Merci ! Tu as le lien direct vers la page soundcloud ? L’embedded déconne.
Ah oui effectivement c’était cassé, c’est corrigé. 
(et donc pour pas que ça donne ça depuis mobile, il faut que j’affiche le navigateur en mode desktop sur la page Soundcloud d’où je copie, et celle de Boulette où je colle)
J’avais posté un morceau en coup de vent, mais ça vaut le coup d’en dire davantage : j’aime vraiment, vraiment beaucoup The Fantasy Life Of Poetry & Crime, le dernier album de Pete Doherty, dont je connaissais davantage les frasques que la production musicale, en duo avec le français Frédéric Lo, dont j’ignorais à peu près tout, mais que je peux désormais qualifier de joli faiseur de mélodies.
C’est tour à tour et parfois en même temps langoureux, joueur, doux, inspiré, spirituel, enfantin. L’album a été composé à Etretat, et la première balade éponyme est une déclaration d’amour très british à la Seine-Maritime, qui devient sous la plume facétieuse de Doherty un théâtre victorien brumeux et intrigant aux grandes voûtes ludiques et catchy. The Epidemiologist est un portrait délicieusement narquois, plus moqueur que tendre, ou l’inverse, des chercheurs de vérité, soulignée de quelques lignes irrésistibles - I search and I search / I lurch headlong into atrocities / With an exponential known only to epidemiologists - qui se grignote avec un sourire coupable comme un paquet de Monster Munch à 19 heures ; il y a de la rengaine de corsaire autant que des complaintes voluptueuses dans The Ballad of, opera folk qui fait penser au Conor Oberst fougueux et imprévisible des premiers albums de Bright Eyes. On trouve plein de langueur et de rédemption dans The Monster, introspection douce-amère de Pete Doherty et ses démons - La vie est tendre / Belle et violente / The monster assures me. Il y a du Simon & Garfunkel autant que du Adam Green dans la très douce et très amicale et très endeuillée Abe Wassenstein. Et en termes de chanson de confinement - période de composition de l’album - difficile de faire plus mignon, intimiste et touchant que Doherty chantonnant d’une voix pleine d’impuissance They closed down all the bars / Clubs and theatres / Where am I 'posed to sing my song / Where the only place that I belong / Is amongst the madding throng.
Bref, plein d’amour pour cet album à la fois traînant et joyeux, mélancolique et lumineux.
Pour les amateurs, existe aussi un enregistrement live dans la demeure où il a été enregistré (merci Arte) :
Toujours aussi cools :
Je ne connaissais pas le loustic, bien cool :
Trop bon ! Sur la durée et tout :
Puisque tu parles de Chroméo, une collab/vidéo que je trouve intéressante
Wah, excellent merci
Oui clairement, c’est top, merci pour le partage.
Et toute la série est top, c’est pas juste un one shot, vivement qu’il sorte la compile !
Qu’est-ce que…
le titre est à la base une chanson de … nada surf
c’est malin, j’ai envie de les revoir en concert
(@tam Ça alors !)
Le son de cette Golden Week qui démarre, veut nous faire croire Pony Canyon à grands coups de promo sur les réseaux sociaux, est Sashi Iro de Bialystocks, le générique de fin d’un drama qui vient de se lancer. La propagande fonctionne bien sur moi.
Les Gizz m’avaient complètement perdu avec leurs quinze albums par an mais ce single de 20 minutes (haha) est franchement épique.
Quelque part entre les Boredoms de Vision Creation Newsun, le krautrock, et des vieux trucs psych freaks. Avec en sus une pochette bien Druillesque.
Le gars que je surkiffe en ce moment est RG Rough, un français, passé maître dans l’art du collage sonore. Son dernier est un hommage aux 70, clic et voyage.
J’aime aussi beaucoup cette collab.
Punaise, je savais même pas que ça existait, il me le faut !!!
EDIT : whaaa, il y a même une cartouche Kraftwerk !
En plus d’avoir un excellent titre, "Aucun mec ne ressemble à Brad Pitt dans la Drôme’’ est un excellent album rock.
Chouette trouvaille, 200 cassettes enregistrées entre 1979 et 1999, c’est dispo sur sur Soundcloud
L’histoire :
