[Retro] c'est trop

Croisé sur Facebook

Hiromasa Iwasaki wrote:

For the benefit of my dear Western friends, I would like to explain the history of this picture.
At the end of 1984, Nintendo released « 4-players Mahjong ».

There is a reason it is called « 4-players » here. The official rules of mahjong are for four players, but most arcade mahjong games were simplified games for two players. So « 4-players » was very authentic and very appealing to dad in ordinary families at the time.

Dad? you may wonder.

In Japan at that time, it was widespread practice for wives to manage the family finances. And mothers always hated video games. Because they are the enemy of children’s study.

So, it was extremely important for children to get their fathers on their side to get them to buy an NES. And in Japan at that time, fathers often played Mahjong with their colleagues at work.

So, four-player mahjong was important.

So, who developed this « 4-players mahjong »? Hudson’s programmer, Mr. Tobita.
Mr. Tobita was the creator of « Jan-kyo, » a very famous computer software program at the time.
In 1984, Hudson became the world’s first third-party developer for the NES. At the end of the year, Hudson tried to port « Jan-kyo » to the NES and release it.

However, Nintendo saw « Jan-kyo » and forcefully bought it from Hudson.

Thus, Mr. Tobita reworked « Jan-kyo » into « 4-players mahjong », which was then released by Nintendo.

This cartridge was developed as « Jan-kyo » and released as a demo to distributors at the time.

This « 4-players mahjong » sold 1.45 million copies.

1 « J'aime »
1 « J'aime »

Vous vous souvenez de l’annonce eBay l’an dernier où un collectionneur revendait ses pièces pour 1M€? J’apprends que Tev d’Ici Japon est sur le coup pour acheter l’ensemble (via crowdfunding) et monter à terme un musée du JV en France.


Bien plus modeste: un petit aperçu du nouvel atelier de FFVIman, featuring la menuiserie de Radigo.

Marrant, j’ai un très bon souvenir d’être passé chez lui, dans son appart au milieu des HLM, à côté de je ne sais plus quelle station de RER assez lointaine, pour qu’il modifie 2xSNES. Il était déjà sur-pro à l’époque, et il a toujours fait ça gratos. C’est quand même cool les doux-dingues.

1 « J'aime »

Très cool comme anecdote :] C’était en quelle année environ?
Je crois qu’il modde toujours en « donne-ce-que-tu p/veux » lors des conventions (et ils les fait toutes), il suffit de lui ramener sa bécane. De mon côté, j’avais fait faire la mienne par un bricolo plus proche de chez moi mais avec le PCB switchless de FFVIman.

D’ailleurs, pour rester sur la SNES:

  • Ikari a sorti il y a quelques jour un nouveau FW pour le FXPak Pro, incluant toutes les features officieuse pondues par la commu en 2022.

  • Presque 30 ans après sa sortie japonaise, Ihatovo Monogatari s’est vu le mois dernier doté d’une traduction française (a priori d’excellente facture). Je n’ai pas encore patché mais il y a quelques images dans le lien pour se faire une idée.

Oula, je ne retiens pas les années, grosso modo 6 ans ?

Le héros n’est pas inspiré de Tora-San ?

Bonne question pour le héros, je sais juste que le jeu est basé sur les différentes oeuvres de Kenji Miyazawa et qu’on y retrouve pléthores de ses personnages.

Sens Critique:
On retrouvera donc tout l’univers du poète dans Ihatovo Monogatari, avec des personnages et des villages issus de nouvelles comme Le Coquillage de Feu, Le Chef des Cairo, Ozbel et l’Éléphant, La Biographie de Guskor Budori, Le Bureau des Chats, Train de Nuit dans la Voie Lactée et même Gauche le Violoncelliste.

Je (re)découvre au passage une partie de la ludographie du studio Hector, dont United States Presidential Race

…et le fort bien animé Moon Crystal qui a sans doute déjà été évoqué sur feu-Boulette puisqu’il figure déjà dans un de mes onglets OneNote de jeux à faire.

Je ne me souviens plus à quel point c’est dit ouvertement dans le jeu (ou si c’est genre un spoil de fin, oups) mais le protagoniste est Kenji Miyazawa en personne.


Chouette petit jeu LSI d’Epoch, Lupin The 3rd – Part III: Sanjō! Ōgon no Ude (1984), qui me semble fortement inspiré par Elevator Action (1983) de Taito mais avec un plus gros focus sur l’infiltration, mécanique encore peu fréquente à l’époque.

Les sprites empreintes (?) LCD sont absolument charmantes et dans le ton de la série – a fortiori cette troisième série un peu goofy avec la veste rose.

image
image
image
image
image

2 « J'aime »

C’est une histoire avec des chats expert-comptables donc un habile jeu de dédoublement narratif serait largement possible mais la page Wiki indique: The ending involves speaking to Mr. Miyazawa himself and boarding on the Galaxy Railroad train. Ensuite, je veux bien de te croire, n’ayant pas encore parcouru ce jeu moi-même. C’est dans ma todo d’un futur week-end, d’autant qu’il est parcourable en ~4h.


