L’équipe-type de la saison 2010-2011 du PSG et son attaque de feu Giuly - Néné - Erding - Hoarau.
J’y repense beaucoup depuis quelques heures.
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J’enchaîne les vidéos expliquant comment et pourquoi Messi va accepter de jouer à droite cette saison pour essayer d’oublier l’inévitable rétribution divine qu’il se pètera la jambe lors du premier match face à Brest.
J’attends toujours qu’une rubrique de factchecking sérieuse se penche sur ces images et me prouve leur véracité, parce que j’ai toujours un peu du mal à y croire.
Assez curieux de savoir ce que vont devenir Icardi et Di Maria, dans des problématiques différentes. Et aussi à quoi ressemblera l’équipe en phase défensive : déjà qu’on était souvent à poil l’an dernier avec un un 4-3- -3 très venteux, j’espère que Verratti, Gueye et Wijnaldum ont eu une bonne préparation foncière cet été, ça va pas être facile de colmater les brèches du Tetris avec trois pièces coincées en haut.
Au passage, incroyable affaire pour Amazon, et improbable retournement de situation pour Canal Plus. Officiellement, le groupe estime toujours avoir surpayé son lot. Bizarrement, quelque chose me dit qu’ils ne vont pas s’en débarrasser, avec potentiellement 20 matchs du PSG par an (et mon imminent réabonnement contre tout ce que je m’étais promis).
À mon avis, Icardi dégage au plus vite puisqu’ils ne peuvent pas se blairer. D’ailleurs Messi n’a pas prononcé son nom une seule fois lors de la conférence alors qu’il a cité tous les autres Argentins ; limite il aurait mentionné Pastore, Lavezzi et Bianchi avant le #9 de sa nouvelle équipe.
Personne en Italie ne peut se payer le salaire d’Icardi à part la Juve qui n’a pas que ça à foutre donc je sens bien un prêt “avec option d’achat” en Serie A (Roma ? Milan ?) avec prise en charge partielle du salaire par le PSG. Ou alors le Barça panique après la blessure de Kun mais ils passeraient vraiment pour des dindons. Je ne crois pas qu’il ait la côte en Angleterre vu qu’il n’a aucune connexion avec les agents qui font la pluie et le beau temps là-bas.
Je me délecte de chacun des articles qui sortent en ce moment dans la presse sportive espagnole. On vit un moment formidable.
A noter, au milieu de cette journée forcément très politique et très formatée en termes de com’, cet appel de NAK à agrandir le Parc des Princes. Vu le côté sacré et intouchable du bousin, c’est bien joué de mettre le sujet sur la table le jour où il a le totem d’immunité le plus absolu. Assez curieux également de voir comment ça pourrait se concrétiser. On voit mal l’équipe actuelle jouer devant 30 000 personnes pendant deux ans le temps d’agrandir le stade gradin par gradin : ça risque d’assez vite se terminer en déménagement temporaire au Stade de France cette histoire (ou au stade Charléty mais j’ai un léger doute).
Présentement kéblo sur ce gif
This might possibly be the most satisfying slide i’ve ever seen in my life pic.twitter.com/OvhvFis8fY
— ♛𝕃𝕒𝕨𝕣𝕖𝕟𝕔𝕖♛ (@TheBlazingKing_) August 11, 2021
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Le grand Gerd Müller est décédé ce dimanche matin, quelques semaines après que son record de buts dans une même saison soit enfin tombé par la faute de Lewandowski. Il a encore quelques records qui mettront du temps à être effacés.
https://fcbayern.com/en/news/2021/08/fc-bayern-mourns-the-passing-of-gerd-muller
Müller made history with Bayern and the Germany national team. He scored an incredible 566 goals in 607 competitive appearances for Bayern and still holds the record for the most goals scored in the Bundesliga with 365, as well as being top scorer seven times. He got 68 goals in 62 caps for the national team.
Der Bomber originally joined Bayern in summer 1964 and won the Intercontinental Cup, three European Cups and a European Cup Winners’ Cup. He was a Bundesliga champion and DFB Cup winner four times each. With the national team he won the 1972 European Championship and the 1974 World Cup, scoring the winning goal in the final in Munich against the Netherlands.
J’ai énormément hésité avec le topic chiffres, où il aurait certainement plus sa place, mais en même temps, comme ce topic est petit à petit en train de se transformer subrepticement en annexe du virage d’Auteuil, autant mettre ce thread là :
C’est long, chiffresque, et super intéressant. Pour ceux qui n’y comprennent que couic, il est important de connaître une des astuces majeures du business de foot : en termes de comptabilité, le montant d’un transfert est lissé sur la durée du contrat du joueur recruté. Par exemple si l’OL fait l’excellent choix de recruter le fabuleux latéral gauche Layvin Kurwaza pour 15 M€ et signe avec lui un contrat sur 5 ans, ces 15M€ apparaîtront dans les comptes lissés en 5 annuités de 3M€ (dont la dernière pourra elle-même être lissée sur plusieurs années supplémentaires en cas de prolongation de contrat à un an de la fin de celui-ci).
Hmm très intéressant merci, mais ça manque de camemberts sur le taux d’approbation du gouvernement rwandais (qui est sponsor du PSG) concernant la politique de recrutement du club et sa gestion assez désastreuse du contrat de Mbappé.
Faudrait que je suive davantage le sport, ça a l’air fun comme hobby en fait.
Quel gyakuten. C’est tout de même un peu plus chouette que de le voir débarquer à City.
