[multi-plateformes] not just a game but a polygame

Docu promotionnel très sympa de Dotemu pour la sortie imminente (20 janvier) de Windjammers 2, avec notamment des bouts d’entretien avec les concepteurs du premier jeu.

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Le revenant :jp:KikiKaikai Kuromanto no Nazo :us::eu:Pocky & Rocky Reshrined a franchement l’air fantastique, sans grande surprise avec Tengo Project. Ça sort le 21 avril au Japon et « au printemps » (donc pas longtemps après) ailleurs.

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Playism a annoncé plein de jeux aujourd’hui: Homura Hime, la suite Momodora: Moonlit Farewell, un portage sur consoles pour Subway Midnight et The Sealed Ampoule, un portage PS4/Switch pour le bif bof Tasomachi, un nouveau jeu d’aventure psychologique The Use of Life, le “je t’ai vu au Comicket” Magusphere et le très joli Samurai Bringer. Ils ont aussi sorti Gnosia sur Steam ce dimanche, et annoncé des DLC pour La-Mulana 2 et Mighty Goose.

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Comme promis par Tate Multimedia depuis environ deux ans, Kao le kangourou roux est de retour cet été. On dirait pas comme ça mais Tate et Kao sont polonais. La série originale, que l’on connaît surtout (mal) en Occident pour la version Dreamcast du premier jeu, fut aussi un rare exemple de jeu de plateformes tous publics sur PC à l’époque et avait du coup connu un joli succès chez les gamins en Pologne et et Europe de l’Est (700.000 ventes sans même compter le piratage).


Autre destination exotique mais plus sexy peut-être, le jeu indé mexicain Aztech: Forgotten Gods sort le 10 mars sur toutes les plateformes. Ça manque un peu de Frank Sinatra dans la bande-annonce.

Vagante a l’air plutôt cool. Du roguelite en co-op, à mi-chemin entre Spelunky et Towerfall, ça sort maintenant sur toutes les consoles. (Dispo sur Steam depuis septembre dernier.)


Il y a aussi Little Orpheus, rescapé de l’Apple Arcade qui raboule le premier mars.

Netmarble annonce :kr:Ilgob Gaeui Daejoe Origin, qu’il faudrait donc traduire en :jp:Nanatsu no Taizai Origin ou :us::fr:Seven Deadly Sins Origin, d’après le manga populaire de Kōdansha. C’est quand même assez truculent de voir les fans de Genshin s’offusquer d’un plagiat. Netmarble semble avoir trouvé le succès avec sa version mobile gacha de Ni No Kuni donc ils tiennent peut-être un filon dans ces adaptations. Ça sort sur PC, mobile et « consoles » (indéterminées).


Cela me rappelle que je n’ai pas parlé du nouveau projet de Bandai-Namco, My Hero Academia Ultra Rumble (Steam, Switch, PS, Xbox), dévoilé dans Jump il y a deux semaines. C’est un spin-off en free-to-play du jeu de baston One’s Justice 2 avec des règles de Battle Royale, à 24 joueurs, qui s’inscrit donc dans le même cadre de diversification des IPs que le Dead By Daylight de Dragon Ball Z par l’équipe de XenoVerse 2.

Ne soyez donc pas surpris si on se retrouve bientôt avec un Among Us chez Death Note ou un Stardew Valley au Village Pingouin de Dr Slump…

Oh putain quelle idée de génie, si seulement !

Je n’ai pas l’impression que Windjammers 2 fasse un si gros bruit que ça malgré le buzz de son annonce, le deal avec Game Pass et le calendrier plutôt calme du mois de janvier mais sachez que Ken Bogard commente des matches sur sa chaîne Twitch. J’espère – pour Dotemu comme pour nous public – que le jeu sera à l’Evo, quelque soit la forme que prend l’évènement en 2022.

Le nouveau projet de Yacht Club (et premier jeu interne sans Shovel Knight) s’appelle Mina the Hollower et, légère surprise pour ma part, passera une nouvelle fois par Kickstarter. Je me demande presque si ces derniers leur ont filé des brouzoufs pour inciter un de leurs développeurs-phares à rester sur le service. C’est un mélange entre Link’s Awakening et Castlevania, à l’esthétique Game Boy Color revendiquée, ma foi très alléchant.

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Gibbon, un jeu dans lequel on incarne – vous allez être surpris – un gibbon, vient d’être annoncé pour le 25 février en contre-programmation d’Elden Ring. Ça sort sur Switch, Steam et Apple Arcade.

