[Sports] Le FC Boulette reforme sa superteam

Encore plus fort pendant la Coupe d’Afrique des Nations : le match qui se termine avec 5 minutes de temps soustractionnel.

J’ai une pensée karmique pour les petits malins tunisiens qui se gaussaient du 0-0 de l’Algérie face au Sierra Leone dans les commentaires des dépêches de L’Équipe, au passage !

Dénouement d’une affaire incroyable, et dont se délecteront sans doute les historiens du futur.

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Il me semble que ce n’est pas mentionné dans ton article mais Djoko est pour l’instant interdit d’entrée sur le territoire australien pendant trois ans, ce qui a quand même une conséquence assez hallucinante sur le palmarès potentiel du joueur à la fin de sa carrière et sur l’éventualité de voir quelqu’un réaliser prochainement le Grand Chelem.

D’ailleurs…

Pour citer un collègue : si tu te fais kicker des 4 Tournois, c’est une autre sorte de Grand Chelem, non ?

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Purée, quel dommage qu’il n’ait pas été validé, c’était le panier de l’année.

Paco Gento, la légende de la Coupe d’Europe des Clubs Champions – c’est le seul à l’avoir gagnée six fois – est mort.

Deux fins de matches assez rocambolesques pour les Play-Offs NFL de ce samedi soir.

Bonne vidéo si vous voulez voir du basket de très haut niveau très bien expliqué.

OK avec les deux matches du dimanche en plus, c’est possiblement devenu le meilleur week-end de playoffs de l’histoire de la NFL. Tous les matches ont été maboules.

Statistiquement, le match fou ci-dessus est confirmé comme l’un des meilleurs matches disputés par deux équipes dans une même partie.

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Gros malaise à la CAN 2022, disputée au Cameroun et qui enchaîne les drames (une demi-douzaine de morts dans une bousculade hier) et les scandales, entre un arbitrage plus que bancal depuis le début de la compétition et des tests COVID à géométrie variable en fonction du poids politique des pays concernés. Invité-surprise du second tour pour sa première participation, l’archipel des Comores a ainsi vu son équipe inapte à intégrer ses gardiens (un blessé et les deux autres déclarés positifs par les docteurs de la CAF) pour au final perdre sur un très honorable 1-2 avec un défenseur dans les buts (et un carton rouge dès la cinquième minute). C’est peu dire que ça fait jaser.

On trouve quand même des visions plus positives du match et notamment du jeu excitant proposé hier par le petit poucet de la compétition malgré tous ces obstacles.

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Youtube connaît mon faible pour Mitchell & Webb et m’a convaincu le week-end dernier de remater leurs différents sketches sur le monde du snooker des années 70~80, clips qu’on voit passer moins souvent que des moments mieux connus du duo comme les grandes conspirations de l’Histoire, les doutes de l’armée Nazi ou le quotidien d’un grand méchant de James Bond.

Ce sketch sur le snooker est objectivement moins drôle (enfin me semble-t-il) mais il capture parfaitement l’époque, et son visionnage fut une erreur car il m’a plongé dans une semaine de deep dive nostalgique du sport. Figurez-vous que j’ai un passif avec le snooker. J’ai eu le privilège d’avoir accès au câble dès les environs de 1988 ou 1989, sans que je comprenne trop la motivation parentale d’ailleurs puisque j’étais littéralement le seul à mater la télévision (i.e. ma baby-sitter) chez nous. Il y avait à l’époque deux chaînes de sport : TV Sport et Eurosport, la première étant largement plus divertissante que la seconde.

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(Je retrouve pas de trace vidéo de la VF mais le logo m’a marqué.)

