[Sports] Le FC Boulette reforme sa superteam

:soccer_ball: Ils s’affrontaient ce mardi soir !

Bon, c’était peut-être pas le meilleur match de la soirée…


:soccer_ball: Pendant ce temps, le Maroc continue son irrésistible ascension dans le football mondial et vient de remporter au Chili la Coupe du Monde des -20 ans, aux dépens de l’Argentine. Vivement la WM 2030. (Possible que la vidéo de la FIFA soit bloquée chez vous, en fonction des pays, et qu’il faille aller voir le résumé sur Youtube.)


:soccer_ball: Mais la plus belle histoire de la semaine est celle du Mjällby AIF, club d’un village côtier de 9000 habitants, qui vient de remporter son premier championnat de Suède, à la surprise générale.

L’Équipe avait également anticipé avec un bon papier sur leur histoire peu banale ce week-end.

La nouvelle saison NBA s’est également lancée ce mardi soir aux États-Unis, et c’était surtout le grand retour de la ligue sur NBC après 23 ans de hiatus, l’occasion de dépoussiérer leur mythique intro ♬Roundball Rock qui est, pour toute une génération, synonyme des grandes années Michael Jordan. Ce dernier a d’ailleurs été payé à prix d’or pour intervenir en tant que consultant de luxe sur la chaîne.

Premier match qui a vu les champions Oklahoma City Thunder batailler dur contre les prometteurs Houston Rockets rejoints cette intersaison par Kevin Durant, 37 ans, toujours vaillant.

Meilleur début pour un rookie depuis… Euh, Wilt Chamberlain (donc 1959).

Cooper Flag, grand favori pour le vote de rookie de l’année au début de la saison, a passé un premier soir bien plus compliqué face à Wemby.

Un inexplicable bug technique a empêché le toujours très impeccable résumé sportif hebdomadaire de @Merou d’intégrer l’information la plus essentielle de cette semaine, toutes nos excuses à nos lecteurs : 27 ans après, la France redevient championne d’Europe de tennis de table, après avoir survolé la compétition comme jamais, sorti l’ogre allemand 3-1 en demi-finales et roulé sur la très surprenante sélection roumaine (3-0, trois fois trois sets zéro) en finale.

Je ne sais pas si on mesure le niveau actuel de cette équipe de France, qui vient d’enchaîner en deux ans un titre de vice-championne du monde, une médaille de Bronze à Paris et maintenant un titre continental. Alors, certes, leur principal rival sur la scène européenne, la Suède, jouait sans son numéro 1, le fantasque Truls Möregårdh - probablement le joueur le plus inventif et plaisant à voir jouer avec Simon Gauzy. La performance reste saisissante, notamment en termes de maîtrise - les Bleus n’ont jamais semblé être gagné par le doute, ce qui est très dur dans un sport de raquette aussi intense, millimétré et psychologique ; et après plusieurs mois de résultats en deça, Félix Lebrun, qui a pris 10 cm et à peu près autant de kilos en un an, a réussi à adapter son jeu à sa nouvelle morphologie, ce qui là encore, sur un sport à l’espace de jeu aussi étroit et millémétré, relève d’une prouesse remarquable.

En cadeau, la démonstration de Gauzy face au très constant Dang Qiu, en demi.


Or donc, grâce à l’entregent inattendu d’un camarade pongiste, j’ai pu avoir des places à un prix plus que correct pour aller voir Barcelone - Olympiakos mardi en LDC, dans le stade de Monjuïc.