Y a intérêt à ce qu’on puisse emmerder des gros chats dans un niveau.

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Donc, hum, Sifu est apparemment fait par un studio entièrement composé de blancs ? Hmmmm…

… hmmmmm. Ça me rappelle qu’il faut vraiment que j’essaye Legend of Tianding.

En tout cas il y avait quatre cultural review consultants et quatre character art consultants (sans compter deux trads chinois traditionnel et deux trads chinois simplifié). Je lance le jeu à l’instant et j’ai checké le staff roll par curiosité.

Dans le staff de base il y a également des noms qui semblent issus d’autres minorités, je comprends évidemment ce que tu veux dire mais je tenais quand même à le préciser.

La visée gyro poursuit son inexorable conquête du monde avec Fortnite. En espérant que les devs de Returnal s’en rendent compte avant la prochaine génération ! Je ne connaissais pas la méthode Flick Stick, par contre. Ça a l’air moins intuitif mais très malin.

https://www.epicgames.com/fortnite/fr/news/gyro-aiming-and-flick-stick-come-to-fortnite-in-v19-30-more-controller-options?lang=fr


Cyberpunk 2077 (rappelez-vous !) est sorti sur PS5 et Xbox Series il y a quelques heures, accompagné d’une démo gratos des cinq premières heures pour ces deux plateformes, et plus généralement d’une mise-à-jour 1.5 qui corrige et rajoute plein de petits trucs.


Sloclap avait déjà vendu plus de 500.000 exemplaires de Sifu en 48 heures ; joli succès pour un jeu a priori aussi pugnace. Ils promettent divers patches et autres mises-à-jour de contenus mais bien sûr la communauté modding PC est déjà au taquet.

Ce qui m’étonne avec les versions next gen de Cyberpunk c’est qu’ils ne parlent pas de sortie physique ? Je trouve ça très bizarre qu’il ne s’agisse que d’un patch.

Je suppose qu’ils ont eu tellement de galères avec les copies physiques et leur (treize ou quatorze ?) partenaires de distribution dans le monde qu’ils préfèrent sans doute passer par les versions PS4 et Xbox One déjà produites, y compris les versions rappelées des rayons qui doivent croupir dans des entrepôts. L’accès aux versions next gen depuis les versions PS4 et Xbox One est gratuit, et Microsoft encourage de toutes façons la mutualisation des versions physiques entre ses deux générations.

Mais gageons qu’ils réimprimeront des disques PS5 avec l’édition définitive contenant les futurs DLC.

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Voice of Cards: The Forsaken Maiden est sorti ce jeudi. C’est la suite de The Isle Dragon Roars sorti en octobre dernier mais il s’agit d’un jeu à part et non d’une extension. J’avais bien aimé la démo du premier épisode, même si le côté “deck de cartes” est complètement artificiel et purement esthétique ; j’avais fini par zapper le jeu complet tant son contemporain Dungeon Encounters m’avait finalement d’avantage scotché. On ne sait pas combien l’équipe (de NieR) compte faire d’épisodes.


Suivant soigneusement le modèle de Monster Hunter World. Monster Hunter Rise sort une mise-à-jour 3.9 qui rajoute notamment un équipement turbo-pété pour aider les débutants à torcher le contenu Low Rank du jeu, et ainsi rejoindre rapidement les autres joueurs en amont de la sortie de l’extension Sunbreak cet été. J’aurais pas cru que Rise avait besoin d’être encore plus facile mais je suppose qu’ils savent ce qu’ils font. Il y a aussi un nouvel équipement Guild Cross set qui améliore la récolte (ah !) mais il est vendu en DLC.


L’éditeur brésilien PixelHeart continue son improbable exploitation du riche (?) catalogue Visco avec l’annonce de Ganryu 2, qui est développé par les Français de Storybird Games (Aggelos et Wallachia notamment) et sortira simultanément sur toutes les plateformes le 22 avril. Bizarrement aucune news d’une ressortie du premier Ganryu (jeu MVS de 1999), même en bonus de préco ou quoi. La bonne nouvelle, c’est qu’il ne va bientôt plus rester que le meilleur jeu de Visco, Drift Out ’94, à ressusciter.