Eurosport passait des trucs chiants comme l’haltérophilie ou l’athlétisme. Sur TV Sport, on avait les sports US comme la NFL ou le baseball que j’ai découvert avec la saison 1989 des Oakland Athletics, des compétitions de Monster Truck, du catch, tout le toutim crash boum parfait pour un gosse. Mais il y avait aussi du snooker. Et j’ai donc maté beaucoup de snooker entre 1989 et 1994 environ (Eurosport et TV Sport avaient fusionné entretemps), principalement pendant la domination du jeune beau gosse écossais Stephen Hendry, dont je découvre seulement maintenant qu’il était assez détesté du public anglais. Perso je l’adorais ; une espèce de Stefan Edberg de la queue et des boules (à ne pas confondre avec Christoph Clark sur Canal+, Stefan Edberg de la queue et des boules dans un autre registre à l’époque).

L’antipathie envers Hendry n’était pas que xénophobe. Plus athlétique et calculateur que ses aînés, jamais dans le spectacle, Hendry démontait avec froideur toutes les vieilles gloires des années 80, de Steve Davis à Dennis Taylor – deux types que j’avais inexplicablement pris en grippe – mais surtout le pauvre anglais Jimmy White, dont le nom vous dit sans doute quelque chose si vous êtes trentenaire+ grâce à la simu de billard développée par le légendaire Archer McLean, sur Amiga et consorts. Cette vieille vidéo de Kim Justice raconte assez bien l’époque et les personnages, en plus de parler du jeu.

Voici la manche décisive de la finale du championnat du monde 1994. C’est sans doute le match le plus célèbre de Hendry, mais d’avantage parce que cette partie symbolisa la guigne légendaire de White, héros populaire du peuple anglais qui échoua six fois (dont cinq fois de suite) en finale des championnats du monde. Les particularités du snooker sont ① les boules autres que les rouges valent plus de points et reviennent sur la table tant qu’il reste des boules rouges, mais ② il faut impérativement entrer une boule rouge entre les boules d’autres couleurs. J’ai d’ailleurs été bien emmerdé quelques années plus tard quand j’ai commencé à croiser des tables avec des potes dans les bars etc. car je ne connaissais en vérité que les règles du snooker, peu commun en dehors de la Grande-Bretagne.

Le but du jeu est donc de réaliser le meilleur combo possible (appelé un break en snooker) lors de son tour, en utilisant les coups de boules rouges pour replacer la boule blanche en bonne position vers une boule d’autre couleur au prochain coup. Voici par exemple un break parfait réalisé en 1997 par Ronnie O’Sullivan, considéré par d’aucuns comme le meilleur joueur de l’Histoire et le successeur (bien plus en réussite) de White niveau spectacle.

C’est apparemment à ce jour le break parfait le plus rapide enregistré à la télévision, mais sachez qu’il en tapait encore en 2019. On voit d’ailleurs sur ce dernier exemple à quel point le snooker a changé en 2019, sur le modèle de ce qu’annonçait la domination de Stephen Hendry trente ans plus tôt. Bardé de sponsors chinois, bien plus athlétique et professionnel, moins alcoolisé, aucune cigarette, Sullivan qui affronte UNE FEMME, etc. Plus du tout la même époque ni les mêmes personnages.

Mais revenons-en donc à Mitchell & Webb. Ma plongée dans le Youtube Game du snooker a commencé quand je me suis dit qu’ils avaient parfaitement capté les tronches et dégaines de l’époque, sans parvenir à me rappeler les noms des athlètes pastichés. Le personnage de Robert Webb est un mélange entre Steve Davis et Jimmy White, duo qui représenta sans doute le sommet de popularité du sport avec la confrontation ci-dessous, disputée en 1984 (même si le record d’audimat est la finale maboule des World Championships de 1985, l’année suivante). Attention le docu dure deux heures (!) mais c’est vraiment dans le jus local, avec les accents, manque plus que le gigot d’agneau rôti à la menthe et les After Eight avec un petit whisky pour la digestion.

David Mitchell quant à lui reprend surtout les affectations et le début de calvitie du fantasque Alex Higgins, nord-irlandais bougon et animé que je n’ai à vrai dire pas connu sur TV Sport à l’époque (il était déjà cramé à la fin des années 80) mais dont l’exploit qui suit, the impossible break face à l’éternelle victime expiatoire du jeu, m’a convaincu de taper ce post.