Ecoutez, c’est bien la première fois de ma vie que je me réjouis d’un 6-1 du Barça, mais on aurait difficilement pu mieux tomber : il y a eu une pluie de buts, comme un peu partout d’ailleurs, avec quelques réalisations fort spectaculaires, et plein de trucs cools que j’aurais sûrement raté à la télé. Gros coup de cœur notamment pour Pedro Fernández, dit « Dro », titularisé à 17 ans seulement à la place de De Jong, et qui m’a bluffé par sa tenue de balle, son sang-froid et son audace : dans un onze barcelonais clairement coupé en deux, entre des matadors redoutables en attaque et des quilles effrayantes en défense, il est le seul à avoir assuré des transitions réussies, et permis à son équipe de remonter le ballon, en première mi-temps, quand le quatre arrière blaugrana multipliait les remises directes dans les pieds de Piréens déchaînés. D’une manière générale je m’attendais peut-être à un peu plus de maîtrise de la part du Barça, mais on sent qu’ils souffrent de la malédiction bien connue d’avoir un génie dans leur équipe : bien souvent, l’unique schéma de construction consiste à faire la passe à Lamine Yamal et attendre qu’il réussisse une de ses diableries (sauf qu’il n’était pas dans une réussite incroyable ce soir-là). En tout cas jusqu’à la 40e minute, le 1-0 pour le Barça était très bien payé, tant l’Olympiakos multipliait les positions dangereuses, et le 2-0 à la mi-temps relevait déjà du hold-up. En début de seconde mi-temps, il y a eu cinq minutes un peu folles, avec un but de l’Olympiakos annulé… et aussitôt remplacé par un pénalty pour l’Olympiakos. Je n’ai jamais vu ça, c’était complètement incompréhensible vu du stade, il a fallu une explication cinq minutes après sur grand écran pour comprendre qu’il y avait visiblement eu une main barcelonaise, un hors-jeu grec et un but grec non valable dans la même action. Derrière, il n’y a pas vraiment eu de match : à peine revenu à 1-2, l’Olympiakos s’est pris un rouge débile (et semble-t-il inexistant), et derrière on a assisté à quarante minutes de passe à dix et de buts d’entraînement.

Un mot sur le stade de Montjuïc : il a un vrai charme hors du temps, lié à la fois à son emplacement (sur la colline homonyme, entouré de parcs et de musées), à son architecture éclectique, qui de l’extérieur évoque davantage un palais monégasque ou un hôtel de station thermale, mais aussi à sa structure de stade olympique des années 1920 (il a d’ailleurs été construit pour accueillir les jeux populaires de 1936, réponse politique aux tristement célèbres jeux olympiques de Berlin), avec son large anneau, ses gradins ouverts au ciel et son parvis monumental qui n’est pas sans évoquer le Foro Italico (l’histoire fasciste en moins, ou en tout cas pas vue du même côté). A l’intérieur, il y a un côté champêtre étonnant, avec les hauteurs verdoyantes de l’arrière-pays catalan qui dépassent de l’enceinte, une absence totale de bidules modernes type toit o spider-cam, juste un simple écran d’affichage du score, et basta.

La petite déception, ç’aura été l’ambiance : les supporteurs grecs faisaient dix mille fois plus de bruits que tout le stade réuni, et à part un petit Tot el camp syndical, on ne peut pas dire que c’était la grande ferveur dans les gradins. Il m’a été dit que c’était classique en Espagne. C’est aussi, j’imagine, le contrecoup d’être une marque aussi mondialisée que le Barça : le stade était rempli de touristes de toutes nationalités, qui tout vêtus en blaugrana qu’ils soient, ne semblaient pas connaître le catalan, encore moins les chants en catalan, ni même avoir une envie folle de faire autre chose que de consommer un moment dans la tribunes, sans chercher à être acteur. Tu m’étonnes que Luis Enrique trouve que le PSG a le meilleur public du monde, outre que c’est évidemment vrai, c’était pas dur à côté !

En tout cas c’était bien cool, et on n’écarte pas la possibilité d’y retourner quand le Camp Nou aura rouvert - ou de se faire avant une virée à Anfield, pour sentir un peu plus les murs vibrer.

@sopinambour Ah euh oui, c’est bête, j’allais en parler…

Y a de chouettes refs’ chez les artistes de la MLB. Les Blue Jays ont d’ailleurs berserker barrage-é les Dodgers à la maison (11-4) pour le premier match.

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Le troisième match des World Series commencé ce lundi soir à Los Angeles n’est toujours pas fini… On a officiellement atteint 18 manches, soit le double d’un match normal. Il est 23:45 sur place et 02:45 pour les fans des Blue Jays devant leur télé à Toronto.