Je ne m’en lasse pas: on apprend que Billy Mitchell utilisait aussi un joystick à 8 directions au lieu des 4 de base sur DK. Malandrin Life :gun:

1 « J'aime »

Écoute, j’y ai joué il y a quinze ans donc il est tout à fait possible que je me souvienne mal de la fin. Dans mon souvenir, tu passais ton temps à rassembler des mémoires épistolaires de ton pote Miyazawa et au final tu pigeais que it was you all along. Peut-être aussi que j’ai sur-interprêté.

Je te laisse éventuellement la surprise du meilleur passage du jeu mais pour moi, l’aspect narratif le plus intéressant (mis à part le côté RPG non-violent) était moins l’intrigue principale que la scène du cinoche assez réminiscente de l’Opéra de FF6, mais un an avant FF6.

Sinon je conseille évidemment d’avoir lu les bouquins de Miyazawa avant d’y jouer même si, perso, j’ai un très mauvais souvenir des traductions françaises de l’époque.

1 « J'aime »

J’ai vraiment un soucis avec ce gars … il arrive et s’extasie de réinventer la roue à chaque fois qu’il touche à un nouveau domaine, en voulant donner des leçons aux acteurs déjà présent.
Un peu comme un disrupteur macroniste.

Je ne connaissais pas le monde des friandises, j’ai déjà plus tiqué quand il a balancé 20 000€ pour s’équiper en matos photo/vidéo et se tarquant d’être expert (nope) et là il recommence avec le retrogaming à signer de gros chèque pour chopper des pieces de collections « rares »

Et comme attendu, il roule avec son pognon sur le travail que MO5 et la RGC entre autres font depuis des années avec leur moyen limité … et j’avoue ça m’agace …

Je ne sais plus à combien de musées de jeu vidéo on en est, mais vivement que les milliardaires commencent à collectionner les musées de collections.

Le nouveau guide de UCBVG est consacré à Dragon Warrior III. Je vous avoue que je connais mal la version NES mais elle a plein de bugs et de caractéristiques rigolotes.

Acheter une collection à plusieurs centaines de milliers d’euros + avec l’argent de contributeurs + pour monter ensuite un musée en France + depuis le Japon = ça ressemble à une équation de mec bourré. Mais oué alléééé on fait ça, allééé!!. Sauf que là, tout le monde est à jeun.

Par contre, à sa décharge, il indique bien le flow absurde d’obstacles logistiques devant ce projet et il me semble qu’il mentionne aussi l’aide d’associations établies comme MO5 (?).

Quoiqu’il en soit, j’ai acheté 35Kg de pop-corn pour suivre cette histoire rocambolesque.

2 « J'aime »

voilà

Un peu dans le même trip, mais version papier, cet adorable guide fanzine en PDF pour Ys: Book I & II.

En parlant d’Ys, j’étais récemment tombé sur ce « livre dont vous êtes le héros » de Futabasha consacré au premier épisode, suite à son portage sur Famicom, console pour laquelle Futabasha adaptait quasiment tous les succès en version livre-jeu. Rigolo de voir leur interprétation d’Adol et Feena mais, surtout, je trouve le Dark Fact de la couverture très réussi.

:smile:

https://medium.com/@unrolled-loop/polar-bear-in-space-the-reality-of-creating-a-video-game-for-a-40-year-old-computer-371cc2b447c5

J’ai l’impression qu’en dehors des fans du monsieur, personne n’a pris son projet très au sérieux. Plusieurs organismes dont MO5 cherchent à monter un musée depuis des années mais n’obtiennent pas d’aides de l’état suffisantes pour assurer la pérennité de l’entreprise. Exposer du matos pour une expo temporaire, ok, mais entretenir le fonds sans expertise, matos ou budget suffisant, ça risque de ne pas aller loin.

1 « J'aime »

En effet, il y a un gars dans mon village passionné de matos des années 50 (à vue de nez, peut-être avant même ; il a aussi un kink pour tout ce qui existait juste avant les premiers processeurs), ie. que des trucs à lampes, des énormes circuits logiques avec des composants électroniques démesurés mais scintillants, des oscilloscopes/transfos ou des microscopes incroyables à balayage en stéréo, voir des grosses machines sur roulettes avec des circuits imprimés uniques que je sais même pas à quoi elles servent : il n’achète plus aucun nouveau matos depuis au moins 6/7 ans, et s’équipe constamment pour garder ces reliques en état de fonctionnement.

C’est magnifique, on dirait la salle de Tchernobyl. Et tout marche !

Par contre quel sacré trou sans fin : en fait pour pouvoir remettre en état d’origine, il faut aussi avoir la connaissance des techniques d’avant, sourcer certains composants/matériaux et parfois même trouver ou retaper des machines aussi d’époque… pour pouvoir réparer un truc précis. Et je parle même pas du fait qu’il utilise un solvant maison avec je crois de l’acide chlorhydrique car « c’est le seul moyen de vraiment nettoyer chimiquement ».

Bref il en a pour toute sa vie rien qu’avec sa collection actuelle.

2 « J'aime »

C’est très mal élevé de décrire comme ça sans une seule photo.
C’est pour savoir si je rachète sa collection, avec l’aide de Boulette.
(Plus sérieusement, cet endroit a l’air incroyable, merci pour le topo!)

1 « J'aime »

Impressionnant portage (en cours) de Resident Evil sur GB Studio.


Le pachinko Tengai Makyō II (2009) :

1 « J'aime »