[Retro] c'est trop

Ça me rappelle beaucoup le rendu visuel de Salamander 2 donc je me demande si l’exercice de style n’était pas : « et si Haunted Castle avait été un jeu Konami GX ? »

Les alphas des sources de lumière dans Haunted Castle Revisited sont peut-être un tout petit peu trop performantes pour l’époque.

Dans ce même registre, je citerais aussi Nebulas Ray qui a été un peu le précurseur dans ce style fausse 3D qui voulait s’affranchir du pure pixel art pour simuler ce qui était le standard de la 3D haute def de l’époque.

GB Studio 4.1.0 toujours plus maboule.

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① J’évite de partager n’importe quelle vidéo de Jeremy Parish car la recommandation de la chaîne dans son ensemble me paraît ici acquise mais son essai sur Kenseiden, l’état du game design chez Sega sur les premières années de la Master System et le tournant que le jeu représente au moment de l’arrivée de la Mega Drive (au Japon), est un sujet de réflexion assez passionnant (si la phrase que vous venez de lire vous parle un tant soit peu).


② Du côté de Basement Brothers, une excellente rétrospective de Zavaş de Glodia, RPG aussi innovant et ambitieux que complètement claqué, mais qui servira de terreau au plus conventionnel mais plus populaire Emerald Dragon ensuite.


③ Chouette promo de Sony pour le Futur de 2003. Ça avait quand même plus de gueule que la PS5 Pro. Je vous rajoute la description passionnante qui explique un peu mieux ce format ésotérique et me fait me demander si la PS3 a failli exister en version « cartouche ».

This is the official in-store demonstration Blu-Ray disc cartridge for the 2003 Sony BDZ-S77 Blu-Ray player, notable for not only being the world’s first Blu-Ray player, but the first consumer HDTV video disc machine.

This demonstration video covers the various features of the BDZ-S77 including the HD-resolution & 5.1 audio input & output facilities, the HD digital satellite (BS) tuner & then-new HD digital terrestrial (CS) tuners, and the engineering design of the hardware. The video also covers some lesser known features including the very unique disc library functionality. Of course, having been produced in 2003, all this is shown with set & editing design derived from the very popular retrofuturism movement that was occurring around the turn of the millennium, making this demonstration a feast for both the mind and the eyes. The recording was shown in-store on an actual BDZ-S77 via pre-recorded Blu-Ray cartridges.

In 2003, Sony released the very first Blu-Ray discs and player, the BDZ-S77, marking the first time a recordable disc for HDTV was made available to the public and in an extremely small form-factor. This $3,800 USD, Japan-region-only Blu-Ray system was very different to the modern Blu-Ray disc. The most notable quirk is the use of special cartridges and a different disc formulation with a 23GB capacity. Another odd design decision is that all sold discs for the format were rewriteable, even the demonstration discs. Recording was disabled (or enabled) via a « recording lock » on the cartridges like a video or audio tape. No commercial (« Hollywood ») movies or entertainment were released for the format.

This first-generation Blu-Ray player system was designed able to record and playback MPEG-2-compressed HD video and stereo PCM or 5.1 AAC audio tracks which perfectly matched the Japanese HD digital satellite broadcasting (ISDB-S) and terrestrial (ISDB-C) formats. In this way, the disc could store a nearly perfect « stream » of your favorite HDTV shows without additional compression or degradation. On the other hand, this meant the first-generation Blu-Ray system was largely designed only for the Japanese-market. Indeed, that’s where it remained for a few years.

In 2006, Blu-Ray was released internationally; however, the first-generation Blu-Ray cartridge system was not compatible with the « new » Blu-Ray disc format. Besides the lack of the cartridge shell, the new Blu-Ray system supports additional video & audio formats such as MPEG-4 AVC & Dolby TrueHD, but most importantly, it added the AACS security encryption system that Hollywood wanted. As a result, the first-generation Blu-Ray cartridge system was quickly discontinued in the consumer space as Hollywood supported the more-secure new Blu-Ray system upon launch.

In a move reminiscent of Betamax & Betacam, the Blu-Ray cartridge system was simultaneously released in 2003 into the professional market as the Professional Disc format with a slightly different shell. To this day, Professional Disc continues to be manufactured by Sony for use in their XDCAM cameras.

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Dément : Spelunky vient d’être porté sur Commodore 64, avec la bénédiction de Mossmoth. No offense mais ça en fait de facto le meilleur jeu C64 de l’Histoire, non ? À part Elite, peut-être, dans le contexte de l’époque ?