À ce stade, faudrait sans doute que je décide formellement entre partager les résumés de chaque match de Wembanyama ici tous les deux jours, ou juste attendre de contempler son œuvre à tête reposée à la fin de la saison, mais la nouvelle vidéo de JxH condense bien la première semaine hallucinante qu’on vient de vivre.

(Littéralement « hallucinante » : ses meilleures actions passent pour des clips Open AI Sora 2 qui ne savent pas comment la physique dur Terre et le basket fonctionnent réellement.)

J’ai encore vu récemment un résumé de match et j’aimerais vraiment m’enthousiasmer car le mec est objectivement incroyable, mais en tant que vieux basketteur j’ai un mal fou avec le principe du gather step en NBA et quand je vois tous les marchers « à l’ancienne » qu’il fait et que les arbitres tolèrent comme si de rien n’était, ça me fout vraiment le truc en l’air.

Le truc est d’ailleurs toléré à l’international depuis quelques années maintenant, ça me désole. Mais je comprends totalement qu’un jeune qui découvre ça aujourd’hui soit fasciné.

Errr… Tu penses que, sans gather step, il n’écrabouillerait pas le reste de la NBA tout pareil ? À mon sens, c’est l’inverse : ça va devenir une permission de règle essentielle pour que les autres joueurs aient le droit de le contourner quand il défend son panier.

Ce changement (et surtout l’OSEF total sur la règle du porté) me dérangeai(en)t d’avantage à l’époque des débuts de LeBron mais j’ai eu le temps de m’y faire. C’est, à vrai dire, une conséquence logique de l’arrivée de l’EuroStep en NBA avec Ginobili, Dirk et les autres joueurs passés par le basket européen.

Je prédis surtout que l’équivalent moderne du Hack-a-Shaq sera un changement de règle (ou un changement tacite d’arbitrage sur Wemby) concernant le goal tending parce qu’il est très fort pour choper la balle juste avant qu’elle retombe, et qu’il n’a vraiment pas besoin de cette arme en plus.

Évidemment qu’il dominerait de la tête et des épaules sans gather step, la question ne se posait pas du tout là pour moi. C’était juste une réflexion de vieux shnock qui débarque alors qu’il pratique le basket depuis l’âge de huit ans, a donc très largement intégré dans son jeu le principe du marcher tel qu’il était défini alors, et ne s’est jamais posé la question de le remettre en cause (et ce n’est pas maintenant que je vais m’y mettre, mes réflexes sont bien trop ancrés en moi depuis des lustres pour évoluer).

Par contre la tolérance vis-à-vis du porté ne me choque pas franchement, je ne vois humainement pas comment cette règle peut être constamment respectée, à moins de s’appeler Isiah Thomas.

@Barbo Je ne savais pas que tu avais un show sur ESPN, dis donc, les affaires roulent.

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A lire votre discussion, je mesure à quel point on a la chance d’avoir en France un alien capable d’impressionner la terre entière, a fortiori dans un sport archidominé par tout, sauf les européens, et se réveiller chaque matin avec le vertige de ses nouveaux exploits. Mais on a encore plus de chance, car l’alien n’est ni infaillible, ni seul : hier soir, Félix Lebrun a été renversé à la surprise générale par le magicien Simon Gauzy, qui est encore allé chercher des défenses improbables à trois mètres de la table. (les deux premiers sets de réglage ne sont pas ultra intéressants, je vous conseille de passer direct au troisième, à 5’36, où Magic Gauzy fait du Magic Gauzy)

En cinq rencontres, Simon n’avait jamais battu Félix. Mais leurs matchs sont souvent ultra spctaculaires, et l’an dernier au WTT Franckfort, ils avaient accouché de l’un des points les plus fous de l’année.

J’aurais certainement dit « le plus beau », si ce diablotin de Moregard n’avait pas placé un snake, une feinte consistant à prendre la balle sous la table, hors de vue de l’adversaire, et à masquer son véritable effet par des mouvements de bras en indiquant un autre, soit l’un des tricks les plus trollesques de tout ce sport, et ce contre le n°1 mondial de l’époque, Fan Zhendong, en finale des JO, à la cool (Fan Zhendong en a éclaté de rire tellement c’était irrespectueux).