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Je me suis d’abord dit “ah marrant son fils est aussi devenu surfeur professionnel” ?

… Mais non c’est bien le même qui dominait déjà le surf dans les années 90 quand je retrouvais mes potes surfeurs à la salle d’arcade derrière la plage et qu’on découvrait ensemble Sega Rally avec The Bomb! dans les enceintes. Cinquante piges le 11 février. Il avait gagné la même compétition pour la première fois en 1992. (Bon par contre il est anti-vax.)

Mon nouveau joueur de foot préféré.

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Je vais à une nuit superbowl avec des potes ce week-end (mes futurs cohabitants de l’ecolieu où je vais habiter).
@Merou il y a des choses à connaître/savoir pour apprécier au mieux celui de cette année ?

Tes reports m’ont permis de pas être largué quand il ils ont parlé du fameux week-end de folie le mois dernier. Merci du coup !

@Cara Déjà, ça se passe à Los Angeles et dans le stade des Rams. C’est très rare (il me semble seulement la troisième fois) qu’une équipe joue le Super Bowl à la maison – l’endroit étant choisi plusieurs années en amont. « Malheureusement » c’est justement arrivé l’année dernière avec les Tampa Bay Buccaneers, et leur victoire en a fait anecdotiquement la première équipe à gagner le Super Bowl dans son stade. Donc t’auras pas cet aspect historique si les Rams gagnent cette année, mais ce serait la deuxième année de suite, ce qui serait statistiquement rigolo pour un truc autrefois jamais vu en plus de cinquante ans…

Les Rams sont l’équipe de la conférence NFC. C’est une franchise connue pour avoir quitté Los Angeles pendant vingt ans (1995-2015) et joué à Saint-Louis. Paradoxalement, leur période de Saint-Louis a été bien plus marquante ; c’est d’ailleurs là-bas qu’ils ont gagné leur seul Super Bowl. Ils ont re-déménagé à LA en 2016, en construisant un nouveau stade. Problème : une autre équipe a fait pareil un an plus tard en AFC (Les San Diego Chargers devenus les LA Chargers). Du coup, les Rams ont dépensé pas mal de thunes pour construire une équipe assez forte assez vite pour assurer la domination « locale » dans l’esprit (et le porte-monnaie) des fans locaux.

Les Cincinnati Bengals sont l’équipe de la conférence AFC ; c’est une franchise un peu no name, réputée comme un poil vieux jeu dans son fonctionnement et radine dans ses dépenses, ce qui colle bien avec l’image paysanne de l’Ohio et contraste assez fortement avec le design tellement cool de leurs casques. Ils n’ont jamais gagné le Super Bowl. Si tes potes sont fans casu de NFL comme moi, littéralement la seule chose qu’on retient des Bengals est qu’ils ont perdu le Super Bowl deux fois, dans des confrontations assez épiques, face aux San Francisco 49ers de Joe Montana dans les années 80. L’équipe de cette année est relativement jeune, surtout construite avec de bons choix de draft ces dernières années.

À moins qu’un de tes potes ait de la famille à Cincinnati, devrait pas y avoir beaucoup d’animosité envers ces deux équipes, qu’on n’attendait pas trop en finale deux mois plus tôt. Si quelqu’un dans la soirée est particulièrement véhément envers une des deux équipes, tu pourras charrier qu’il ou elle a probablement perdu de l’argent dans un pari par leur faute.

Par exemple, les deux QBs sont particulièrement sympathiques, pour des raisons complètement différentes.

Le QB des Bengals, Joe Burrow (maillot #9), est un gamin qui était très fort au college (i.e. foot universitaire) et qui semble absolument inébranlable mentalement, même quand il est saqué huit fois de suite ou qu’il est mené de 20 points dans le match. Du coup, il fait beaucoup penser à Joe Montana et c’est un clin d’œil sympa pour les fans de Cincinnati « cette fois Joe est dans notre équipe » etc. C’est seulement la deuxième saison pro de Joe Burrow et il emmène déjà son équipe au Super Bowl, comme l’ont fait Tom Brady et Patrick Mahomes auparavant. S’il gagne comme eux, on assiste sans doute à l’éclosion d’un des meilleurs QBs de la décennie à venir. Mais il a zéro pression, et on le reverra sans doute au Super Bowl une ou deux fois minimum dans sa carrière. C’est un peu le profil Kylian Mbappé en finale de la Coupe du Monde 2018.