Et j’ai bêtement cru que quelqu’un sortait UN NOUVEAU VENDETTA !? mais le titre Final Vendetta est juste un hommage légèrement trop appuyé aux influences manifestes du nouveau jeu de Bitmap Bureau (88 Heroes, Xeno Crisis, Ninja Shodown). Ça sort en mai.

Tōken Ranbu Musō (qui sortira chez nous sous le titre Touken Ranbu Warriors) est dispo depuis jeudi au Japon. C’est la très attendue adaptation en Musō de la licence Tōken Ranbu, le jeu de collection (de gatcha de cartes) de sabres japonais historiques anthropomorphisés en beaux mecs, qui fait des ravages chez les Japonaises depuis 2015 et dont vous avez sûrement entendu parler sur Boulette et ailleurs.

Il y a quatre ans, un sondage local de Koei-Tecmo sur « quelle collabo Musō voudriez-vous ensuite ? » avait vu Tōken Ranbu écraser la concurrence et on en récolte enfin les fruits en 2022 sur PC, plateforme d’origine du jeu Tōken Ranbu, et sur la Switch qui a assez naturellement remplacé la PSP et la Vita comme console-reine des otome games, les jeux pour otaques japonaises qui veulent des harems de beaux mecs suants et de doubleurs suaves.

Il sera intéressant de surveiller la semaine prochaine dans les évaluations de vente d’Enterbrain si beaucoup de jeunes femmes ont acheté une Switch rien que pour ce jeu. Je me demande également si une partie du public de Sengoku Basara, en carence sévère de véritable nouvel épisode, va se joindre à la fête. L’édition collector physique de Tōken Ranbu Musō à ¥17.000 s’est arrachée en quelques heures à l’ouverture des précommandes. Il y a également une version démat’ deluxe (avec un Season Pass et autres broutilles) à ¥15.000. Autant dire que ça va probablement commander du rab de baleine chez Omega Force, DMM et Nitroplus.

À l’inverse des collaborations avec Nintendo (Hyrule Warriors et Fire Emblem Warriors) qui sont éditées au Japon par Koei-Tecmo et partout ailleurs par Nintendo, le jeu est signé DMM Games (décidément quelle semaine pour eux) au Japon mais sera pris en charge par Koei-Tecmo dans le reste du monde. Dans le giron de développement d’Omega Force, c’est l’équipe précédemment responsable des deux Dragon Quest Heroes qui s’en est occupée, mais le jeu est exceptionnellement associé au label Ruby Party de Koei-Tecmo qui (est géré par la fille des patrons de Koei-Tecmo et) s’occupe d’habitude de jeux comme Angelique ou Harukanaru Toki no Naka de – vous voyez le genre.

Étant personnellement moins intéressé par le jeu que le phénomène autour de l’IP et le public spécifiquement visé, je cherchais une vidéo adéquate pour mesurer la température et celle-ci est pas mal (évidemment la compréhension du japonais est bienvenue). Mais voici une capture brut de vingt minutes si l’aspect vtubeuse ci-dessous vous horripile.

Soul Hackers 2 pour le 25 août (en tout cas au Japon) sur PS4, PS5, Xbox One, Xbox Series et Steam. Ça ressemble d’avantage à Tokyo Mirage Sessions qu’à Soul Hackers pour l’instant mais je reste à l’écoute.

Mais donc du coup est-ce que c’est Devil Summoner 3 ?
Not a fan, hein. La meuf puputanimu dit qu’elle se bat contre la Pants Society ? Ça part bien.

Les protagonistes (déjà y a plusieurs protagonistes = ça commence mal) sont bien désignés comme des Devil Summoners, mais le jeu en lui-même ne fait manifestement pas partie de la série Devil Summoner. En même temps, ça devient une habitude.

Shin Megami Tensei

Shin Megami Tensei Devil Summoner

Shin Megami Tensei Devil Summoner Soul Hackers

Devil Summoner Soul Hackers 2

Je suppose que pour Atlus, la série Devil Summoner est devenu spécifiquement l’histoire du clan Kuzunoha, et que du coup Soul Hackers devient rétroactivement son propre truc à part « dans le cyberespace ». Les liens scénaristiques entre Devil Summoner et Soul Hackers étaient vraiment ténus et faciles à expurger. M’enfin je suis peut-être extrêmement généreux en leur accordant une quelconque logique…

Sans surprise ce sont bien les deux réals de #FE qui s’occupent de Soul Hackers 2. C’est l’artiste de 7th Dragon 2020 au charadesign.