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La dernière vidéo en date de U Can Beat Video Games était consacrée à StarFox. Comme d’habitude, la rétrospective et le guide sont tellement sympathiques que ça donne direct envie de relancer le jeu sur l’appli Switch (ou de rebrancher la Mini Super Famicom) (ou de rebrancher votre Super Nintendo toute jaunie, faites comme vous le sentez).


SwanSong a atteint les 100 vidéos et décidé de revenir en arrière sur le projet (lancé en janvier 2017 mine de rien) et les 100 premiers jeux traités dans la série.


World of Longplays est en train de téléverser un paquet de vidéos Atari ST ; le timing est taquin car la vidéo de ce week-end est pour The Punisher de The Edge, l’adaptation précédant celle de Capcom en arcade, qui est dispo sur toutes les plateformes modernes depuis cette semaine.


Nouvelle vidéo de Basement Brothers consacrée à Sword Dancer: Kyōjin no Megami. Manque plus que Variable Geo et ils auront taclé tout le catalogue TGL, ma foi.


Jamais en rade de remater une partie de YumimiMix. Plus le temps passe, plus j’apprécie cette espèce de gigantesque démo (dans le sens demoscene) multimédia de Game Arts.

Encore une vidéo monumentale de RndStranger (Famidaily, Year of FDS) cette fois consacrée aux jeux de train, avec évidemment un segment conséquent à la seule gloire de la série Densha de Go! ; ça dure près de trois heures en tout.

C’est un malicieux hasard mais ça fait cinq tentatives différentes (et assez personnelles) de réhabiliter un vieux jeu mal-aimé que Youtube me propose en cinq jours.

Sword of Vermilion sur Mega Drive (1989) :

Toonstruck sur PC (1996) :

Aidyn Chronicles sur Nintendo 64 (2001) :

Police 24/7 (alias The Keisatsukan: Shinjuku 24-ji) sur PlayStation 2 (2001) :

Paper Mario: Sticker Star sur Nintendo 3DS (2012) :

(Bon, Toonstruck, c’était d’avantage un désamour commercial que critique mais laissez ma thématique tranquille.)

Ça alors, Sword of Vermilion est un jeu mal-aimé ? Je pensais que c’était un des jeux les plus importants du début de la Mega Drive…

La TV Jack Super Vision 8000 de Bandai est un oiseau rare. Un superbe pièce CIB est actuellement en vente sur Yahoo! Auction et je mange du pop-corn durant les dernière minutes. Je la vois bien passer la barre des 250 000 yens.

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Sword of Vermilion

@Iggy Je suis assez biaisé envers le jeu car c’est un de mes tout premiers RPG mais effectivement, il est complètement passé à la trappe de la nostalgie Mega Drive, notamment aux US où de toutes façons très peu de jeux précédant la sortie de Sonic ont le droit de cité.

Pour te donner un rapide panorama :

À vrai dire, 100 jeux, ça se remplit bien vite pour une console comme la Mega Drive donc ce n’est pas choquant, et je suppose que Sword of Vermilion est mentionné dès qu’on se concentre d’avantage sur les RPG (a fortiori ceux dispo en anglais). Mais je me souviens que, même à l’époque, il avait un peu le délit de sale gueule de ne pas être son voisin Phantasy Star II.


En parlant de Sega, Sumimasen Turbo a eu la bonne idée de ressortir de vieux DVD du Tokyo Game Show pour les mater ensemble et ils commencent par le TGS 2005 de Sega. Faudrait aussi qu’ils téléversent des encodages clean de ces bidules car je ne suis pas certain qu’on les trouve facilement dans le grand nuage d’Internet.

Ça alors ! Bon, j’étais team SFC donc je ne connais la MD que par ce que les 2 gars qui en avaient une me disait, et j’imagine que les jeux importants de la console = les jeux qu’ils avaient.

Comme Kamui, j’ai quelques DVD E3 et TGS de l’ère PS2/Xbox quelque part dans mes cartons, il faudrait que je vois s’il ne sont pas déjà dispos sur Youtube ou Archive. Je pense que ceux en ma possession sont néanmoins assez communs vu qu’on les trouvait à pas cher chez Liksang et PlayAsia.

Au passage, un petit coucou au topic disparu Xbox Japan!