Histoire de donner leur chance aux sports un peu niche, j’ai essayé de me mettre à la page sur Wemby, mais je connais très mal (en vrai, pas du tout) le YouTube game de la NBA. J’aime bien comment cette vidéo m’a vendu un phénomène extraordinaire qui en plus d’avoir des stats de zinzin, modifiait la méta du basket, mais j’ai pas le recul pour savoir si c’est survendu pour les besoins de YT, rarement avare de titres et contenus nuancés, ou si il y a unanimité chez les gens sérieux sur le fait qu’il se passe un truc historique. Idem, je trouve rigolo la stat selon laquelle l’autre jour il n’a fait qu’un seul block, non pas parce qu’il était décevant, mais parce qu’il fout tellement les pétoches aux attaquants qu’ils n’essaient même plus de shooter quand il est dans les cinq mètres alentours.

(edit : en fait c’était pas celle-là, toutes les vidéos s’appellent quasi pareil et vu que j’étais pas connecté je retrouve pas dans mon historique)

Je note en tout cas qu’il ferait moins le malin à une table de ping, avec ses deux genoux qui pourraient pas passer en dessous.

@sopinambour Grosso modo, s’il ne finit pas minimum dans le top 5 des meilleurs joueurs de tous les temps, ce sera une énorme déception pour tout le monde.

C’est la plus grosse hype pour un jeune joueur de basket depuis l’arrivée en NBA de LeBron James (2003). Pour LeBron, la question avait toujours été de savoir s’il pourrait tenir la pression médiatique qui en faisait le messie du basket depuis qu’il avait douze ans. Pour Wemby, c’est plus une circonspection générale sur la durabilité d’un corps pareil et sur la remise en question des lois de la physique. Les géants comme lui finissent souvent assez mal et assez vite, car leur corps (surtout leurs chevilles et genous) n’est absolument pas fait pour un sport professionnel aussi exigeant.

Mais c’est la première fois qu’on a un géant aussi flexible, aussi préparé physiquement, aussi programmé depuis son plus jeune âge par ses parents (basketteurs évidemment), en plus d’avoir été fort adéquatement protégé comme l’enfant sacré du Tibet par tout le basket français : ils ont littéralement foutu le sélectionneur de l’Équipe de France à la tête de son club de basket de seconde zone pour s’assurer que tout se passe bien avant son inévitable départ en NBA. Tout s’est bien passé: il a fini meilleur joueur du championnat de France et perdu en finale (à 19 ans). Imagine Lamine Yamal en 2024, si son agent était la littéralement la fédération espagnole de football.

Pour l’instant, il est globalement acquis par tout le monde que Wemby est déjà dans le top 10 des meilleurs de la NBA (à 21 ans, c’est encore un gamin). Son début de saison explosif en ferait clairement un des quatre meilleurs joueurs de la ligue s’il maintenait son niveau actuel. C’est la première fois qu’un joueur aussi grand est aussi adroit avec le ballon, aussi précis avec ses tirs, bref, globalement aussi fort en attaque, et sa motivation a l’air de faire passer Cristiano Ronaldo pour un glandeur (alors que plein de géants sont embarqués contre leur gré dans le basket). C’est même un cas très rare de joueur charismatique, sur et en dehors du terrain, malgré ce profil physique atypique.

Mais surtout, c’est déjà (plus ou moins depuis la fin de sa première saison NBA) le meilleur défenseur de la ligue de très très très loin, au point effectivement que les nerds de la NBA cherchent de nouveaux moyens de calculer son impact sur les matches car, à part prouver que le nombre de points marqués en moyenne par minute par une équipe adverse chute dramatiquement (mais genre -60%) quand il est sur le terrain, on a actuellement aucune statistique pour quantifier « les joueurs abandonnent littéralement tout espoir de marquer quand ils le voient ».

