’est pas très bien rangé ou fourni et ça n’exploite pas spécifiquement ce qu’offre Notion (genre des tables d’hyperlien) ; en fait je pourrais faire pareil avec OneNote. Néanmoins le client mobile est acceptable et j’ai donc accès aux données aussi bien sur mobile que PC.J stocke des brouillons de machin que j’aimerai partager sur boulette ou tildes, des instructions pour divers projets perso.

Je ne l’utilise pas pour gérer des todos/calendrier. Dans ma vie pro il y a tout le système usuel de tâches/estimation déjà mis en place pour que ne pas besoin d’avoir un système parallèle, et dans ma vie perso j’ai suffisamment peu de chose pour devoir le mettre dans un système. Et quand bien même j’aime les systèmes, j’ai le sentiment que c’est somewhat sain d’avoir un peu de chaos plutôt que de transformer sa vie en liste à remplir.

J’aimerais aimer Obsidian, surtout par rapport à la portabilité des données (c’est juste des fichiers .md sans aucune surprise), mais je suis trop fainéant pour setup une synchronisation avec le téléphone.


Le truc qui va sans doute te prendre le plus du temps plutôt que d’apprendre des logiciels et d’apprendre la méthode qui s’appelle Zettelkasten. C’est pas miraculeux, comme tout système d’organisation (genre GTD) il faut être prêt à investir du temps dessus.

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ça fait bientôt 2 ans qu’il est devenu un des piliers dans ma (petite) entreprise, le trailer n’est pas siiii fantasmé que ça, évidemment ça ne va pas à cette vitesse, mais pour bosser sur une liste de features, dresser une task list marketing, collaborer sur de la doc ou une réponse à un client, réfléchir à une archi, etc… c’est vraiment super bien foutu, et c’est assez enthousiasmant de voir les choses progresser et les tâches se résoudre comme dans cette vidéo.

en général on collabore à 2-5 personnes sur une même page tout est bien ordonné et ça fait un super wiki d’équipe comme le souligne fabien.

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Oui sur un projet d’applicatif par exemple, on peut imaginer que ça peut couvrir la partie doc collaborative (l’existant) et les évolutions (le futur), voir le suivi d’anomalie (soyons fou), assez intuitivement.
Et probablement que l’aspect un peu « libre » de la structure permet de ne pas hésiter à noter un truc, alors que dans un outil plus orienté, on se dit « oui mais je note ça où là ».

Alors pour l’instant je suis plus attiré par Obsidian, parce que Notion est vraiment fort pour tout ce qui est teamwork, mais je n’ai plus d’équipe actuellement, et il pose de gros problèmes de vie privée : tous les documents sont stockés chez Notion, il n’y a aucun chiffrage de bout en bout. On ne peut pas non plus bosser dessus offline si j’ai bien compris.

Alors que Obsidian peut tout stocker en local. Bon, par sécu il est préférable de ranger ses fichiers dans un cloud, mais au moins on peut choisir le cloud en toute connaissance de cause. En revanche Notion est super fort pour tout ce qui est base de données, et je n’ai pas l’impression qu’Obsidian est aussi avancé là dessus, mais je me trompe peut-être, et au pire c’est toujours un truc qui peut se rajouter après.

J’ai une anecdote qui va vous faire marrer. Il y a environ 15 ans, j’avais gribouillé dans un carnet le concept d’Obsidian (il doit être quelque part dans mes affaires). Je voulais créer un journal de bord personnel axé sur un agenda. On lançait l’appli, on tombait sur un calendrier, et on pouvait cliquer sur un jour pour créer une note, qu’on pouvait ensuite archiver via des catégories et des tags. De cette manière il était très facile de faire des recherches dans ses notes et de tout afficher classé par ville.

En dehors du fait que j’étais incapable de réaliser un projet pareil, je n’arrivais pas à trouver de solution maline pour la sécu / vie privée. Je savais que les gens n’auraient pas confiance s’ils devaient stocker leurs documents sur les serveurs d’une entreprise, et que même en partant avec la meilleur intention du monde, j’allais me lancer dans une courser à la sécurisation sans fin qui me fatiguait rien que d’y penser. Bien entendu, je n’étais pas non plus convaincu pour un stockage 100% local pour des raisons évidentes, sans parler du modèle économique un peu flou.

Du coup j’ai refermé mon cahier et je suis allé mangé des frites.

Entre ça et mon projet de space opéra révolutionnaire, je serai riche aujourd’hui si je n’étais pas complètement con.

Typiquement sur une solution en travail collectif pour parano, il faudrait une version open source installable sur un Pi exposé sur le net, par exemple.

je ne connais pas obsidian mais je peux répondre pour notion, je pense que le concept tout le monde l’avait plus ou moins, mais entre une idée et l’implémentation il y a un monde, non seulement il faut faire un truc super puissant mais il faut que tes utilisateurs saisissent la puissance de l’outil, puissent l’exploiter.

niveau interface et UX notion est fou, il y a un niveau de finition complétement maniaque pour que tout soit fluide et limpide en quelques commandes clavier, le travail en équipe avec la visualisation de ce que chaque utilisateur fait, c’est pas neuf mais faut le coder.

il y a 15 ans de ça avec les outils de l’époque (JS il y a 15 ans, non merci. google drive c’est 2012) et les architectures de l’époque c’était même pas jouable ou alors pour un coût délirant, et les scénarios d’utilisation n’existaient pas encore. même si tu avais réussi à inventer une interface qui ne soit pas bardée de boutons et de menus déroulants personne n’aurait été à même de comprendre comment l’utiliser, en partie parceque tu n’aurais pas été incapable d’assurer un feedback rapide à l’utilisateur.

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J’imagine que ça doit être compliqué de ressortir les données d’un outil comme cela, si jamais on veut quitter le service, vu qu’il n’y a pas forcément d’équivalent aussi polyvalent.

dans mon souvenir ton contenu s’exporte assez facilement en HTML/JSON/markdown, j’avais d’ailleurs utilisé les features d’export de notion pour générer la documentation de ma librairie, ça permettait à tout le monde de bosser dessus hyper simplement, d’éditer très rapidement et derrière je n’avais qu’un script à lancer pour que tout soit mis en ligne sur mon site.
mais évidemment tu perds une grosse partie des fonctionnalités de « base de données » notamment.

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Sur ce sujet, c’est marrant (mais non en fait), de voir les gens passer de « Arrêtes de saouler on s’en fout. » à « Mais jamais on aurait dû partir là dessus c’est dingue ! », concernant l’utilisation de trello ou autre outil en ligne dans les boites d’info, et donc le fait de mettre les données de projets parfois ultra sensibles sur un outil tiers, utilisé en plan gratuit.