@dma Non non, je pensais bien à la compatibilité. C’est un brin déroutant mais logique d’un point de vue marketing.
C’est une observation complètement random mais Milla Jovovich est apparue dans un jeu PlayStation de 1998, puis un jeu PlayStation 4 sorti vingt ans plus tard, en 2018.
Rien d’autre. (Notez que la collaboration avec le film Monster Hunter date plus précisément de 2020.) Elle n’est fameusement apparue dans aucun jeu principal ni spin-off de Resident Evil, malgré la popularité de son personnage Alice au cinema.
Je réalise un peu tardivement qu’en fait le mode en ligne au cœur du jeu Homeland sur Gamecube fonctionnait intégralement en Peer-to-Peer et donc qu’il est parfaitement jouable aujourd’hui sans astuce ni contrainte autre que brancher son Gamecube à un câble connecté à Internet via le Broadband Adapter. Conséquence logique: des Japonais y jouent encore aujourd’hui et ont même leur propre chaîne Discord.
Il y avait quand même quelques exclusivités sur le 1200 pour les jeux (Slamtilt, Diggers, Subwar 2050, TFX, etc.) et des partages « améliorés » bénéficiant des capacités du chipset AGA (Robocod, Zool 1 et 2, Brian the Lion entre autres) mais c’est vrai que l’essentiel de la ludothèque Amiga était compatible avec le 500 (avec 1 Mo de Ram).
Le 1200 était surtout intéressant pour ses utilitaires, pour ceux qui voulaient faire du pixel art ou du rendu 3D en 256 ou 264 000 couleurs (mode HAM-8). Mais c’est clairement hors de propos en 2021, qui plus est sur une « mini » machine, sans clavier fonctionnel, présentée comme une « console »…
Oui je pensais en fait aux jeux 500 d’origine qui aurait pu profiter du surcroit de puissance. La machine de base sans fast ram tirait quand meme pas mal la langue dans les modes graphiques étendus.
Le 1200 c’est trop peu trop tard mais la machine a en effet continuée a être utilisée pendant un bon moment par pas mal de studios de devs avec Deluxe Paint.
Ah mais aucun problème et effectivement, sans fast RAM ni disque dur, on manquait une grande partie du potentiel du 1200. Mais ça reste ma machine préférée de l’époque, d’autant que la retrocompatibilité était largement suffisante pour mes goûts.
Aïe ! Malheureusement le prioprio de la boîte qui commercialise le C64 Mini et l’A500 Mini a quelque peu l’air – je cherche le terme juridique exact – d’un gros con.
Iru! et Dr Slump sont sortis récemment. Le peu que j’ai joué de Slump a l’air spot on, d’autant qu’un patch permet de jouer avec les fringues vintage d’Arale.
C’est chouette, mais vu que le clavier de l’Amiga est un clavier standard qui n’apporte aucune plus value, je reste focus sur le Mega 65 qui proposera beaucoup plus d’options, et surtout beaucoup plus de cores différents.
Mieux vaut tard que jamais ?
La suite d’un livre jadis présenté comme la référence, mais qui est quand même très americano-centré (comme le dernier bouquin de Schreier au passage). Je le recommandais avec des pincettes à une époque pour tout ce qui concerne Atari, mais aujourd’hui, sur ce sujet, j’aurais plutôt tendance à conseiller Atari: business is fun, livre qui démonte un paquet de choses sorties par Bushnell au fil des ans.
Ouai, c’est la pire période pour acheter un ordinateur, et j’ai déjà claqué mon budget de 2022 dans deux trucs qui n’ont absolument rien à voir. Après, je considère qu’on rentre dans un nouvel âge d’or de l’émulation, et plutôt que d’éparpiller mes dépenses dans pleins de FPGA différents, je préfère me focaliser sur un seul hardware le plus optimal possible pour mes systèmes de prédilection (8/16 bits), et sur le papier le Mega65 semble proposer tout ce que je désire.
Troisième vidéo traduite du musée Namco, consacrée à Wonder Momo. C’est… Hum… Afraid to say anything. Mais j’avoue que l’illustration-clef du flyer, comme ça avec les cells, c’est assez classe. C’est vrai que la couverture PC Engine est tellement iconique que j’avais complètement zappé que ce n’était pas sa pose sur le flyer arcade.
Une vidéo concise mais bien foutue sur la panique sociale et politique contre les flippers à New York dans les années 1930~1940. Bon, la situation était manifestement devenue bien plus relax dès l’après-guerre mais entendre que l’interdiction n’a officiellement sauté qu’en 1976 me fait me demander comment cela aurait pu impacter les jeux vidéo et leur rapide déviation vers du jeu à scoring.