En fait, à part quelques années de LeBron, et Shaq quelques années aux Lakers, on n’a jamais eu un mec aussi fort en attaque et en défense en même temps depuis Jordan (qui était un défenseur exceptionnel) et surtout Hakeem Olajuwon, sans doute le profil « moderne » le plus proche de Wemby, mais qui vient d’une époque où on shootait moins souvent et surtout beaucoup moins de paniers à 3 points (a fortiori un Centre). Olajuwon avec qui Wemby s’est justement entraîné cet été – quand il n’allait pas s’entraîner dans un temple Shaolin parce qu’il croit sans doute qu’Olive et Tom et Inazuma Eleven sont censés être des documentaires – et dont le nom revient souvent quand Wemby bat un nouveau record ou rejoint un club du genre « seuls quatre mecs ont fait ça en NBA auparavant ».

Donc les superlatifs sont amplement mérités, mais l’emballement de ces deux dernières semaines n’est pas tant « il est déjà devenu le meilleur joueur de la planète » et plutôt la confirmation salutaire que tout le monde avait raison de se hyper pour le potentiel du joueur, et aussi la terrifiante réalisation collective « s’il est déjà fort comme ça en troisième année, mais alors, ça va donner quoi quand il sera vraiment bon !? » C’est le vertige des années sombres qui attendent le basket et du nombre complètement débile de records qui seront pulvérisés si son corps tient.

Si tu veux des bonnes analyses tactiques NBA mais quand même rigolotes, un peu comme si Joe Pesci bossait pour Opta Sports, je peux te conseiller le toujours explosif Awful Coaching. Normalement, ses vidéos expliquent plutôt pourquoi les coaches NBA font des conneries avec les rotations tactiques des joueurs, mais ça lui arrive de faire des vidéos sur des joueurs vraiment trop nuls ou vraiment trop forts et, justement, il a sorti coup sur coup deux vidéos qui explique bien le « problème » Wembanyama cette semaine.

Sinon Sam Vecenie (Game Theory), Zach Lowe et Tim Legler (ancien joueur pro) sortent de bons podcasts analytiques sur le sport.

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Scene Around Six reporter David Capper visits Benburb - a small village in County Tyrone near the County Armagh border - to watch a traditonal road bowling contest.

Road Bowling is an ancient sport, where contestants take turns to hurl an iron ball (called a bullet) along country roads. The bowler who reaches the end of the course in the fewest throws is the victor. Spectators line the route, and need to keep a close eye on the action in order to stay clear of the hurtling iron « bullets ».

Clip taken from Scene Around Six, originally broadcast on BBC One Northern Ireland, 30 August, 1978.

Tout était calé parfaitement pour qu’Ōtani soit le héros du décisif match 7 des World Series, avec le Japon tout entier devant sa télé le dimanche matin, mais il a finalement été assez nul dans un dernier match au scénario une fois encore un peu fou-fou et conclu au bout de la nuit (minuit allègrement passé à Toronto, où se déroulait la partie).

Mais ce n’est pas bien grave car c’est un autre Japonais, Yamamoto Yoshinobu, qui lui vole la vedette en finissant héros du match, MVP des World Series et probablement le joueur emblématique de ces play-offs 2025. Deuxième titre consécutif pour les Los Angeles Dodgers, ce qu’un champion n’avait plus réussi depuis le triplé des New York Yankees en 1998, 1999 et 2000.

Le résumé des beat writers du LA Times :

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Oups.

C’était la finale du championnat canadien de football ce week-end, dans une atmosphère définitivement canadienne, entre l’Atlético Ottawa et le Cavalry FC (le gros club de Calgary).

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Exécution exemplaire d’un plan parfait sur une action jouée à la dernière seconde du match.

Mais presque tous les matches étaient serrés ce soir. On a eu un buzzer beater plus conventionnel à Orlando…

… Un final étouffant à Dallas…

… Et Wemby en feu à Chicago.

Comme la J.League, la Major League Soccer (MLS) va s’aligner avec le calendrier des championnats européens, dès 2027. La MLS s’était à l’origine calée sur le calendrier du baseball pour éviter la compétition directe avec un maximum de ligues (NFL, NBA, NHL) et pouvoir utiliser certains stades délaissés de football américain, mais les clubs jouent désormais presque tous dans des petits stades dédiés au soccer.

@Barbo Autre perspective sur l’évolution horizontale du basketball, ses problèmes et ses avantages.

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