Marrant, il est également interviewé dans le dernier Pix’n Love et il laissait davantage penser que la fin de Tilt était liée à ceux qui, dans l’équipe de rédaction, voulaient lui « savonner la planche ». Quand on entend de l’autre côté ceux qui disent que les problèmes du journal étaient de sa faute à lui (sûrement les mêmes qui voulaient prendre sa place), on ne saura peut-être jamais toute la vérité sur les coulisses de la fin de ce magazine.

Oui, j’ai l’impression qu’un type comme AHL en rajoute pas mal par exemple.La fin de Tilt, à mon avis, tenait au changement de formule qui a fait déguerpir les vieux lecteurs sans pour autant attirer plus de nouveaux. Par ailleurs, c’est un mag qui opérait dans un monde qui n’existait plus lors de sa fin, celui des hobbyistes de la première qui faisaient un peu tout avec leur micro.

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Dans quelques mois, on fêtera (aussi) les 30 ans de la PC-FX. :confetti_ball:

Content de voir qu’une poignée de gamers US se prépare à l’evénement pour la Portland Retro Game Expo 2024. Ils ont même préparé un petit leaflet de présentation de la machine.

Mais ce qui me réjouit avant tout, c’est qu’une des arlésiennes de la fantrad va prochainement débouler: Team Innocent sera bientôt entièrement jouable en Anglais. La core-team derrière est restée la même qu’il y a 13 ans (EsperKnight notamment). Une build preview sera en démo à la PRGE dans quelques semaines.

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Jeremy Parish a encore sorti une excellente vidéo sur la Casio PV-1000, console maudite par les décisions de son constructeur, s’il en est.


Et Vysethedetermined a sorti une brochette de nouvelle vidéos simultanément mais j’aimerais tout particulièrement mettre en lumière Espion-Age-nts (1999) de Hunex pour NEC Interchannel sur Dreamcast, ou plutôt ici sa version américaine Industrial Spy: Operation Espionage (2000) par UFO dont j’avais au choix oublié ou jamais eu vent de l’existence. Un jeu qui m’avait autant fasciné que frustré à l’époque (a fortiori en japonais) : c’était un peu à Metal Gear Solid ce qu’Unlimited SaGa était à Final Fantasy X. La description ci-dessous confirme que le concept méritait qu’on s’y penche mais aussi que l’expérience ne méritait pas de réclamer autant d’efforts de la part de ses joueurs.

« Industrial Spy: Operation Espionage » (aka « Espion-Age-nts » and « I-Spy ») is a bizarre game of simulated tactical espionage originally developed exclusively for Sega’s Dreamcast by HuneX and published by NEC in 1999. It later, somehow, got published in the U.S. by UFO Interactive in June of 2000 and is the second game published by them after « Seventh Cross Evolution ». Both games are highly polarizing… both games are quite unique, but IS is especially so, and there is no other game currently like it. The character designs and illustrations were done by Kazuo Miyamura.

The story is set in what was an alternative version of present day (2000). In a world filled with chaos and diminishing resources, giant corporations have emerged with more power than whole nations, creating a worldwide government. The balance of power heavily relies on the acquisition of valuable goods and industrial secrets. Enter Blitzstrahl, a crack squad of super secret agents adept at carrying out such tasks as stealing art, information gathering, or counteracting rival agents for its corporate clients. You’re the boss of Blitzstrahl (and as such, a silent protagonist), a team of seven agents, each with his or her unique abilities. You must manage their efforts in a series of missions that will take them all over the globe.

So with that out of the way, I’ll get some things out of the way… I won’t pretend that this game is an all-time classic. When it was initially released, the game was poorly received because critics deemed that it had unremarkable audio / visuals (I think they’re spiffy), a lean plot, and extremely obtuse gameplay mechanics. The in-game tutorial is barebones, the manual is borderline useless (it’s not entirely its fault though, as there are a lot of little things to unpack that are better learned during gameplay) and even if you learned the fundamentals, the game was cumbersome and incredibly frustrating to play. The game initially gives the illusion that it won’t be entirely cryptic; the introductory mission actually has a lot of supplemental info, resource files and miscellaneous cues that ease you into the game… by making good use of the tools at your disposal, the game appears a bit slow but ambitious. However, most other missions have little useful info in which to speak of and you’ll have to wander around almost blind. I understand that you can’t have much info at your disposal prior to the start of the mission, but the level of trial and error at play is egregious.