Et en parlant de l’arcade, Eugene Jarvis revient pendant près d’une heure sur Cruis’n USA et ses suites ! Il y a notamment une anecdote intéressante sur le fait que Sega et Namco à l’époque imposaient aux opérateurs d’acheter au minimum deux machines pour un nouveau jeu de course, sous la prétention d’encourager le multi, et que Cruis’n USA a fait son beurre (environ 26.000 unités vendues de mémoire de Jarvis) en vendant ses machines aux opérateurs moins fortunés ne pouvant se payer ou installer plus d’une machine dans leur commerce.
TIMECODES:
Intro: 0:10
How did Cruis’n USA get started? 1:04
Digitized textures/graphics, Dev process: 4:46
Motion version of Cruis’n USA: 16:55
Cruis’n’s game structure: 18:00
How many Cruis’n’s sold? 21:32
Talking about Cruis’n Exotica’s cabinet: 23:07
Mentioning the Ultra 64: 24:44
How do you approach developing a sequel to a popular game?: 26:24
Eugene talks about visiting Japan for Cruis’n Exotica: 28:02
Where did the name Exotica come from? 30:07
Talking about Cruis’n’s humor: 31:48
What led to the development of Cruis’n Blast?: 33:13
Cruis’n Blast’s cabinet: 38:37
What happened to Cruis’n Blast’s card system?: 43:48
The Switch port & console ports in general: 45:40
What’s the future of the Cruis’n franchise?: 52:47
Ah tiens, le jeu Saturn qui faisait du Metroid Prime avant Metroid Prime (et mieux que Metroid Prime) ressort enfin. Avec le meilleur des deux mondes puisqu’il combinera le level design de la version Saturn avec les contrôles de la version PS1 (on oublie la version PC qui n’a rien à voir). Même le nom de cette version est bien trouvé: Powerslave: Exhumed.
Uniquement sur PC pour l’instant mais « gageons que… »
Purée le nombre de portable sur emulation qui existent et qui sortent.
C’est sûrement pas le volume de production d’une console « officielle » même tous combinés, mais quand même.
Surtout que quand une nouvelle sort, au moins chez un constructeur donné, plus trop de raison d’acheter l’ancien modèle moins bien.
Et les gens ne switchent pas de leur dernière achetée à une plus vieille, elle est directement mise au placard (comme bon nombre d’autres matos, tel, pc, oui sûr).
Un récap’ intéressant sur série TV canadienne Maniac Mansion, (vaguement) tirée du jeu, qui aura duré trois saisons (66 épisodes).
Les huit jeux Master System dispos dans Lost Judgement. Quel comeback pour Alex ces derniers mois, il ne lui manque plus qu’une apparition dans le prochain Tarantino.
C’était devenu un secret de Polichinelle mais la grosse surprise de cette Quakecon était donc l’arrivée de Quake dès aujourd’hui sur toutes les machines du moment, dans une version qui a l’air ma foi super bien foutue.
A ce sujet, j’ai pas mal consulté ce site quand je me posais la question de me prendre une console chinoise portable emulatrice : https://retrododo.com/
Il y a sûrement mieux, d’autant plus si on parle chinois mais au moins ça renseigne
Par contre, je pense que je procrastinerai sur le sujet jusqu’à ce qu’ils emulent la PS2 correctement, ce qui devrait arriver dans une dizaine d’années.
Chouette vidéo étonnamment bien documentée de Polygon sur Froggy, Coktel Vison, Cryo, la contre-culture du JV français des années 80 et ses nombreux paradoxes.
Marrant qu’elle blague sur Capitaine Blood comme proto-Undertale car un jeu indé français avait servi d’inspiration à Toby Fox.
Eh ben il y a plusieurs dont je n’avais pas du tout entendu parlé.
Ah tiens, pour leur topo sur la GPi Case ils se sont gouré, c’est un Pi Zero qui va dedans, pas un Pi 3.
125 publicités Super Famicom classées chronologiquement (selon l’ordre de sortie des jeux en tout cas) de 1990 à 1998. Toujours intéressant de revoir l’évolution des prix des cartouches et les différentes modes : le gros focus sur les célébrités résiduel de l’ère Famicom, l’influence stylistique de la pub Street Fighter II, l’arrivée des premiers remakes, le boom de la J.League, l’apparition de la CG dans les pubs etc.