Et bonne journée
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En plus, c’est un chouette titre que j’avais personnellement découvert complètement par hasard, grâce à sa sortie sur la Virtual Console de la Wii dans la chaleur du mois d’août 2008. L’intro est dans le ton de l’époque PC Engine. [edit] Ah c’est une compil’, OK. Je parlais de Blood Gear affiché en preview de la vidéo. Jeu de Westone avec des musiques par Sakamoto Shinichi (Monster World III) et Watanabe Jin (Monster World IV).
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Version « remastered », pour rappel, rejoué avec les synthés et les samples d’origines, mais sans passer dans la moulinette de la SNES.
Depuis que j’ai regardé quelques vidéos du Télévisator —un gars qui décortique avec beaucoup de sérieux l’historique et le game-design de jeux TV type Intervilles, Motus, Pyramide, Juste Prix, Juste Euro ou Bigdil — les algos Youtube sont très heureux de me faire découvrir plein de chaines de rips VHS d’émissions et de pubs 80’s/90’s.
Ce qui m’a fait retomber sur cette réclame bien connue :
Johnny’s always running around
Trying to find certainty
He needs all the world to confirm
That he ain’t lonely
Mary counts the walls
Knows he tires easily
Ritournelle new-wave catchy et mélancolique, le tube Johnny and Mary de Robert Palmer (1980).
Un peu comme Peugeot m’avait indirectement branché sur la discographie de Talk Talk, je me suis dit que Renault me ferait sans doute découvrir un autre monument caché sous mes yeux depuis tout ce temps. J’ai du coup récupéré et écouté TOUT ce qu’avait produit Robert Palmer afin de m’éduquer…
Et bin, c’est pas ouf du tout, dis-donc.
Robert possède une certaine classe (et le sait)…
Il est interprète d’un autre grand classique publicitaire…
Mais jamais on ne retrouve l’évidence de Johnny and Mary, tout reste comprimé dans un caisson variétoche assez banal, parfois jusqu’à l’embrassant. Secrètement, j’espérais tomber sur un truc à la Black ou un Chris Isaak synthpop. Tant pis!
Je poste ça ici en attendant que tout ce qui se rapporte à la presse papier tombe hélas dans le topic des vieux ou du rétro :
Quelle beauté rare, j’aime beaucoup la maquette sobre.
Et il y a apparemment eu une version japonaise du magazine (?)
Je réagis en retard mais je l’avais brièvement évoqué dans le premier numéro de Pancrasse : Jourgensen dit avoir été très bridé par son label pour cet album, c’est surtout en ça qu’il le rejette.
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En citant Black tu m’as rappelé ce morceau de 1990 que je n’ai découvert qu’il y a trois ans, un peu dans cette mouvance aérienne pop/soft rock de la période.
Et dans les années 80, ce classique parmi les classiques du Top 50 :
Je dis banco, merci. Je vais creuser ces deux refs. J’adore Vision Field, on dirait vraiment Bon Jovi qui reprend du Sade (Till the work is done). Gros plaisir coupable que ce pop-rock FM kitschou-distingué, avec ses mélodies imparables et ce premier degré assumé.
Efficace le dernier Killer Mike.
La meilleure période de Palmer, c’est l’album Clues (1980) et le morceau éponyme Looking for Clues qui est une pierre angulaire de la New Wave, fortement influencé par Talking Heads (pour qui Palmer avait larbiné) et emblématique de la New Wave avec une réappropriation middle-class décomplexée du ska et des synthés (et de l’humour du Punk) qui foutaient le zbeul dans le clubbing anglais des années 70 en marge de la disco grand public. Ensuite, ça part complètement en vrille (merci la coke). Johnny and Mary provient aussi de cet album.
La vraie star des (bons) morceaux de Palmer, c’est toujours la percu. Il a vécu une partie de sa vie aux Caraïbes avant de connaître le succès, d’où le coup de génie des steel drums dans Every Kinda People etc. Pour en revenir à Looking for Clues, ma version préférée est celle de l’album rétrospectif Addictions – un peu on the nose si je puis me permettre.
Mais justement…
… T’as déjà essayé de te plonger sérieusement dans Talking Heads ? Parce que tout 1977-1984 c’est fabuleux, incroyablement inventif et fondamental pour le son des années ‘80, tous leurs projets spin-offs ou presque sont cool as fuck (Tom Tom Club, les trucs persos de David Byrne, le docu Stop Making Sense etc.) et le succès de Palmer est un peu « je passais par là, j’ai vu de la lumière et le parfum du génie de Talking Heads a déteint sur moi le temps de faire trois trucs bien et basta ».
Non, mais c’est un peu de leur faute à ne faire de la synchro pub qu’aux Pays-Bas. Plus sérieusement, c’est un collectif hyper influent, bien plus connu de mes services que ne l’était Robert Palmer. J’ai donc une meilleure idée de leur production mais je garde le conseil en tête: c’est vaste et ça vaudrait le coup que je replonge dedans ne serait-ce que pour explorer tous les soli et collabs de Byrne.
Dans la série des « Concerts légendaires que vous êtes dégoutés d’avoir raté », celui-ci est number one dans ma liste, loin devant tout le reste.
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Je ne sais pas pourquoi l’embedded foire mais c’est DOMi & JD BECK avec de l’intro de la Gamecube.
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Discourse (en tout cas notre version) n’accepte pas l’incrustation du format Youtube Short. TikTok s’en sort un poil mieux.
Ce qui me fait découvrir au passage cette complilation de remixs sortie l’an dernier que j’avais complètement loupée: Stem Sell.
Plaid, ma valeur sûre depuis 25 ans…
Un peu comme Gerald Donald: même quand c’est moyennou, ça reste imparable — remixs inclus.
Autrement, je suis plutôt client de The Smile, qui surfe sur les expérimentations et la richesse de textures de l’époque Kid A. Je pensais avoir fait une indigestion de Thom Yorke mais je suis apparemment reparti pour un tour.
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Non seulement le DJ Set de Dedeco sur Ape Escape est fantastique, mais il a rajouté par dessus des commentaires (dispos en option CC sur Youtube) du compositeur original des musiques, Terada Sōichi, récupérés avec l’aide de Nick Dwyer.
Découvert via la rubrique Download d’ackboo dans Canard PC, ce site Drive & Listen à la croisée de radiooooo et de Google Street View.
Ma copine m’informe que c’est vieux comme tout mais je m’ignore les sarcasmes, ça me permet cet aprem de découvrir Istambul à la fraiche en écoutant Baba Radyo et je suis le plus heureux des passagers.
Existe aussi sur mobile.
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Chouette petit tube composé sur Master System.
Toujours aussi bon
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