Fortunately, the game did get a useful guide released for it back in the day (which is ironically a lot rarer than the game itself), but if you DIDN’T have a guide (physical or digital), the game was almost impossible to complete unless you had the patience of a saint. So, what’s the game actually like? It’s kinda like a combination of « Tecmo’s Deception » (room displays, avoiding traps), « Trap Gunner » (agent skills and general tomfoolery), a little « Deus Ex » (minor RPG elements and various proficiency upgrades), « Lifeline / Operator’s Side » (delivering orders without direct control of the characters, it’s not voice-activated), « Night Trap » (monitor various cameras and surveying multiple characters in real-time with a constant need to toggle back and forth) and « Produce » (a PC-88/PC-98/Sharp X1 game where multiple characters also act autonomously and simultaneously if you decide to set algorithms to your spies… but that game is one of the freakiest games of the 80s.)… but that still doesn’t thoroughly explain it. It is truly a menu-driven espionage simulation and you are in the driver’s seat as the one calling all the shots. While one could argue that they should’ve let you control the characters on your own, when you dive in and see just how many things you can interact with and how much useless stuff there is to parse through and how labyrinthine the maps can look just through sheer observation alone, one would actually deem the decision to make travel restricted to a few dozen key points of interest seem merciful.

Each mission prioritizes different skills (and sometimes missions evolve as they progress) and thus, different characters. Interestingly, most characters have overlapping skills but may take longer or not have enough proficiency to complete a task, so you can use AP (Ability Points) from cleared missions to upgrade your characters. Even so, there are many things to interact with and time limits that reduce your awards or end your run if you take too long, so wasting time is not preferred. If any character is killed during a mission, the game will end and sometimes interference appears on the displays, meaning you can’t switch to a character temporarily. With a guide, the game is reasonably fun and there’s even sub-missions and a hidden character as well as « New Game + », but getting stuck or dying on a mission after a long time with no ability to save during is a big demerit.

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Concept super intéressant où l’on pactise avec une engeance démoniaque pour se venger de ses amis (as you do). Le but est de les amener au dernier étage de la maison hantée où attend sagement leur trépas.

Pour ce faire, le joueur peut générer des monstres (et gérer leur durée d’apparition) sur le chemin des trois victimes mais attention:

  • y aller trop franco les ferait mourir de peur (ce que l’Eldritch prendrait mal)
  • y aller trop mollo leur permettrait de trouver la sortie de chaque étage et de s’enfuir (idem)
  • les 3 amis sont doués de pouvoirs psychiques, leur permettant de contrer nos monstres (avec un équilibrage de vulnérabilités façon pierre-feuille-ciseau)

J’adore cette interface overkill avec les cœurs battants, très 80’s, ainsi que le point de vue omniscient jusqu’à la carte évoquant les maze-games du début de la décennie.

HG101 détaille un peu plus ce jeu effectivement abscons et novateur.

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Je cherchais récemment des infos sur le Micomsoft XE-1AP ainsi que sur d’éventuels pads de pachinko PC-Engine avec auto-fire (les pads de base sot trop petits et me filent des crampes à force). L’occasion de tomber à chaque reprise sur cette chaine Youtube riche en présentation de périphériques éclectiques.

Sharkie’s Gaming Controllers

Le gars fait ça depuis plus de 10 ans, autant dire que le nombre de grips, claviers ou gamepads passés en revue est appréciable. Il n’a pas une voix de radio et l’habillage est sommaire mais ça doit être le seul sur le net à évoquer certains accessoires complétement tombés dans l’oubli.

Hori PeriBorg ORE Commander (All - 2005)

PuzzleSphere Controller (PS2 - 2007)

Hunter Keypad (PC - 2017)

Ah tiens, curieux, il ne parle pas du B̶̛̥̭̱̊̈͆̓̆͑̓̉̍̅̕͘͠Ǫ̴̛̳͉͎̘̦̼̠̼͐͗͊͊͂͑̊͒̒͜͜͠ͅD̶̲̦̞͖̗͙̲͈͑͛͗̽̀̍̍̊̽̈́́̽Ỵ̸̢͍̩͛̇́̆̑̃͆̽̃̀̚P̵̧̩͔̖͛̋̂̒̽͒̈͘͝͝ͅA̴̮͂͗̂D̴̡͎̫͙͕͓̞͎͇͚̩̹͔̹̉̌̒̂ ce périphérique de combat du futur made in France sorti en 2005. La promo est pourtant tellement…