1h30 de MSX
On peut écouter ici 30 secondes d’une nouvelle piste pondue par Philippe Vachey pour le remake de LBA.
(Ça colle parfaitement).
Comme souvent, Ubisoft a (temporairement) mis en ligne la B.O. de son dernier jeu, ici celle de The Rogue Prince of Persia. Excellente fusion perse / EDM.
(Ça se chamaille dans les commentaires pour décider si un Perse de cette époque écrirait vraiment de la gauche vers la droite.)
Tiens d’ailleurs à ce sujet.
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Ahah, pour ceux qui n’ont pas la ref (mais comment auriez-vous fait pour passer à côté de cette chaine qui doit amasser des millions)
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Je n’avais rien demandé mais content d’apprendre d’où vient le sample vocal au début de Regulate.
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Encore une ref mainstream de neo-boomer.
Voici un topo bien foutu sur l’audio d’Akira. Si vous avez lu/vu un peu sur la question, vous n’apprendrez sans doute rien de neuf mais ça fait en tout cas une belle porte d’entrée pour les gens qui découvriraient l’œuvre de nos jours. Et l’habillage est soigné.
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(Merci pour la vidéo)
En ce moment je creuse la discographie du tonton d’IAM, Imhotep, et je me rends compte que je suis passé à côté de plein d’albums instrumentaux absolument géniaux.
OK, j’avoue, j’ai versé ma petite larme.
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Bon, bravo moi, j’ai effacé ce post en pensant en créer un nouveau.
Je parlais de la chanteuse espagnole CERAZADE, qui sonne un peu comme du Lomeboy.
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Je pige toujours pas comment ce mec n’est pas apparu dans mon radar avant, mais je surkiffe ce court métrage. Malheureusement, le package est beaucoup plus intéressant que la musique, à qui il manque un je ne sais quoi pour arriver au même niveau que la musique qu’il cherche à imiter. Un poil en dessous d’un Donny Benét je trouve.
Ceci dit, belle robe.
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Il y a une volonté de placer des solos, mais ils ne sont pas très(/assez) avancés je trouve.
Scié par la qualité globale de cette perf
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Noa est passée chez The First Take.
Un pote m’a envoyé son enregistrement d’un concert d’Ekova auquel on avait assisté il y a près de 25 ans. Le son est un peu étouffé, c’est capté au Minidisc mais je trouve ça toujours aussi aérien et valable qu’à l’époque.
Hélas, le moment à capella est à peine audible, voici la version studio.
(Notez l’originalité des photos promos)
Je rattrape avec bonheur les deux albums de Nilüfer Yanya, avant l’opus à venir en septembre chez Ninja Tune et dont ce premier extrait envoie du petit bois. Comment j’ai pu passer aussi longtemps à côté de cette artiste reste un mystère (FPGA).
Son souffle poétique est un refuge qui nous protège des forces de désolation, Annelies Monseré est back dans les bacs, contact :
Recorded in much the same way as its excellent predecessor « Mares », with close mic’d vocals that magnify Monseré’s restrained emotions, « I sigh, I resign » shifts into its own dimension via muffled drum machine pulses that beat slowly below ghosted instrumentation. Monseré has always made her own distinctive kind of folk music; as entwined with Codeine’s hushed slowcore as Nico’s icy expression. Here, she sounds completely unlocked - after two decades of cautious experimentation, she finally draws with more deliberate strokes - and the effect is mesmerising.
Il y a 30 ans, à l’époque où le genre a vraiment explosé, on entendait beaucoup le refrain comme quoi le rap était une musique de jeunes et que, contrairement au reggae, on ne verrait jamais de MC seniors.
It’s been a long time, indeed.
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Jamais accroché à Ekova mais comme probablement beaucoup de monde, je les avais découverts via leur collaboration avec Lofofora, qui concluait l’album « Peuh! » de ces derniers, de manière assez cool et inattendue.
Idem… Avec la bande-son de Ghost In The Shell, ce morceau fut un fidèle compagnon de nos séances de lâcher-prise au lycée.
Je comprends parfaitement qu’on ne puisse pas accrocher à « la proposition Ekova ».
C’est très spécial, parfois même à la frontière du mauvais goût new-age/world music mais, dans ses deux albums, le groupe a quand même tissé certains motifs sonores d’une beauté imparable.
D’autant qu’il a débarqué dans une période où je consommais énormément de Dead Can Dance, combo lui aussi pourvoyeur de télescopages de traditions musicales menés par des chants idioglossiques…
Dans ce format, un super (bon) musicien est invité à écouter pour la première fois un hit d’un autre groupe avec plein de parties mutés, et doit improviser un truc par dessus, à la fin il écoute la vraie version. Ca fonctionne bien, surtout quand la version alternative est aussi bonne que l’originale.
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