Du coup, pas de Messi vs. Ronaldo dans les phases de groupe de la Champions League.
C’est quand même là que tu vois le prix que tu payes quand tu loupes la première place du championnat.
Renversée par la Suède après avoir ouvert le score (1-2), l’Espagne a vu une incroyable série prendre fin ce jeudi soir. Cela faisait plus de 28 ans que la Roja ne s’était plus inclinée dans un match de qualifications à une Coupe du monde. La dernière défaite des Espagnols remontait au mois de mars 1993, contre le Danemark (0-1). Ils restaient sur 52 victoires et 14 nuls en 66 matches.
Eh bah.
J’avais loupé ce scandale complètement maboule qui a frappé le sport US cette semaine : une équipe lycéenne de football américain, en se faisant mousser pour une équipe de niveau national, arrive à décrocher un match contre l’équipe #1 du pays et passe en direct à la télévision sur ESPN dimanche soir, avant de se faire laminer aux yeux de tous. Le pays tout entier découvre Bishop Sycamore.
Les commentateurs commencent à devenir soupçonneux en direct, tant le match est à sens unique et les infos filées par Bishop Sycamore sont contradictoires : les noms collent pas aux numéros, des joueurs se blessent et on découvre que leur numéro de maillot n’était même pas sur la feuille de match, ils viennent de l’Ohio mais concourent dans une ligue du Texas, certains joueurs ont l’air d’avoir cinq ans de plus que d’autres… Avant de découvrir qu’il n’y a non seulement pas vraiment d’équipe mais pas vraiment d’école non plus. Et ce n’est que le début !
Fait divers qui met en lumière des dérives du sport juvénile mais aussi du système éducatif américain. Vivement le docu Netflix dans deux ans parce qu’on est pas loin du niveau Fyre Festival ou Tiger King dans la zinzinerie.
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La Britannique Emma Raducanu, 18 ans, 150e mondiale et issue des qualifications, a remporté l’US Open, samedi. Elle s’est imposée en finale face à la jeune Canadienne (19 ans) Leylah Fernandez (6-4, 6-3).
Quel exploit. Plus jeune championne depuis Maria Sharapova à Wimbledon (2004). Elle n’a perdu aucun set. Première fois qu’un joueur ou une joueuse issue des qualifications gagne un tournoi du Grand Chelem. Elle va gagner 127 places au classement WTA. On reste loin des records probablement intouchables de Jennifer Capriati (qui a gagné deux tournois du Grand Chelem à quinze ans) mais sacré renouvellement de génération chez les filles, en attendant de voir si Djoko réussit le Grand Chelem demain.
Marrant, dans mon esprit Gustavo Kuerten était issu des qualifications quand il avait remporté Roland-Garros pour la première fois. Mais sa page Wikipedia pourtant fort détaillée n’évoquant pas cela, j’avais dû piger quelque chose de travers.
Tu confonds sans doute avec le fait qu’il n’était pas tête de série, ce qui est déjà extrêmement rare en Grand Chelem : douze dans l’histoire de l’ère Open en cumulant garçons et filles. Raducanu est donc la treizième.
Ce week-end de foot est un régal, j’ai quasiment passé tout le week-end devant des matches passionnants. Actuellement un Milan-Lazio volcanique (1-0 à la mi-temps).
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League of Fantastickers ! Première fois que j’entends parler de cette start-up, pourtant l’idée était évidente.
Séisme sur la planète French Tech. La start-up Sorare a signé, mardi 21 septembre, la plus grosse levée de fonds jamais réalisée sur cette scène en France, pour un montant de 680 millions de dollars, soit 580 millions d’euros.
La jeune pousse, qui avait opéré sa première levée de fonds significative en février (40 millions d’euros), explose ainsi le précédent record, qu’avait établi Contentsquare (spécialiste de l’expérience utilisateur digitale) le 25 mai en réunissant 500 millions de dollars. Trois ans à peine après sa création, Sorare est valorisée 4,3 milliards de dollars !
Tant par sa trajectoire que par son positionnement, Sorare détonne dans l’écosystème. Qui aurait parié que les investisseurs prêtent une telle attention à une société dont le projet était de réinventer la vignette Panini pour les amateurs de football à l’ère d’Internet et de la technologie blockchain ? Car c’est bien cela que propose Sorare à ses utilisateurs : la possibilité d’acquérir, à travers des enchères, des cartes virtuelles de joueurs, plus ou moins rares (de 1 à 1 000 exemplaires par joueur et par saison) – qui viennent nourrir leur collection. Avec la possibilité de les échanger ou de les revendre avec une plus-value. Pour rendre l’expérience plus intéressante encore, ces mêmes cartes permettent de participer à des championnats en ligne et de faire prendre de la valeur à sa collection.
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Réglé comme du papier à musique, Hakuho va annoncer sa retraite maintenant qu’on a un nouveau Yokozuna (qui vient de gagner son premier tournoi sous son nouveau statut).
Et dire qu’on veut nous priver de ce genre de moment avec la Super League. Ils n’ont même pas de sponsor maillot. C’est l’occasion de faire briller Boulette sur la scène internationale !
La situation géopolitique du club n’est d’ailleurs pas banale. Presque dommage que Tiraspol et Donetsk (voire même l’Inter qui se trouve en Padanie) ne soient pas avec le Barça, autre club d’une ville aux ambitions séparatistes, plutôt que le régalien Real.
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