Le QB des Rams est Matthew Stafford (#9 aussi), un vétéran qui n’a pas vraiment eu de chance jusqu’ici. Il avait passé toute sa carrière avec les Detroit Lions, possiblement la pire équipe de l’histoire de la NFL. Il avait l’air courageux et sympathique mais difficile de juger de son vrai niveau dans une équipe aussi pourrie. C’est la première saison qu’il joue avec les Rams et, du coup, c’est une belle histoire qu’il soit récompensé avec cette finale à 35 piges : « what if » il avait été dans une bonne équipe toute sa carrière ? etc. Stafford est clairement moins talentueux que Burrow mais il en a tellement chié depuis dix ans qu’il aura peut-être d’avantage la gnaque de gagner. Il aura non seulement Los Angeles derrière lui mais aussi tout Detroit « par procuration », ce que les commentateurs ou tes potes ne manqueront pas de remarquer à un moment dans la soirée. Pour reprendre une comparaison foot, c’est plutôt le profil l’équipe d’Italie à l’Euro 2020.

Autres personnalités à retenir chez les Rams :

  • Le meilleur joueur de l’équipe – et possiblement le meilleur joueur de la saison – est Cooper Kupp (#10). C’est simple : faut que Stafford envoie le ballon à Kupp. S’ils sont en train de perdre, tout le monde dira « mais pourquoi ils envoient pas le ballon à Kupp ». Ils est incroyablement fort pour se démarquer et tromper la défense donc t’étonnes pas s’il a l’air tout seul alors que tout le monde savait qu’ils allaient essayer de lui passer le ballon.
  • Mais comme c’est quand même super stéréotypé et que tout le monde sait que Stafford va viser Kupp, on pense que la victoire va se jouer si leur autre wide receiver, Odell Beckham Jr. (#3), fait un grand match. Beckham était un des plus grands espoirs du foot US à ses débuts mais il s’est un peu perdu dans la gloire et les sponsors faciles, en plus de blessures gênantes, sans finalement jamais confirmer son talent. C’est un peu l’année de la rédemption pour lui.
  • En défense, Aaron Donald (#99) est un des meilleurs défenseurs de la ligue. S’il arrive à attraper Burrow souvent, ça va possiblement devenir très compliqué pour les Bengals. La défense des Rams va sans doute consister à foncer sur Burrow.
  • Le coach des Rams, Sean McVay, est considéré comme un type brillant. Il a seulement 36 piges et est en train de battre tous les records de précocité de sa profession. C’est un peu le profil Tuchel / Nagelsmann du foot allemand avec des coaches jeunes qui réinventent le jeu moderne.

Autres personnalités à retenir chez les Bengals :

  • Leur kicker est Evan McPherson (#2), un rookie (22 piges) assez phénoménal qui enchaîne les coups de pieds compliqués, lointains et primordiaux depuis le début des Play-Offs. Un peu fondu dans le même moule que Joe Burrow, l’inconscience cool de la jeunesse. Si le match est encore serré à la fin, les Rams ne voudront absolument pas laisser aux Bengals une chance de tirer un dernier field goal. Même à 60 yards, ils auront les genoux qui tremblent.
  • Leur receveur star est Ja’Marr Chase (#1), encore un rookie (21 ans) qui réalise une première saison extraordinaire. Truc rigolo : Chase et Burrow jouaient déjà ensemble en college à LSU (Louisiana State University). C’est Burrow qui a demandé aux Bengals de le recruter, d’où l’exceptionnelle complémentarité de Burrow et Chase malgré leur jeune âge. Tu entendras sans doute cette anecdote dès le premier quart-temps.
  • Si la défense des Rams leur empêche de passer le ballon, les Bengals opteront sans doute pour le running back Joe Mixon (#28) qui a le bon profil pour percer la défense des Rams.
  • Leur safety en défense est Jessie Bates (#30), encore un gamin (24 piges), super fort pour lire les lignes de passe et réussir des interceptions. Vu que Stafford va sans doute beaucoup tenter de passer vers Kupp et Beckham, le succès des Bengals va possiblement se jouer sur quelques interceptions providentielles.

Tout ça est quand même très jeune et inexpérimenté, face à une équipe des Rams très solide et moins fragile en défense, qui joue dans son stade, avec un meilleur coach. Du coup, les Rams partent légèrement favoris (-3.5 points). Mais vu que tous les Playoffs ou presque ont été très serrés, et que le Super Bowl est rarement un festival offensif, on s’attend à un match plutôt fermé et serré, surtout en première mi-temps.

Plus globalement si tu veux discuter pendant les temps morts, le bilan de la saison est que la conférence AFC est blindée de jeunes Quarterbacks incroyables qui représentent la nouvelle génération. Joe Burrow confirme son talent, Patrick Mahomes (Kansas City Chiefs) a déjà gagné et perdu un Super Bowl, Tom Allen (Buffalo Bills) est exceptionnel également, Justin Herbert (LA Chargers) est bourré de potentiel et même les New England Patriots semblent avoir décroché le jackpot en signant le jeune Mac Jones cette année.

Du côté de la NFC, c’est un peu la soupe à la grimace. Tom Brady, le meilleur QB de l’histoire du sport, était passé des Patriots (AFC) aux Tampa Bay Buccaneers (NFC) l’année dernière mais il vient d’annoncer sa retraite. Tous les autres QB stars de la NFC comme Russell Wilson (Seattle Seahawks) ou Aaron Rodgers (Green Bay Packers) sont soit vieux, en conflit avec leur club, trop souvent blessés, ou un peu les trois à la fois. Et les jeunes déçoivent. Du coup, il y aura beaucoup plus de rumeurs et de questions sur les transferts et les choix de draft en NFC pour la saison prochaine.

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Super! Merci bien! :slight_smile:

Pendant ce temps, aux JO…

Quel décor ! On se croirait dans Coolboarders.

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Quelle dégaine ! On se croirait dans Windjammers.

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ブワァァアァァアッと!?
Leur réaction me fait réaliser que la cerise sur le gâteau, c’est de même pas avoir été surpris.

C’était une partie d’échecs assez passionnante, et je ne dis absolument pas ça parce que les blancs ont perdu à la fin.

L’analyse de L’Équipe est comme d’hab super intéressante, surtout pour les gugusses comme moi qui étaient trop occupés à papoter pour suivre en temps réel le bras de fer tactique.

Je suis quand même un peu inquiet, l’équipe a été impressionnante dans le contre-pressing et je ne suis pas sûr qu’elle soit aussi efficace au retour en troquant Di Maria par Neymar (mais il lui arrive souvent de bosser à la récup dans les matchs couperet, donc ne soyons pas trop pessimistes quand même).

C’est amusant d’avoir un homonyme de Messi dans le onze parisien, et encore plus incongru de faire tirer des pénos à un milieu relayeur aussi maladroit devant le but, mais j’ai bien aimé sa seconde période quand même, il a un petit côté Verratti-bis dans la tenue de balle et la qualité de passe, sans l’abattage le panache ni le talent du Goat évidemment.

Première sortie depuis des lustres, on est allés voir le traditionnel spectacle bisannuel du Cirque du Soleil.
Comme toujours, joli, impressionnant et cringe à la fois (les mimes, c’est non). La nouvelle émotion de ce spectacle, c’est « terrifiant », avec un contorsionniste qui m’a fait me rouler en boule dans ma chaise avec toutes mes vertèbres qui hurlaient d’effroi à l’unisson.

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